Hana Yori Dango, tome 8

Toujours aucune amélioration et ça commence à être agaçant et long. On tourne en boucle depuis plusieurs tomes déjà, et les mêmes problèmes persistent. On s'enfonce de plus en plus, et même la présence de la soeur de Domyoki n'apporte pas le souffle d'air que j'espérais.

Donc toujours au choix : Domyoji, gosse de riche dans toute sa splendeur, décide de faire virer deux élèves, va voir le directeur et ce dernier valide la demande… Encore une agression sexuelle de la part de Domyoji et Tsukushi visiblement ne voit pas trop le problème… Et si on forçait une lycéenne encore vierge à coucher avec son pseudo petit copain sans lui demander son avis, parce que bon, c'est normal de coucher, hein !

Et on essaye encore de nous faire passer ça sous le couvert de l'humour. Spoiler alert : ça n'a rien de drôle ! C'est ultra problématique, point barre… Franchement, si je n'avais pas racheté la saga dans son intégralité… j'aurais abandonné…

Et c'est bien beau de confier aux meilleurs potes de son frère son éducation mais là encore… juste non. On voit aussi combien l'éducation des parents est un gros souci ici. En fait, c'est tout ce que l'on essaye de régler dans notre société actuelle qui est mis en avant (violence, agression sexuelle, manque d'éducation, maltraitance…) mais tourné de façon à ce qu'on trouve ça normal… ou comique au choix. Bah non, désolée.

Et je ne vais même pas parler de la « romance » qui est ridicule. Même notre héroïne perd de sa superbe au fur et à mesure des tomes.

A quand l'électrochoc ?

Ah que j'aime suivre les aventures du F4 et de Tsukushi.
Je vais vite lire la suite !

Un duel sportif ! Mais tout peut-il se régler à coups de ballons de basket ?
Les héros traduisent une fois de plus leurs sentiments en confrontations physiques dans ce tome très tendu.