Ce que j'ai ressenti:
Je pense encore au ciel. Au ciel
Qui meurt sur nos lèvres et dans nos yeux
Je pense encore à eux, Hugo et Pauline
Dans la neige ardente, ils survivent
Ils survivent au climat, au contexte
À la guerre, aux autres, au désespoir
Ils survivent au trouble, à la malnutrition
Au chaos, au vacarme, aux requiem
Deux routes, deux manières de survivre
Mais, le même but.-Alors, ça fait quoi?-
Ça fait une ambiance ramassée,
Entre ombre et lumière, singulière
Un temps incertain, instable, curieux
Entre vie, mort, et entre-deux vacillant
Des phrases courtes, impactantes
Ni dans la surenchère, ni dans le minima
Juste de l'émotion, à l'état brut
Et ça, ça reste toujours, longtemps,
Ça s'accroche, ça gratte, ça s'infiltre
Aussi fort, aussi sûrement, qu'un frisson
Parce que c'est efficace, addictif, ardent
Qu'il y a ce décor d'apocalypse qui s'ouvre
Sur des scènes de vies très intenses
Je pense encore à eux, Pauline et Hugo
Ne voulant pas les laisser à la merci
De cette ville de tous les dangers
« Alors que le ciel flamboie »…
Alors, que j'ai ressenti, autant…
Je ne sais pas combien de temps
Il nous reste, mais ça sonne, très actuel
Et l'énergie de l'Ultime, elle nous traverse,
Elle parle même, poésie, à nos feux intérieurs…
Et si les rares êtres humains qui liront ceci
Pouvaient prendre note de ce conseil lecture:
Ne doutez plus, voici, un roman noir lumineux
Une flamme à aller chiper de toute urgence
Avant que la poussière ne recouvre tout…
Je pense encore au ciel, ce soir. Au ciel
Qui pourrait survivre, dans nos yeux
Et je me languis de vous, de eux,
Fabuleux,
Dans la neige ardente!
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