Ce cinquième opus des pérégrinations scolaires du Great Teacher Onizuka nous propose une nouvelle fois de découvrir ses méthodes pédagogiques pour le moins originales. Je ne m'attarderai pas sur le graphisme, d'une qualité constante depuis le premier tome. Une singularité mérite d'être soulignée cependant, le choix que fait l'auteur de substituer à son encrage académique, le temps d'une planche, un trait plus instinctif, plus sale, pour souligner l'emportement de son personnage. le procédé fonctionne merveilleusement. le récit, quant à lui, offre son lot de surprises. de bonnes surprises, quand il décortique les motivations profondes des personnages les plus obscures, tantôt pathétiques dans le cas du sous-directeur, tantôt malsaines dans celui d'un professeur défenseur d'une conduite droite et traditionnelle. Et de moins bonnes surprises, quand Onizuka délivre une jeune élève, dont la poitrine est aussi imposante que son intelligence est faible, de l'ostracisme en l'inscrivant à un concours de beauté. La chute, courue d'avance, paraît complètement invraisemblable, même selon les normes de cet univers si particulier. En définitive une bonne lecture, mais peut-être plus pour les portraits dépeints que pour l'histoire contée.
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J'avance doucement dans cette relecture de la série (je les garde précieusement lorsqu'un item de challenge me demande un manga ou un livre jeune adulte).
Me voilà donc au terme de ce 5ème chapitre où Onizuka se prend d'affection pour la jeune Tomoko, raillée par ses camarades de classe mais aussi sa famille.
Comme à son habitude, le GTO va mettre en valeur cette jeune fille timide et un peu gauche et lui trouver du sens à la vie.
En parallèle, la haine du sous-directeur continue et pense enfin de le coincé mais il ne faut pas sous-estimé l'intelligence d'Onizuka qui a les yeux partout!
a présent, un autre adversaire s'intéresse à lui, à suivre ...
A travers ses histoires, différents thèmes sont abordés, le harcèlement scolaire, l'humiliation et le manque de confiance en soi et comme toujours l'attrait des hommes murs pour les trop jeunes filles.
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Un tome plein de surprises ! Toroko se dévoile, Miyabi déteste encore plus onizuka et l'auteur nous distillent énormément de quiproquo. Pourtant, Onizuka est en passe d'être viré ! Un retournement de situation complètement fou, utilisant les rouages et les limites de la morale japonaise, transcendé par l'étroitesse d'esprit et l'égoïsme d'un personnage pourtant hostile à Onizuka va changer la donne. Vraiment ?
Un peu de changements ! Un nouveau personnage très dérangé qui permet là aussi de traiter un sujet de société très problématique dans la société nippone. Sous couvert de comique, l'égoïsme et l'importance de la carrière sont dénoncés.
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Dans ce cinquième tome Eikichi Onizuka va à nouveau voler à la rescousse de ses élèves les plus faibles et va ainsi aider Tomoko Nomura à vaincre son complexe d'infériorité, tout en devenant son producteur pour s'en mettre plein les poches au passage.
Mais, si les élèves semblent se rallier à sa cause, c'est maintenant surtout du côté des enseignants que vient le danger, et avec le souffle du sous-directeur Uchiyamada dans sa nuque, notre Great Teacher Onizuka doit redoubler d'attention car il pourrait bien voler après 2 mois en tant que prof.
Par moments, Eikichi Onizuka, va d'ailleurs passer en arrière-plan pour céder la place au sous-directeur Uchiyamada ou au prof de math Teshigawara. Et ce n'est pas forcément une mauvaise chose de lâcher de temps en temps Eikichi Onizuka et son humour parfois un peu trop ‘pipi-caca' ou ‘petite culotte', pour se concentrer sur d'autres choses.
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Bon, vous l'avez déjà compris... J'aime toujours autant GTO, dans ce tome nous en saurons plus sur Toroko, le sous-dirlo va passer un sale quart d'heure (seulement un quart d'heure ?), Fuyutsuki nous fera une révélation surprenante et Teshigawara le nouveau prof est... enfin... je vous laisse découvrir :)
Un tome pour découvrir que les apparences sont parfois trompeuses. Et que le vice est un défaut qui se cache très très bien :)
Sur ce, le tome 6 m'appelle !
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Grâce à son dessin de très bonne qualité, le mangaka Torû Fujisawa sait faire perdurer sa saga délurée, à grands renforts de pervers et d’allumeuses, d’action et d’humour, de grosses bêtises et de bons sentiments.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Depuis 2000, Pika Edition propose de découvrir l'infinie richesse du manga en publiant parmi les plus talentueux auteurs japonais et français. Les CLAMP, Kosuke Fujishima, Tôru Fujisawa, Minetaro Mochizuki, Ken Akamatsu, Reno Lemaire, Oh!Great, Kouji Seo, Hiro Mashima, Hajime Isayama, Ema Toyama, Nakaba Suzuki, Adachitoka, Ayu Watanabe, Satoshi Kon, Yoshitoki Oima, Akane Shimizu, Boichi, Romain Lemaire et Kamome Shirahama sont 20 mangakas majeurs qui ont marqué leur époque et qui continuent d'inspirer bon nombre de jeunes auteurs. Dans ce livre-objet, qui se déploie comme une frise grâce à ses 48 pages dépliantes, Pika Edition vous invite à revenir sur ces deux décennies durant lesquelles le manga est devenu incontournable… Un ouvrage original et idéal pour célébrer la passion du manga !
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