- C'était un petit rôle, mais tenais à ce que ce soit toi qui l'interprète, Audrey. Lorsque je rêve d'un ange, c'est ton visage que je vois apparaître. Tu es un ange.
- Tu en es un également, Steven. Tes films apportent tant de bonheur aux gens.
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- Je dois seulement te prévenir de ce que tu vas voir, la souffrance, la maladie, la misère ne te laissera pas indemne. Tu devras être solide.
- Je crois que je n'ai pas d'autre choix. Je dois m'impliquer. Il est temps que je redonne un peu de ce que la vie m'a offert.
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Ma notoriété sans un vrai investissement de ma part, me semblerait hypocrite.
Cette réalité est insupportable. Et c’est parce qu’elle est insupportable qu’il faut faire tout notre possible pour aider ces enfants.
J'ai vu la famine en Éthiopie et au Bangladesh, mais je n'ai jamais vu un tel cauchemar. C'était bien pire que ce que je pouvais imaginer. Les gens vivent toujours dans une pauvreté intolérable. Ils ont toujours fin, ils luttent toujours pour survivre. Et parmi ces personnes, nous voyons les enfants, leur ventre gonflé, leurs yeux tristes, leur visage sage qui trahissent la souffrance, toutes les souffrances qu'ils ont endurées depuis leur naissance.
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Lorsque je vois des enfants malades et leurs parents qui parfois ne mangent pas pendant plusieurs jours, je crois que je n'ai pas à me plaindre de ma santé. Ce sont eux et uniquement eux dont on doit s'inquiéter.
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Faisons le film, mon amour ... Plongeons-nous dans le travail ... Pour le moment, nous devons absolument penser à autre chose. La tristesse est trop grande. Ne la laissons pas nous détruire.
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