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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Dans les allées du musée d'Orsay, les visiteurs sont nombreux, chaque jour, à déambuler dans les allées où se côtoient de multiples oeuvres. Certains y posent un regard amusé, perplexe ou admiratif, parfois choqué. Certains y vont de leur petit commentaire, intelligent ou décalé. Certains les mitraillent ou y jettent à peine un regard quand d'autres s'y attardent longuement ou les croquent. Mais que se passe-t-il la nuit lorsque ces mêmes visiteurs rentrent chez eux ? Dans la pénombre, à l'abri des regards, ces mêmes oeuvres prennent vie, des silhouettes s'animent, des personnages quittent leur cadre...

Chabouté nous propose, avec cet album, une visite privée et pour le moins originale du musée d'Orsay lorsque la nuit tombe. Les allées désertées, les oeuvres, exposées et scrutées le jour, en profitent pour se dégourdir les jambes, pour se promener, pour retrouver un personnage, pour faire le bilan de la journée et pour regarder et commenter ce qui se passe dehors. Ainsi, les Raboteurs de parquet font une pause bien méritée, les bustes d'Honoré Daumier cancanent à tout-va, Berthe Morisot guette amoureusement les allées et venues d'un homme accompagné de son chien, l'Olympia quitte sa couche, Héraclès, curieux, s'étonne de tout, l'Ours blanc se promène... Tous portent un regard, tantôt amusé, tantôt circonspect, tantôt touchant, tantôt critique, tantôt perplexe sur les humains et leurs comportements, aussi bien le jour que la nuit. Avec un oeil avisé, l'auteur dépeint, avec tendresse, ironie, humour ou émotion, les attitudes aussi bien des visiteurs que des oeuvres d'art. En bon guide, il nous offre ainsi de véritables moments suspendus. Avec malice et poésie, il croque, au plus près des originaux, ces oeuvres, rendues plus vraies que nature. Dans ce décor époustouflant, son noir et blanc intense n'en est que plus lumineux et son trait, délicat et minutieux, est des plus élégants.
Un album émouvant, sensible et intelligent...
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Quand vous avez entre vos mains Musée, roman graphique de Chabouté, vous avez ce qu'on appelle en librairie un beau livre. Un livre de qualité avec des reproductions de chefs-d'oeuvre picturaux ou sculpturaux. J'ai vraiment pris plaisir à tourner ces pages, comme j'ai pris plaisir il y a quelques années à arpenter les galeries du musée d'Orsay. J'y ai reconnu nombre d'oeuvres devant lesquelles je me suis moi-même arrêtée, intriguée, subjuguée, étonnée, interloquée.
Les trognes dessinées par Christophe Chabouté sont des instantanés pris sur le vif, des visiteurs, curieux, de passage, des esthètes, des pontifiants… C'est drôle et finement observé. Et finement écouté aussi ! Car on ne peut s'empêcher d'écouter les commentaires des uns et des autres devant les tableaux ou les sculptures. On a tous, il me semble, des anecdotes à ce sujet.
Et puis, Chabouté nous offre également une nuit au musée, enfin plusieurs au cours desquelles nous allons écouter et observer ce que ces fameuses peintures et sculptures, quittant leur sage immobilité, vivent, dévoilent de leurs sentiments et regards sur ces gens qui toute la journée leur tournent autour. Un regard, en somme, sur notre société.
C'est drôle comme la scène récurrente d'Heracles découvrant les lieux d'aisance, poétique quant à l'idylle entre la liseuse et la statue (que je n'ai pas reconnue, mais qu'importe)…
Il y a très peu de textes dans ce roman graphique tout en noir et blanc. La déambulation à travers les salles se suffit à elle-même, il faut prendre son temps, observer, écouter et se laisser porter, le charme opère. Et l'on ressort du musée, apaisé, heureux de cette complicité qui s'est implicitement installée entre ces personnages hors du temps et soi.
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Superbe ! MUSÉE de Chabouté est une oeuvre à part entière et une expérience peu commune pour la lectrice ou le lecteur que nous sommes.
Tout n'est qu'affaire de regard. Celui que nous posons (ou pas) sur les oeuvres exposées, celui posé sur nous, les déambulateurs : esthètes professionnels ou amateurs, visiteurs réguliers ou occasionnels, … par les oeuvres elles-mêmes et celui de Chabouté qui croque les uns et les autres, de jour comme de nuit.
Car Orsay a deux vies :
– le jour, c'est l'heure des visites. Celles choisies ou imposées mises en lumière par le coup de crayon et le regard incisif de Chabouté. Tout y est ! de nos découvertes, nos surprises, nos impatiences et nos lassitudes, parfois… La sortie scolaire au musée vue par Chabouté vaut le détour…
– La nuit, c'est l'heure des oeuvres. Les figurés sortent des cadres, des peintures, des socles et s'en vont vivre leur vie au gré de leurs affinités. Il y a ceux qui se haïssent, qui s'aiment et ceux qui découvrent ce monde extérieur et s'interrogent, incrédules…
Au travers des cases, Chabouté saisit les visiteurs, les gardiens, comme un instantané photo, un arrêt sur image. Puis son crayon nous attire vers l'un ou l'autre. On les suit au fil des pages. Cet homme et son chien, observés amoureusement par la femme du tableau, Berthe Morisot. Elle se languit toute la journée de ce moment, où il lui sera donné de l'apercevoir du haut des fenêtres du musée, promenant son chien. La démarche pesante. Jusqu'au jour où il franchira les portes du Musée. Mais à quel prix…
L'observation devient histoire, l'histoire dessinée se transforme en rêverie et nous ouvre les portes de cet univers poétique qui fait les grandes oeuvres et plus particulièrement celle de Chabouté.
A lire et Relire !
Merci aux éditions vents d'ouest et à Babelio pour l'envoi de cet album qui nous donne l'envie de franchir les portes d'un musée et de laisser libre cours à notre imagination...
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Le silence. Les regards. Les déambulations.La contemplation.

Et puis les commentaires. Les mots pompeux. Les critiques élogieuses, rarement acerbes. Les interrogations. Les paroles naïves.

Vous êtes dans un musée.
Ce musée où l'on reste des heures immobile, accroché aux tableaux, sans jamais vouloir s'en détacher. Où l'on caresse du regard les splendides sculptures.
Le musée d'Orsay.

L'auteur de ce roman graphique a du en passer des jours et des jours pour en arriver là. Des jours entiers et peut-être des nuits à s'amuser des regards perplexes, ébahis, des pieds qui courent, dansent, s'ancrent dans le sol, de tous ces visiteurs qui s'agitent sous le regard des oeuvres.

Ouvrez cet album graphique magnifique. Entrez dans la magie des histoires sans paroles, des paroles sans histoire. Plongez vous dans cet univers noir et blanc où les couleurs restent invisibles mais bien présentes dans nos mémoires et dans nos coeurs.
Mais, surtout, un conseil : gardez les yeux bien ouverts la nuit car c'est à ce moment là que tout prend son sens .
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Un roman graphique qui m'a fortement tenté lors de la dernière masse critique graphique de chez Babelio !

Merci merci merci pour ce joli partenariat de lecture ♥

J'ai enlevé un peu du descriptif qu'il y avait sur les différents sites à propos de ce livre. En effet, à quoi bon trop détailler !

Ce livre se déguste avec plaisir et en avoir la surprise est le plus agréable.

Pour moi ce fût un régal, de bout en bout. le graphisme tout d'abord, et ce noir et blanc qui au départ ne me tentait pas et qui à su s'imposer comme le jour et la nuit à l'intérieur de ce musée.

Ce graphisme si minimaliste et pourtant si juste. Quelques traits définissent un chef d'oeuvre, tout simplement (enfin simple c'est souvent chez les dessinateurs une force immense que de faire ressentir beaucoup avec peu de traits !). Chabouté excelle dans cet exercice, cet art !
Des compositions, des zooms, des planches entières nous disent tant. Peu de bulles, mais beaucoup de choses dites, juste à la force du dessin !
L'idée de faire vivre les oeuvres est une si riche idée. Oui, les oeuvres sont en perpétuelles interactions avec leurs publics et leur donner la parole pour nous renvoyer leurs regards sur nous les spectateurs est une idée excellentissime.
De plus Chabouté se met pas à la place de toute les sortes de visiteurs. Il ne prend pas le parti de son seul regard ! C'est très agréable et pas égoïste (comme ça existe dans certain livre où l'auteur se permet "d'imposer" sa propre vision.) Et puis de bonnes touches d'humour parsèment ce livre.

J'ai vraiment adoré ce roman graphique et je peux avec toujours le même plaisir me délecter de ses pages encore et encore.

C'est cool, il va trôner amoureusement dans ma bibliothèque.

Une bonne dose d'humour, de la poésie et une mise en dessin superbe,

que demander de plus ? Moi je ne demande rien de plus !

Je vous invite à entrer de jour comme de nuit visiter ce Musée d'Orsay dessiné par Christophe Chabouté !

De vous régaler, de sourire, de vous questionner et d'admirer !

Je vous souhaite tout autant de plaisir que j'en ai eu !

Merci encore à Babelio et aux Editions Glénat et Vents d'Ouest !
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Club N°53 : BD sélectionnée ❤️
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Chabouté, le Maitre du noir et blanc.

Avec en plus un très bon scénario, de l'humour, de la culture, etc...

Aaricia
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Orsay la nuit : les sculptures prennent vie, les tableaux se vident de leurs personnages et tout ce petit monde commente la journée écoulée.

On voit passer les visiteurs, on entend leurs conversations et ensuite les conversations des "créatures" du musée.

De la nostalgie, de l'humour, une critique de la société et de notre mode de vie à la mode Chabouté !

Xel
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Belle mise en image du musée d'Orsay avec humour.

On ne peut que saluer le soucis du détail dans la représentation du musée.

Samuel
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Encore séduite par Chabouté !

Cette fois, il nous embarque au musée, pour un voyage inattendu.

Morgane N.
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Bel exercice de style.

André
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D'habitude très fan de Chabouté mais la je ne me suis pas fait embarquer... par les différentes histoires.

Belle représentation du Musée d'Orsay cependant et de ses oeuvres.

NdM
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Observer ceux qui regardent ou regarder ceux qui observent ?
That is the question ?

D'ailleurs au sein du musée d'Orsay tout au long de ce magnifique album, on finit par ce demander qui observe qui ?
Et au fil des pages nous sommes les spectateurs de ce jeu sans fin....

Les Éditions stock ont lancé un collection qui s'intitule "Ma nuit au musée"
et bien le sous-titre de ce roman graphique pourrait être "Leurs nuits au musée"

Loin des tableaux colorés,
Loin des teintes chamarrées,
l'auteur a pris le parti du Noir et Blanc, et quelle réussite !!! Des dessins qui ont l' instantanéité d'une photo

Un musée est le notre propre reflet, cet album est de prime abord le reflet de nos attitudes dans un musée.
Avec une certitude chacun se retrouvera au moins dans une vignette, comme une mise en abyme graphique.
Il y a ceux qui s'approchent pour mieux détailler une oeuvre, ceux qui s'éloignent pour
Il a ceux qui contemplent une oeuvre seuls, assis, et qui au fil des minutes ou des voient défiler plus de personnes devant l'oeuvre que l'oeuvre elle-même, et qui au final découragés s'en vont ;
Il y a ceux dont on sait, qu'elle oeuvre ils regardent, juste avec un regard ou une attitude ;
Il y celui qui faisant partie d'un groupe qui visite le musée au pas de course, ne peut prendre son temps devant les tableaux, et cours après le groupe qui court ;
Celui là même qui passe son temps à courir, et qui fini par s'échapper du groupe pour mieux revenir sur ses pas ;
Ma préférée : le couple qui visite le musée Monsieur qui détaille le tableau, s'extasie devant celui-ci et Madame qui lui dit : " dépêche toi.... de toute façon, je l'ai pris en photo.... Tu pourras le regarder à l'hôtel ce soir..." ;

Et puis une fois le musée fermé.... Que se passe-t-il....
Ce sont les oeuvres qui nous observent par l'horloge emblématique du Musée d'Orsay.
Surtout quatre, fidèles au poste tous les soirs : La Pensée d'Auguste Rodin, le Narcisse de Paul Dubois, le Buste de Charles Garnier de Jean Baptiste Carpeaux et enfin le Persée de Laurent-Honoré Marqueste. Ces statues devenues vivantes observent notre vie, dans nos boîtes qui se déplacent, et nos travers l'oreille collée ou les yeux rivés sur une autre boîte plus petite.... Petite boîte que nous leur montrons à longueur de journée, c'est La Méditerranée de Maillol qui le dit à un des Gladiateurs de Jean-Léon Gérôme.....
Il y a les commérages des parlementaires d'Honoré Daumier, rien ne change vraiment....
Il y a ceux qui "s'évadent" le temps de la nuit, les Raboteurs de parquet partis je ne sais où ? , l'Olympia de Manet qui allongée toute la journée n'a-t-elle pas le droit de se dégourdir les jambes ? , et l'ours blanc de François Pompon, lui c'est l'inverse, n'a-t-il pas la possibilité de quitter sa pose pour trouver un recoin où se reposer ?
L'Héraklès d'Antoine Bourdelle qui se découvre une passion dévorante et intrigante pour les toilettes du musée.....

Un musée est le notre propre reflet, un musée c'est donc la vie, avec ses histoires :
Anacréon d'Eugène Guillaume et La liseuse et Henri Fantin-latour qui se retrouvent après une journée de manque loin l'un de l'autre ;
La Jeune femme à la rose d'Amédeo Modigliani et le Mercure d'Henri Chapu jouant au jeu du "Je t'aime moi non plus" ;
L'Oedipe à Colone par Jean Hugues qui accueille la Venus Victrix d'Auguste Renoir et lui fait la visite, les présentations.... Et répond à ses questions :
"Mais pourquoi il nous arrive tout ça ?
Arrive quoi ?
Ben bouger, marcher, parler....
On en sait strictement rien. Et on ne se pose même pas la question. En fait, on s'en fiche.... royalement.
Est-ce si important de savoir pourquoi ?
On profite.... On savoure. On vit" ;
Berthe Morisot au bouquet de violettes qui tous les soirs a rendez-vous avec l'homme au chien....

Une BD singulière pour des regards pluriels....
Qui donne envie de pousser la porte du musée, quel qu'il soit, et d'y prendre son temps, d'y perdre son temps, de regarder, d'observer, d'en profiter, de le savourer et de le vivre...
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Il s'en passe des choses au musée ! On nous donne ici à voir l'envers du décor, ce qui se trame lorsque les portes du musée se ferment et que les oeuvres prennent vie.

En prenant le point de vue du "regardé", ces statues et ces tableaux emblématiques du Musée d'Orsay, Christophe Chabouté nous offre une reflexion sur le rapport que chacun entretient à l'art. Il observe avec beaucoup de minutie nos petits tics de langage, nos postures et nos expressions face aux oeuvres. Comme le musée est également un lieu de rencontre, il s'amuse aussi de toutes ces scènes du quotidien, réelles ou fantasmées, qui pourraient s'offrir à ceux qui resteraient une journée immobile face aux visiteurs d'un musée.

L'entreprise est parfaitement réussie : le Musée d'Orsay est ici magnifié sous les traits du dessinateur et, une fois la lecture terminée, il nous tarde de retourner visiter ce lieu. Peut-être pourrons-nous à notre tour y voir une statue nous faire un clin d'oeil.
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Nous, banlieusards et parisiens, amoureux de l'art, connaissons le Musée d'Orsay. Inauguré en 1987, ce Musée consacré aux oeuvres du 19ème siècle a rencontré son public au-delà des espérances de ses concepteurs. Alors, au moment où l'on fête les 150 ans de l'impressionnisme, orchestré justement par le Musée d'Orsay sur toute la France, il semblait important de présenter ce magnifique roman graphique, Musée, de Christophe Chabouté.

Les millions de visiteurs annuels admirent les oeuvres chacun à sa manière. Christophe Chabouté les dessine avec beaucoup de justesse. On s'y reconnaîtra à certains moments.
Seulement, le dessinateur imagine qu'à la nuit tombée, ce sont les personnages des tableaux et les statues qui se mettent à nous regarder. Olympia a quitté sa couche. Berthe Morisot séduit le visiteur du soir. Une statue grecque se découvre des problèmes d'identité. du haut de l'horloge gigantesque, les différentes statues découvrent notre monde.

La confrontation regardeurs regardés est complètement savoureuse, jusqu'à ne plus savoir qui est qui. L'humour et la poésie sont omniprésents. de plus dans ce roman graphique, il y a très peu de textes mais le dessin en noir et blanc, délicat, est si explicite que la lecture est très agréable.

Gratifié du prix Alph Art d'Angoulême en 1999, Christophe Chabouté n'a cessé de se faire remarquer dans le monde de la bande dessinée. Ici, avec Musée, il confronte les visiteurs et les oeuvres. Un beau livre à découvrir sans modération et à garder pour réviser ses classiques !
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Lecture peu commune qui m'a énormément plu. On frôle le coup de coeur !

C'est la version sur papier, en bien plus poétique, du film Une nuit au musée: les personnages du musée d'Orsay reprennent vie une fois la nuit tombée et les visiteurs partis.

Qui observe qui ? Finalement on ne sait plus.

Cette bande dessinée est superbement bien menée alors qu'il y a pourtant très très peu de texte, voir pas du tout... et pourtant tout passe: ce qui ne se lit pas se comprend aisément par les planches. Joli travail que cet exploit de faire passer autant de choses juste avec des illustrations !

C'est tout à la fois drôle et émouvant.
Notemment drôle de nous voir, visiteurs, avec nos tics et manies devant les peintures et sculptures ! Tantôt amusant ou horripilant.

Dans l'histoire se glisse pleins de petites tranches de vies que j'ai adoré : notemment celle où une petite fille décrit de façon très pragmatique ce qu'elle voit pour son accompagnant non voyant.
Comme devant le tableau L'asperge de Manet:
" Ben là, c'est juste une asperge.
Le tableau est tout rikiki.
Le peintre devait plus avoir assez de peinture pour faire un grand tableau...avec les autres légumes"

Je l'ai emprunté à la bibliothèque mais voilà un ouvrage que je prendrai plaisir à avoir pour le lire et le relire car c'est une véritable pépite.
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