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sur 476 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
James Dean.

Philippe Besson ose se frotter à un mythe du cinéma. Véritable icône à la destinée tragique.

Dans cette biographie romancée, on découvre le parcours de vie de ce jeune homme destiné à devenir une idoole. A travers les yeux des êtres qui ont croisés sa route. Dans de courts chapitres, chacun d'entre eux raconte la légende de Jimmy.

Un portrait comme un puzzle. Fragments d'un homme dans ses travers, dans ses fulgurances. Dans cette enfance qui le mènera vers l'homme. Dans cette fureur de vivre.

Raconté par des anonymes. Des stars. Des inconnus. Des témoins de l'ascension du jeune homme.

Sa mère, partie bien trop tôt. James Dean, lui-même. Ses professeurs. Marlon Brando . Entre autres.

Chacun donnera une clef, une façon de mieux appréhender James Dean. En quelques lignes parfois. Souvent brillantes de vérité.

Besson nous dépeint un Dean attachant, touchant et pressé de vivre. Un homme libre, papillon comme trop attiré par la lumière et qui se grisera à s'en briser les ailes.

Le reproche que l'on peut faire est bien résumé par son titre. Tout va un petit peu trop vite. Besson nous a habitué à cette lenteur des descriptions, cette douce construction des émotions dont lui seul a le secret. Ce roman là va à fond la caisse, sans laisser le temps au lecteur de respirer, d'apprécier.

Une vie à toute berzingue …

Cependant, j'ai passé un très bon moment de lecture. Avec l'envie de m'intéresser d'encore plus près à ce personnage qui malgré une filmographie réduite, raisonne encore comme le symbole d'une certaine jeunesse et d'une époque devenue intemporelle à travers lui.
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« Il est l'oiseau rare : un jeune acteur exceptionnel et l'éloquence douloureuse avec laquelle il exprime les problèmes d'une jeunesse incomprise fera peut-être de lui le symbole de la nouvelle génération ». Hollywood Reporter au lendemain de la première d'A l'Est d'Eden.

Rester plongée dans « A l'Est d'Eden » en livre de poche, difficile pour moi. C'est écrit trop petit, trop serré. J'ai dû renoncer au format. En cherchant bien, je suis parvenue à trouver ce livre en édition del Duca sur un site de livres d'occasion. Mais en attendant, James Dean occupait mon esprit. Je revoyais sa silhouette, sa chevelure blonde, et j'ai eu envie de ne pas le laisser de côté en attendant de recevoir le livre de Steinbeck.

Bien m'en a pris ! Je viens de passer un très agréable moment de lecture avec cette biographie romancée. Difficile de faire la différence entre le romanesque et la réalité mais en choisissant le « romancé », le lecteur sait ce à quoi il s'expose. Néanmoins, l'essentiel finit par se démarquer du reste du récit.

Première incursion dans une oeuvre de Philippe Besson. L'écriture est conventionnelle, elle est facile à lire mais peut-être est ce le résultat de la construction du récit. L'auteur donne la parole à tous ceux qui ont connu Jimmy. Sa maman, décédée d'un cancer, alors que Jimmy n'a que neuf ans, son père trop absent, incapable de pallier au drame que vit cet enfant, sa famille, ses amis, ses enseignants, ses maîtresses, ses amants jusqu'au conducteur qui a provoqué l'accident mortel ; donnant ainsi naissance au mythe qui aura éternellement vingt quatre ans et qui venait rompre avec les clichés de la virilité masculine de l'époque bien que son idole fut Marlon Brando.

Une fois la lecture entreprise, je me suis laissée embarquer dans « la ballade de Jimmy ».

Le récit coure de la naissance de Jimmy jusqu'à son accident. Philippe Besson sait parfaitement nous faire ressentir la vie en accélérée de ce garçon « sans mère » comme si James Dean pressentait qu'il ne serait qu'une étoile filante aux Trois Grands Films et qu'il rejoindrait celle qui lui a tant manqué, Mildred Dean.

Pour tenter d'approcher le mythe qui personnifie la jeunesse, la vitalité, ce chien-fou à la dégaine nonchalante, suintant la fragilité, ce môme rebelle et incontrôlable, Philippe Besson s'est effacé afin de nous laisser assister à une forme d'interview qui gomme les émotions mais qui nous esquisse le portrait d'une icône dont le livre de chevet était le Petit Prince. Les témoignages sont brefs, certains se relaient et contribuent à nous dévoiler une part intime de Jimmy ; chacun dressant le portrait de l'enfant, du jeune homme, de l'amoureux tel qu'il en a gardé le souvenir. Jimmy n'était pas exempt de défauts.

J'ai vraiment aimé accompagner Jimmy à New York, écouter ses amies et amis comédiens, revoir mentalement Montgomery Clift, découvrir l'Actors Studio, et surtout, écouter Elia Kazan accaparé par l'adaptation du livre de Steinbeck « A l'Est d'Eden ». Formidable ! J'étais dedans !

Et puis, j'ai retrouvé tant d'autres grands du cinéma hollywoodien, Nathalie Wood, Liz Taylor, Rock Hudson, Sal Mineo, reçu les confidences des réalisateurs, participée aux séances photo, enfin, je me suis offert une « dernière séance » n'est ce pas Eddy !

A tous les amoureux des grandes heures du cinéma américain, ce livre est une « madeleine de Proust ».

Je dédie ce livre à ma propre mère qui adorait le cinéma, qui m'a fait découvrir les grandes salles et les grands films de l'époque, qui était au courant de toute l'actualité cinématographique, qui a pris le risque de m'emmener voir « Orfeu Négro » projet qu'elle a dû abandonner après quelques minutes de séance ;-))
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Ce roman choral (biographie romancée) nous raconte l'histoire de James Dean, à travers des témoignages attribués à des personnes qui l'ont connu : la famille, les professeurs de théâtre, les agents, les acteurs, les scénaristes qui alternent avec les réflexions de James Dean lui-même… On croise, au passage, Elia Kazan, Tenessee Williams, Marlon Brando, Elizabeth Taylor
C'est une belle idée, pour nous faire comprendre la fragilité de Jimmy, son côté fantasque, son goût pour le risque, en moto, en voiture plus tard ; il aime se mettre en danger.

Ce que j'en pense
L'auteur nous parle avec tendresse de ce jeune homme, post adolescent, beau comme un Dieu, mi ange mi démon, au regard perpétuellement dans le vide de par sa myopie, la nonchalance affichée, pour tenter de cacher la mélancolie, brisé par le chagrin, la perte de sa mère, et l'abandon du père dont il restera toujours à distance, sans pouvoir établir une relation.
En fait, j'ai été déçue. L'idée était originale certes, mais je n'ai pas été vraiment emballée peut-être parce que je connaissais déjà l' histoire de James Dean, ou parce qu'il s'agit du milieu du cinéma, peut-être aussi parce qu'il n'était pas mon acteur américain préféré (et oui, j'aime les bruns ténébreux, style George Clooney, même quand il sert le café…), j'aurais été peut-être plus touchée s'il s'était agit de la vie de Montgomery Clift qu'on croise dans le film, ou Antony Perkins qui étaient des tourmentés, eux aussi.
C'est le premier roman de Philippe Besson qui me laisse frustrée. J'ai passé un bon moment, certes, mais il aurait peut-être pu aller plus loin. Lui qui parle si bien, d'habitude, de l'intime, de la sexualité, on a l'impression qu'il avait peur d'abîmer la légende, d'écorner l'aura de l'acteur romantique, mort dans des conditions dramatiques et devenu mythique après avoir tourné seulement trois films (et quels films !).
Note : 7,2


Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Philippe Besson revient sur une icône du cinéma avec ce roman choral. On connait tous l'éphémère carrière de ce jeune homme, de son Indiana natal aux lumières d'Hollywood, jusqu'à son terrible accident qui lui coutera la vie le 30 septembre 1955.
En donnant la parole aux proches de l'acteur, Besson par des chapitres courts dresse un portrait d'un James Dean tourmenté, qui croque la vie (qui ne l'a pas épargné) comme un cheval fou, indiscipliné, libre, difficile à cerner. On est forcement constamment dans l'empathie, bouleversé par les témoignages, on lit « Vivre vite » avec nos souvenirs de ces trois films de légende à jamais dans l'histoire du cinéma. Seul reproche peut-être, j'aurai aimé un roman plus épais. Peut-être que l'idée de Besson était aussi par ce court roman, de montrer la courte existence de cet acteur à la beauté fracassante ?
PS : je vous conseille le très bon film d'Anton Corjbin "Life" (2015) avec Dane DeHaan, histoire du photographe Dennis Stock qui suivi l'acteur pendant plus mois.
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A partir d'un énorme travail de documentation Philippe Besson imagine différents témoignages des proches de James Dean et de Jimmy lui-même. On est aux premières loges de ce roman qui flirte élégamment avec la tragédie.
L'auteur utilise dans sa narration une technique de répétition de phrases déterminantes pour comprendre comment jeune enfant, Jimmy a réussi à faire face aux traumatismes qui l'ont accablé. Il nous fait comprendre la solitude insondable des enfants qui ont perdu leur mère.

L'écriture de Philippe Besson est tendre, émouvante et d'une grande humanité. Il construit des chapitres très courts, d'un intérêt irrégulier mais qui créent une évolution dans l'alternance des narrateurs qui racontent leur lien avec James Dean.

Jimmy était un être singulier depuis sa plus tendre enfance et il a toujours cherché à se démarquer. Déterminé et intense, il avait une fragilité qui pourrait être perçue comme de l'arrogance. Susceptible, imprévisible et pas très causant, Jimmy se mure souvent dans son silence. Son air taciturne n'encourage pas l'approche. Sa sensibilité et sa nonchalance vont émouvoir toute une génération de fans. Surdoué de l'art dramatique, en à peine quelques films il s'élève au rang de légende.
Symbole d'une jeunesse en désarroi, James Dean a été le premier acteur considéré comme la représentation du mal-être de la jeunesse de l'époque. Il aimait les sensations fortes et la vitesse.

Anti-star et anti-système, il vivait plus vite, comme s'il savait qu'il disposait de moins de temps.


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VIvre vite le dernier roman de Philippe Besson se lit comme son titre: vite! Voire très vite puisque le découpage du livre en micro chapitres donne un dynamisme important et permet de lire le roman quasiment d'un trait.

3 petites heures suffisent pour appréhender ce qu'était James Dean.
Ce roman choral n'est pas une vraie biographie, mais vu le travail de documentation réalisé par Philippe Besson, on s'en rapproche.

Philippe Besson signe un vibrant hommage à James Dean en faisant parler ses proches, ses amants, ses maitresses, ses réalisateurs, des acteurs... et James Dean lui même.

Abandon, solitude, souffrance, amour, mort, sexualité... je retrouve bien les thèmes fétiches de l'auteur.
On retrouve également sa plume légère et chantante. Les phrases se dévorent et coulent de source. On a souvent à peine commencer le chapitre qu'il est déjà terminé.

On croise Marlon Brando, Nathalie Wood, Paul Newman... Tout semble réel et pas romancé. Une belle prouesse de Besson! Tout ce que j'apprécie chez cet auteur.

On peut regretter que cela ne soit pas plus long... on peut regretter le côté "trop parfait" de l'acteur (seul un chapitre est un peu négatif).
Personnellement, je regrette surtout le côté trop lisse de cet ouvrage. Il manque le ressenti de l'auteur, son avis...
Comme le dit très bien Eve-Yeshe dans sa critique, on ressort un peu frustré de cette lecture. On tourne les pages, on attend... mais rien ne vient :-(
Il manque un petit quelque chose...

Ce roman n'en demeure pas moins un très bel ouvrage que je vous recommande chaleureusement. Cela donne envie de revoir les 3 films de l'acteur et de lire ses biographies officielles.

4/5
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Connaissez-vous l'éphémère, cet insecte qui meurt après seulement quelques heures de sa condition d'adulte ?
James Dean en fut un à l'échelle humaine.
Et le talent de Philippe Besson, que je découvre ici, a été de donner, au lecteur que je suis, ce sentiment de brièveté.
Dans ce roman choral, où tour à tour des proches, des professeurs, des amis, des amants, des conquêtes féminines, des professionnels du cinéma ou l'acteur lui-même prennent la parole, l'auteur nous livre le portrait d'un jeune homme tourmenté que la vie n'a pas gâté.
D'abord en lui enlevant sa mère très jeune, traumatisme dont il ne se remettra jamais vraiment, ensuite en éloignant son père, qui préfère le confier à sa tante Ortense, et avec qui désormais les liens du sang sont brisés.
Bien sûr il y a la beauté, ce jeune homme séduira et troublera plus d'un homme et d'une femme, tous et toutes tombés sous son charme.
Bien sûr il y a le talent, plus de 60 ans plus tard, les 3 films qu'il tourna sont encore considéré comme des chefs-d'oeuvres.
Dean aimait les bolides, la vitesse, l'alcool, les hommes, les femmes, la vie...
Vivre vite, c'était peut-être sa devise.
Vivre vite c'est un roman.
Besson est entré dans la peau de chacun des narrateurs ce qui donne une atmosphère particulière, un accent de vérité. D'ailleurs, elles sont où les parts de réalités ou de fictions.
J'étais tellement impliqué dans le récit que je ne me suis même pas posé la question.
Toutes ces personnes qui m'ont parlé, avec enthousiasme, admiration, amour, sincérité, j'ai pris plaisir à les écouter, j'ai ri avec eux, j'ai aimé avec eux et j'ai pleuré avec eux quand tout s'est arrêté sur cette route de Salinas un après-midi de septembre 1955.
Et tout ça, je le dois à la plume d'un écrivain dont j'ai apprécié le style.
Alors, à bientôt Mr Besson, je crois que nous sommes appelés à nous rencontrer...
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J'ai eu le bonheur de découvrir cette biographie romancée de James Dean, par l'entremise de l'excellente adaptation audio du livre de Philippe Besson.
Pour ce roman choral aux courts chapitres, à nouveau, la forme audio était particulièrement bien adaptée, et je vous la recommande vivement.

C'est mon troisième roman de Philippe Besson, et une nouvelle fois j'ai été captivé par le rythme variable qu'il donne à l'histoire.

Quant à l'histoire elle-même, il est toujours fascinant de découvrir le détail de l'histoire de l'ascension d'une star. difficile donc de ne pas adhérer à ce roman.
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QUATRE furtives apparitions dans des films mineurs,
TROIS premiers rôles éblouissants,
DEUX nominations (fair extraordinaire : à titre posthume !) à l'Oscar du meilleur acteur.
UN bolide, modèle Porsche 550 Spyder, roulant à vive allure sur une petite route de l'Indiana.
ZERO. Le crash fatal.

La comète James Dean a disparu depuis plus de soixante ans, mais son éclat perdure, ravivé de fort belle manière par Philippe Besson dans ce roman choral original et réussi. Plus que le fond, c'est ici la forme qui retient l'attention et qui, si elle peut déstabiliser, m'a particulièrement emballé !
Plutôt que de nous présenter une biographie traditionnelle, l'auteur préfère en effet donner la parole successivement, sous forme d'interviews (fictives, bien sûr !), à une multitude de personnages qui ont cotoyé la star : parents et proches, institutrice et professeurs d'art dramatique, vendeur de motos, amis et amants, photographe, réalisateurs, danseuse et acteurs...

Certains sont célèbres (Elia Kazan, Tenessee Williams, Elizabeth Taylor ou Marlon Brando), d'autres non.
Certains sont immédiatement tombé sous le charme de l'éternel adolescent rebelle et désinvolte, d'autres l'ont vite trouvé ingérable et excentique.
Certains ne font qu'une très brève intervention, d'autres reprennent plusieurs fois la parole.
Certains même - comme la maman de l'acteur - sont morts avant James Dean mais nous adressent de là-haut leur témoignage.

Bref, tous ont leur mot à dire, tous nous délivrent une part de vérité, souvent très succinte, ciblée sur un souvenir précis ou un trait de caractère particulier de ce génie du septième art, fou de vitesse, sauvage et sensible, aussi talentueux que vulnérable, qui n'eut besoin que de trois films (et d'une carrière si tragiquement interrompue...) pour intégrer le panthéon du cinéma américain.
Chaque personnage et chaque anecdote éclaire sous un angle nouveau l'une des facettes du "diamant brut" d'Hollywood, diamant que j'avais honte de ne connaître que de très loin...

Au terme de cette lecture, et même si Besson se tient à distance des données biographiques pures, j'ai le sentiment d'en savoir beaucoup plus sur l'homme au perfecto, qui brille encore par sa fureur de vivre.
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Ce fut très agréable de retrouver la belle plume de Philippe Besson. Découvert avec un autre de ses romans, j’étais ravie de pouvoir relire une de ses histoires.

Ici il nous parle du légendaire « James Dean ». Mais à ma grande honte, je dois reconnaître que je ne connaissais que très peu la vie de cet homme. James Dean est un acteur de génie, placé en haut de l’affiche, en tête de toutes les scènes dès qu’il a commencé à jouer. Mais c’était un homme qui avait besoin de vivre intensément, de vivre vite … ce qui le détruira. Il fait partie de ces acteurs qui demeureront des légendes car la vie ne leur aura pas donné le temps de s’exprimer pleinement.

James Dean fait partie de ces hommes qui ont une soif inexorable de vie. Une soif de sensation forte. Il fait partie des personnes qui doivent toujours être dans l’action. Des hommes qui sont menés par un feu intérieur qui les consume et qui les pousse à toujours se dépasser. Le plus impressionnant, c’est qu’ils n’ont aucunes connaissances de leur influence ou de leur pouvoir sur le monde. Ils ne font que vivre selon leurs règles et personne ne pourra les détourner de leurs choix !

Philippe Besson nous sert un roman entre la biographie et le récit romancé. On ne peut imaginer les pensées de James Dean ou de sa mère de cette façon, mais l’auteur ose des mots pour exprimer les émotions. Ce roman écrit vite pour accentuer l’urgence de cette vie. On nous dresse le portrait d’un homme prêt à tous les sacrifices pour pouvoir explorer les sensations de la vie. C’est avec brio que l’on nous présente un homme avec une telle soif. L’auteur arrive à nous faire des petits moments de la vie des grands moments pour cet homme. Dans ce récit j’ai ressenti le parallèle que l’on peut faire avec des hommes comme Neal Cassady. Des personnes qui ne voulaient vivre que l’instant présent, peu importait demain, puisque c’est aujourd’hui que l’on vit !

Des hommes et des femmes qui ont marqués sans le savoir, et surtout sans le vouloir toute une génération. Chapeau à l’auteur qui nous immerge complètement dans cette vie, c’est réussit j’ai soif de sensations maintenant !
Lien : https://charlitdeslivres.wor..
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