Des vents contraires

Pour mon cours de littérature française contemporaine, j'ai une bonne cinquantaine de livres à lire, dont celui-ci. Dès les premières lignes, j'ai eu du mal. Les phrases sont longues. Cela montre le sens poétique de l'auteur. Mais si on lit à voie haute, il est difficile de bien placer les respirations. Même en lecture silencieuse, j'ai trouvé que c'était trop lourd. le thème de la disparition d'un proche est intéressant et touche de nombreuses familles ou lecteurs. Ici, je ne trouve que la mélancolie et le replie sur leur malheur. Paul est impuissant et laisse tout passer à ses enfants. Il n'est pas ouvert au monde, sauf à la nourriture. Il y a trop d'évènements annexes de grandes ampleurs. Tout est noir, l'espoir n'est pas véritablement présent. La fin du roman reste dans la même veine que tout ce qui l'a précédé. Je retiendrais juste qu'il faut construire son bonheur et ne pas rester dans la noirceur. Quand j'ai terminé ma lecture, j'étais déprimée. Je n'ai pas très envie de lire de tel livre en ce moment.
Lien : http://les-lectures-d-eden.b..

En ce moment, cela ne va pas fort côté lecture. J'enchaîne les déceptions, et ce roman, bien qu'il soit un best-seller adapté au cinéma, ne m'a pas plu.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette histoire à cause du style d'écriture lourd, indigeste à force d'insister sur le côté poétique des descriptions. La ponctuation est déficiente comme si l'auteur ne connaissait pas l'usage de la virgule. Les paragraphes ne sont pas toujours liés les uns aux autres, ce qui donne un ensemble décousu et flou : l'auteur passe du coq à l'âne et introduit une multitude de personnages secondaires au fur et à mesure qu'avance l'intrigue. On s'y perd avec tous ces noms et leurs tragédies quotidiennes. Ne parlons même plus de la publicité disséminée ici là et des marques citées. J'ai pu en dénombrer une dizaine, et c'est déjà beaucoup trop !
Comme l'indique le résumé, il s'agit d'une histoire triste : une famille essaie de remonter la pente suite à la disparition inexpliquée de la mère depuis un an. Mais le personnage principal ne m'a pas vraiment plu : certes, Paul essaie d'élever tant bien que mal ses enfants mais tout au long du roman, j'ai senti une certaine complaisance, comme s'il se délectait un peu de son cas et qu'il imputait une partie de ses échecs sur l'absence de Sarah.
En plus, je trouve qu'il y a trop de drames annexes autour du personnage principal. L'auteur en fait trop et sombre dans un pathos morbide et suintant de noirceur: mort tragique de ses parents il y a quelques années, un de ses élèves se suicide, l'une échappe à un tueur en série, l'une meurt de maladie etc.
Si vous vous sentez déprimé je vous conseille d'éviter ce livre. Bref, c'est une lecture qui m'a ennuyée et que je ne vous recommande pas !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. C'est à peu près le résumé que l'on pourrait faire de ce livre d'Olivier ADAM. Il a eu un franc succès, a été adapté au cinéma. Merveilleux. La femme de Paul disparaît. Il est seul avec ses deux enfants et essaie de faire face. [...]
Lien : http://www.lirezvous.com/oli..

Définitivement non, cet auteur n'est pas fait pour moi. Je n'aime pas son écriture, il m'est même arrivé de relire des phrases tellement je me demandais si je n'avais pas mal lu, tellement je lui trouve une écriture « bizarre » après c'est mon ressenti, je sais que beaucoup aiment.
Je n'ai pas réussi à ressentir de l'empathie pour ses personnages mis à part la petite Manon et la mer… parce que oui la mer semble un personnage à part entière c'est les seuls moments que j'ai trouvé agréable dans ce livre : les bouffées d'embruns.
Il a tellement de personnages secondaires, tellement de sauts du présent au passé parfois sans aucune transition que je ne parvenais pas à m'attacher à eux.
Je l'ai fini parce que quand même je voulais savoir pourquoi Sarah était partie, mais c'est tout.
Lien : https://sandetcesttout.over-..

tellement chiant que j'ai pas réussi à le finir. Et c'est rare que j'abandonne un livre en route.

J'ai trouvé que la trame romanesque était trop noire. tout est négatif et les gens trop méchants pour être vrais. Dans la vie, les choses sont plus nuancées

Le livre « Des vents contraires » d'Olivier Adam, est un roman douloureux, où le personnage central survit après la disparition de sa femme, partie sans donner de nouvelles, le laissant désespérément seul avec ses deux enfants. Cette absence pèse tout au long du roman et l'auteur décrit avec sensibilité, les doutes, l'impuissance du père à pouvoir répondre aux interrogations de son fils et de sa fille. le pouvoir de l'auteur à décrire les êtres, les paysages ne peut laisser insensible, tout est évocateur. On espère une embellie, tant le livre est noir, mais malgré tout les personnages nous portent, tant leur désir d'être heureux reste fragile et fort à la fois. Ce livre m'a bouleversé, par sa force à expliquer le mal être et l'amour des siens.

Je n'ai pas aimé. Histoire de cet homme dont la femme à disparue et qui se retrouve avec ses 2 enfants. Ambiance très morose. Et surtout beaucoup de mal à suivre. D'une ligne à l'autre on passe à autre chose.

Olivier Adam, je ne connaissais pas. Je savais qu'il était malouin, et écrivain. Alors, j'ai emprunté ce roman à la bibliothèque, histoire de. Ce roman, c'est l'histoire d'un super papa qui perd dans des circonstances mystérieuses sa super compagne et prend en charge sa nouvelle vie et celle de ses deux jeunes enfants : la bouteille de whisky dans une main, son coeur sur l'autre. Il déménage à Saint-Malo, ville de son enfance pour y retrouver son frère et sa belle-soeur et tenter d'aller mieux. Jusqu'ici, ça va à peu près, on dira que ça tient la route, hein. le problème, c'est que le personnage, écrivain en panne d'inspiration, devient moniteur d'auto-école et fait plein de rencontres dans des situations totalement improbables, maladroites, risibles. Ses élèves de l'auto-école ont tous des soucis psy. La nouvelle maîtresse de sa fille a des soucis psy. Finalement, le personnage devient l'abbé Pierre local : il enquête sur des disparitions, écoute tout le monde pour comprendre le monde, sauve même une vie... Ah, ah. L'écriture est imprécise, on sent bien qu'à Saint-Malo la météo est instable, hein, mais encore faudrait-il savoir l'écrire. Et puis, le gars s'empiffre de fruits de mer, pêche des crevettes, profite de la flotte qui ne cesse de tomber. Et rien. Pour moi, il ne se passe rien dans ce bouquin. Au fil des pages, j'ai eu l'impression qu'à trop entrecroiser des intrigues microscopiques, le romancier évitait l'essentiel et se laissait submerger par les eaux violentes de la platitude. Voilà, j'ai lu ça. Et j'ai perdu mon temps.

Cà non plus pas aimé. Beaucoup trop de détails et de longueurs.