J'ai toujours dit que je ne retournerais à Diên Biên Phu que réduit en cendres. Pourtant, quarante ans après, j'y suis revenu pour rendre un dernier hommage à ces jeunes de 20 ans, morts pour la France. Ma guerre d'Indochine n'est pas La Guerre d'Indochine, mais le récit d'un homme qui se souvient de cette tragédie avec émotion...