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    JulianAArdennes le 29 avril 2024
    Le saviez-vous.
    Le panettone moderne que l'on déguste habituellement pour les fêtes de Noël est un gâteau très ancien que les habitants de l'Italie avant l'implantation du christianisme confectionnaient pour célébrer la fin de l'hiver et le retour de la lumière. Ils allaient le déposer aux pieds de vieux arbres dans la forêt et de là viendrait le nom de la pâtisserie, destinée au dieu Pan, panettoni selon les spécialistes découlerait de la racine " 'eton" qui signifierait : pour toi. Ces gâteaux étaient toujours offert à la divinité par paire ( 1 + 1 gâteau) que l'on liaient ensemble par un ruban. De plus si l'on frotte deux pannetoni l'un contre l'autre on reproduit le bruit du vent dans les feuillages, d'autres le compare plutôt au son produit par les roues d'un vélo.
    A part la dernière anecdote toutes ces informations nous viennent du poète Ovide et tout est faux sauf ce que vous aurez la fantaisie de croire vrai.
    JML38 le 29 avril 2024
    Pour rappel, lors de ma première sélection en équipe France j'ai pris le "caramel" du siècle contre les Springboks, avec coupure momentanée du son et de l'image.
    La lumière s'est rallumée alors que je me trouvais à l'infirmerie de L'Ellis Park Stadium de Johannesbourg.
    Un brave homme en blanc m'a posé quelques questions - protocole commotion que ça s'appelle. Il m'a notamment demandé combien faisait 1+1. Lorsque je lui ai répondu que cela dépendait de la base de calcul, mais qu'en base 10 cela devait faire 2, il a paru satisfait.
    Pour mon malheur mon genou gauche avait été touché, mon corps n'ayant pas été préparé à un tel choc même si le rugby est réputé être un sport de contact, ou joué par "des cons sans tact" pour reprendre les termes d'une de mes amies.
    Résultat : de longues séances de rééducation, avec aquabiking pour commencer, puis vélo : d'appartement ou de plein air
    Dans l'idéal, j'envisage un retour sur les terrains d'ici quelques semaines.
    Pour l'instant, étant d'un naturel optimiste, je considère le bon côté me disant que je vais enfin pouvoir découvrir la belle forêt située à proximité de mon domicile campagnard.
    Et qui sait ? y faire de jolies rencontres. Peut-être même quelque fée ou sorcière... un petit chaperon sur un vélo rouge...
    Mais certainement pas mes potes Nanard et Gégé pour qui vélo et forêt dans une même phrase est une sorte d'agression verbale, et qui ne connaissent en rugby qu'une mi-temps, la troisième, les deux autres ne servant selon eux que de défouloir pour des petits gars plein d'énergie qui trouvent ludique de se disputer dans un champ un ballon même pas rond. Je compte d'ailleurs plus sur eux pour me remonter le moral en faisant la teuf chez "Mère Grand", avec modération dans la mesure où ce mot existe encore dans leur vocabulaire  
    Cathye le 29 avril 2024
    JML38 : génial T'as dégainé rapidement.
    JML38 le 29 avril 2024
    Merci Cathye  
    Trop vite même car j'ai déjà fait quelques modifs, dont l'ajout d'un petit chaperon sur un vélo rouge en référence à ceux rencontrés dans les textes du mois (les vélos rouges, pas les chaperons).
    GaLim le 29 avril 2024
    Bonjour ! 

    Chouette idée 👍
    Alors voici une petite bafouille rédigée à la va-vite sur Notes Keep, donc désolée pour les fautes qui doivent traîner à droite à gauche 😉.

    Il était une fois l'histoire de la Reina Carolina dite Carolina78  ...

    Dans une contrée merveilleuse, la Reina s'épanouissait dans son vaste et fastueux château, entourée de milliers d'ouvrages plus ou moins anciens, qui en francais, qui en espagnol. Tous les soirs, dès le coucher du soleil, elle s'empressait de rejoindre son immense bibliothèque. Elle allumait la faible lumière jaune qui nimbait d'une aura mystérieuse la pièce et s'installait confortablement dans son canapé qu'elle avait eu l'heur de se voir offrir. En effet, le vendeur lui avait proposé un marché qui ne pouvait se refuser, même pour une richissime Reina :  1 jeu de chaises Louis XVI acheté + 1 commode Louis XV commandée = un canapé Ikea offert. 

    Donc tous les soirs, tel un rituel bien établi, elle adorait se lover dans ce canapé pour un corps à corps sensuel et littéraire. Boulimique de lectures diverses et variées, elle était incapable de lâcher ses livres avant l'aube, si bien qu'après seulement une à deux heures de sommeil, le réveil était un véritable supplice pour Sa Majesté. 

    Chaque matin, les domestiques en livrée faisaient leur entrée dans la chambre royale, offrant un voyage dans le temps à quiconque assistait à cette scène surréaliste. Les uns ouvraient les volets et les rideaux, les autres préparaient les affaires de bain de la Reina Carolina, quand d'autres choisissaient et repassaient les habits du jour de Madame. Madame regardait ce ballet d'un oeil encore fermé par le sommeil et de l'autre à peine à demi ouvert. Oscillant entre rêve et réalité, elle se questionnait sur le sens de toute cette agitation : et si c'était vrai...

    Péniblement, elle s'arrachait de son lit à baldaquin, effectuait sa toilette, s'habillait dans un état léthargique, avant de descendre les innombrables marches de l'imposant escalier sis au milieu du château. Enfin arrivée au salon, elle s'installait à un bout de la longue table en marbre blanc sur laquelle s'étalait un gargantuesque petit-déjeuner. A peine eut-elle le temps de tremper ses lèvres dans sa tasse de café qu'un domestique paniqué arriva essoufflé et affolé. 

    - Majesté, je vous prie de bien vouloir excuser mon intrusion matinale mais vous êtes attendue pour le déjeuner chez les Bonbonnière de la Bonbonne. C'est qu'il est bientôt midi, Majesté.

    - Diantre, il est déjà midi ! Merci mon brave. Ah et au passage, arrêtez donc avec vos "je vous prie". Il n'y a bien que le Seigneur qui doit être prié en ce bas monde... 

    - Bien Majesté, comme il vous plaira Majesté. 

    La Reina quitta la table sans trop se presser, et sans oublier d'emporter avec elle ses deux tartines généreusement beurrées. 

    Majestueusement assise dans son 208ème carrosse tiré par des lions blancs d'une rare beauté, Sa Majesté savourait ce moment de solitude en admirant le paysage. Elle adorait cette partie du trajet qui l'amenait à traverser une forêt verdoyante. Elle humait les différentes essences d'arbres, de plantes et de fleurs. Elle se remémorait toutes les fables de son auteur favori dans lesquelles des animaux fantastiques gambadaient en toute liberté dans la nature. Quelle joie ce devait être que de profiter de cette liberté qui lui faisait tant défaut ! Pas d'obligations ni de protocole, juste être soi... 

    Tout à coup, le carrosse d'habitude si paisible fit une brusque embardée. Intriguée, la Reina Carolina regarda par la vitre et aperçut une femme à vélo. Cette dernière, sans aucune gêne, fit une queue de poisson au carrosse royal. 

    - Non mais, pour qui se prend-elle celle-là ? bougonna in petto la Reina. Ne serait-ce pas la Cathye   ? Celle qui parcourt toutes les aires du royaume ? Pour sûr, elle va avoir de mes royales nouvelles... 

    A nouveau, le carrosse fut secoué de toutes parts, les roues ayant brouté le bas-côté truffé d'ornières. Jusqu'à présent, Sa Majesté avait réussi à préserver ses fameuses tartines beurrées, bien calées chacune dans une main gantée. Mais ça, c'était avant qu'elles n'effectuent un vol plané artistique. La bouche ouverte, les yeux écarquillés, la Reina retint son souffle tout en tendant les bras pour tenter de rattraper au vol les précieuses tranches dorées. Miraculeusement, ces dernières atterrirent face beurrée contre face beurrée dans la paume gantée de Sa Majesté. 

    - Ouf, quel soulagement d'avoir pu sauver mon petit-déjeuner ! Et que c'est drôle cette disposition des tranches... On dirait qu'elles s'embrassent, rigole la Reina. Je vais les appeler les "tartines-bisou". Dorénavant, je ne les mangerai que de cette façon. 

    Le carrosse s'arrêta devant un château un peu austère mais non moins prestigieux - celui de la famille Bonbonnière de la Bonbonne. N'ayant pas eu le loisir de déguster ces tartines-bisou, la Reina Carolina les emporta avec elle. Autant dire que les invités de l'inauguration du premier rallye d'hiver en furent très étonnés. 

    - Sa Majesté, mes hommages... s'inclina Monsieur Bonbonnière de la Bonbonne. C'est un honneur que de...

    - Merci bien Monsieur, le coupa la Reina qui ne put s'empêcher de mordre à pleines dents dans ses tartines-bisou. 

    Cette scène fit tellement parler d'elle que tout le gotha en fit ses choux gras. Pour autant, tout le monde n'était pas encore au courant...


    Quelques semaines plus tard, lors d'un autre rallye moins mondain que celui auquel assista la Reina, des invités étaient conviés à un brunch. L'un d'entre eux ayant eu vent de la nouvelle façon de manger ses tartines à la cour, décida de reproduire l'assemblage des tartines-bisou. Stupéfaits et ignorants de cette pratique, ses voisins de table en furent choqués et interrogèrent le malotru. 

    - Que faites-vous très cher ? demanda la baronne.

    - Hummm !? marmonna l'homme goujat.

    - Qu'est-ce donc là ? redemanda la baronne en pointant du doigt les tartines-bisou.

    - Oh ! Me ? Sandwich, répondit le Lord Sandwich qui, ne parlant pas français, n'avait pas compris que la baronne ne lui demandait pas son nom. 

    Il fallut quelques mois encore pour que les tartines-bisou s'imposent dans tout le royaume. Mais sur un quiproquo, elles prirent le nom de sandwich. Quant à la Reina Carolina, elle poursuivit ses lectures, sans se soucier de ces tartines beurrées, bien trop accaparée qu'elle était par son nouvel ami Babelio. Ainsi entourée, elle vécut de nombreuses années emplies de bonheur ! 

    GaLim le 29 avril 2024
    Génial JML38  👍, tu as même réussi à caser des personnages des différentes histoires. Bravo 👏😁
    JML38 le 29 avril 2024
    Merci GaLim  
    Oui mais toi tu as balayé plus de défis dans un texte totalement foutraque comme demandé  Donc bravo à toi.

    Merci à JulianAArdennes pour cette sympathique initiative et pour son texte gourmand d'ouverture.
    Cathye le 29 avril 2024
    GaLim : tu parles d'une bafouille Désolée, juste survolé ton texte qui dès le début me fait rire.  Et puisque tu m'as encore collée sur les aires d'autoroute, je corrigerai les fautes, na !  
    Bravo à tous les deux 👏 👏
    GaLim le 29 avril 2024
    Mince, j'avais perdu le chemin pour revenir par ici ! 

    JML38  Le joyeux foutraque et moi, on ne fait qu'un, alors ça me va parfaitement comme défi 🤣😜. Mais je crois que j'ai trouvé un sérieux concurrent avec JulianAArdennes . En tout cas, merci d'avoir créé cet espace, je sens qu'on va bien rigoler 😉. D'ailleurs Cathye  a déjà commencé 😁 ! Et pas de problème pour que tu corriges mes fôtes mais pas en conduisant,. c'est trop dangereux 🤣 !
    Sflagg le 29 avril 2024
    Salut !

    Allez je me prête au jeu.
    GaLim : j’espère que ce nom plaira à ta chamane.

    Bonne lecture !

    Enquête en forêt :

     En ce dimanche ensoleillé de mi-mai, le lieutenant Nick Talope et sa femme Aurore avaient décidé d'aller faire un tour de vélo en forêt. Depuis l'affaire de la petite reine, il avait repris goût pour cet instrument de remise en forme, qu'avant il considérait comme un engin de torture.
     Au détour de leur flânerie, ils croisèrent un léporidé plutôt lubrique ; un arbre qui semblait bien seul malgré tous ses congénères qui l'entouraient ; un piaf assez kamikaze ; une gamine ou un gamin, ils n'y prêtèrent pas plus d'attention, apparemment perdu(e ?) ; un insecte qui les interpela, alors qu'il était tout ce qu'il y a de plus banal ; et, une hache sur l'épaule et une tronçonneuse faisant balancier au bout de l'autre bras,  le bucheron Laurent Dubois.

     Sur la radio qu'avait emportée le lieutenant passait un vieux tube de Marie Laforêt

     Vers les midi, ils décidèrent de s’installer dans une petite clairière pour piqueniquer. Ils ne l'avaient pas choisi pour sa beauté, mais pour sa luminosité. Effectivement, Aurore, depuis qu'elle avait passé une nuit seule dans le noir, avait du mal à supporter les endroits sombres.
     Sur le chemin passèrent alors les deux jumeaux Francis et François Pignon. En voyant le lieutenant, ils eurent l'air peu heureux de cette rencontre, et, à peine un bonjour soufflé du bout des lèvres, ils accélérèrent le pas. Décidément, ces deux-là n'ont pas l'air très nets, se pensa Nick.
     Peu de temps après ce fut Vincent Volt qui se présenta  en boitillant à l'entrée du chemin, mais dans le sens opposé à celui des deux roux. Lorsqu'il aperçut le flic et sa femme, il fit demi-tour. Bizarre ! se dit Talope.
     Enfin, ce fut autour d'Adèle Menti de passer devant la clairière, l'air tout aussi troublé d'y trouver le lieutenant et sa femme.
    "Il se passe quelque chose, dans ces bois, et ça n'a pas l'air très catholique, réfléchi à voix basse Nick."

     Dans le poste se faisait entendre Maxime Le Forestier.

     Après un bon déjeuner et une digestion bien méritée, ils ré-enfourchèrent leurs bécanes et reprirent leur balade, profitant de la poésie des lieux. Du moins madame en profitait, car le lieutenant lui n'arrêtait pas de penser aux drôles de comportements de ceux qu'ils avaient croisés dans cette forêt pourtant peu fréquentée d'habitude.
     L'une, absorbée dans ses rêveries, l'autre dans ses réflexions, ils ne virent, ni l'un ni l'autre, que le chemin se divisait en deux, et qu'ils prenaient la mauvaise fourche.
     Plus ils s'enfonçaient au cœur de la forêt et plus ils rencontraient d'étranges personnes qui apparemment habitaient les lieux.
     Ce fut d’abord une petite fille pâlotte qui fredonnait gaiement, un panier plein d’œufs à la main.
     Puis, devant une petite maison charmante, une femme, à l'étrange prénom qui ne voulait rien dire de Olena,  les interpella l'air complètement halluciné :

    "Ça y est, ces fous ont fait sauter la centrale nucléaire. On va tous mourir !" 

     À n'en pas douter, elle était complètement folle.
     Plus loin, ils eurent à peine le temps de voir se cachant dans la végétation, un enfant sauvage. Ils apprirent plus tard qu'il se nommait Victor
     Et pour finir, au plus profond de la forêt, au bout du chemin, ils tombèrent sur une bicoque sans âge où habitait une femme à l'air tout aussi vieille.
     En sortirent alors l'enfant non genré et le bucheron Dubois qui, semblait-il, étaient père et fils ou fille, on ne le saura jamais. Eux aussi eurent l'air peu en joie de voir débarquer le lieutenant Talope et sa chère et tendre.
     Il s’avérât que la femme était en fait une chamane,  Abuelita  Bruja, et que si tous ces gens croisés avaient l'air ennuyé, c’était parce que grâce à des décotions à base de plantes, elle soignait leurs petits bobos, alors que cela était interdit. C'était Mehdi Khaman, le pharmacien, qui n'aurait pas été contant s’il avait su cela. Mais il ne l'apprit jamais, car Aurore, qui souffrait de migraines chroniques, trouva là un remède qui lui calma ses douleurs comme aucun médicament n'avait réussi à le faire jusqu'à présent. Puis le lieutenant rappela que l'on était dimanche, et que le dimanche il ne travaillait pas.

     Nos deux cyclistes amateurs s'en repartirent donc, promettant de ne rien dire sur toute cette sorcellerie, sauf cette conclusion sans queue ni tête que fit le lieutenant Nick Talope :

    "Quelle aventure foutraque que cette balade à vélo en forêt. On y a croisé d'étranges animaux, des gens louches et d'autres qui n'avaient pas la lumière à tous les étages, mais au moins à la fin, tu as trouvé un remède pour ta migraine. Comme quoi, quoi que l'on fasse, 1+1+ ça ne fait pas toujours deux."

    Sur les ondes, une chanson de Robert Charlebois arrivait à son terme.


    Fin !

    S.Flagg !!

    A+ !!
    Sflagg le 29 avril 2024
    Déjà de belles propositions et bien drôles.

    JML38 : pour quelqu'un venant du pays du rugby, tout cela me parle. Tout s'enchaine et une personne n'ayant pas toutes les références, le comprendra tout de même.

    GaLim  : Il faudra que tu me donnes ta recette pour pondre des textes aussi biens écrits en aussi peu de temps. Pas sûr que la reine Carolina apprécie, mais moi j'ai adoré. Les références se suivent et l'histoire roule toute seule, avec un final pas piqué des hannetons qui m'a bien fait rire.

    A+ !!
    JulianAArdennes le 30 avril 2024
    JLM38  C'est fluide, c'est drôle, c'est naturel, on ressent toute la sympathie de l'univers du rugby.

    GaLim  Votre histoire est complètement intersidérale ou plutôt carrément interfoutriquérale.
    Que Chuck Norris protège la Reina Carolina.


    Sflagg  Louche cette forêt. Je crois que par hasard le lieutenant Nick Talope et Aurore ( la lumière de sa vie) sont tombés sur le lieu où prennent naissance tout vos personnages de fiction. Allez savoir ce que va produire ce médoc dans l'organisme d'Aurore. Comme dans les contes de fées peut être va t-il sortir de sa bouche à chaque fois qu'elle l'ouvrira des hommes et femmes tout en chair au nom et prénom totalement improbable.
    JulianAArdennes le 30 avril 2024
    Efficace :
    J'ai peur de faire du vélo dans la forêt à l'heure du lever du Soleil car je sais qu'alors les tartines beurrées que j'ai avalé au petit déjeuner vont se multiplier dans mon estomac et que je vais exploser.
    GaLim le 30 avril 2024
    Sflagg  Bravo, une belle compilation des différents personnages de divers textes 👏. Tout du long, j'ai eu peur pour le dénouement. Je m'attendais à quelque chose de gore ou de totalement "flippant". Mais ouf, grâce à la Abuelita Bruja, tout finit bien dans le meilleur des mondes 😁. Mais dis-moi, pas de risques d'addiction avec ce remède, hein ?? 🤣 
    Et merci pour ton retour. J'attends l'avis de la Reina Carolina78 mais que veux-tu, Sa Majesté sait se faire désirer 😜.

    Merci aussi à vous/toi (option à déterminer 😉). C'est vrai, il va falloir penser à intégrer Chuck Norris, JCVD et compagnie... A méditer 🤔 Quant à l'explosion de l'estomac, ça doit faire super mal quand même, non !? Ceci dit, les tartines sont simplement beurrées et pas poudrées (d'explosifs) 🤣😜.

     
    JML38 le 30 avril 2024
    Sflagg  
    Une belle compil bien foutraque de quelques événements ayant agrémenté ces derniers défis.
    J'écoute en même temps Stanley Beckford suite à ton post sur "On ouvre le chant".
    Le mélange de la lecture et de la musique est génial. Je recommande fortement.
    Carolina78 le 30 avril 2024
    GaLim   ton histoire me plait beaucoup mais n'a absolument rien à voir avec Carolina78 éprise de justice sociale, qui serait reine des clochards et qui donnerait une petite couronne à tous les participants des défis !


    JML38 1+1 les neurones s'entrecroisent dans le ciboulot et ça fait bang bang !

    Sflagg  Que d'aventures à vélo ! j'ai apprécié la balade qui m'a rappelé des souvenirs babeliesques.

    Je me rends compte que vous avez développé une culture commune et que je suis un peu larguée. Je prendrai le temps de vous pondre une bafouille bien simplette !

    JulianAArdennes   lumineuse idée que ces hors-défis ! 
    Sflagg le 30 avril 2024
    Salut et merci à tous !!

    JulianAArdennes : Il va falloir arrêter de divulguer toutes les ficelles de mon univers . ça fait déjà deux fois. Sinon j'aime bien l'idée de "Aurore la lumière de sa vie", je pense que je vais la garder, ça se marie bien avec "notre bon maire", "sa petite reine" et "le saint patron".

    GaLim : Aucun risque d'addiction, c'est que des produits saints. J'ai repris un temps l’intérêt qu'avait mon grand-père pour l'herboristerie, et c'est à ce genre de remède que je pensais, pas à l'autre, celui qui met dans de drôles d'états.

    JML38 : T'ayant déjà répondu sur libre musique, j'ai rien à ajouter de plus.

    Carolina78 : Une culture commune, je ne sais pas, mais un délire commun, possible, mais ne t’inquiètes pas, si tu reviens tu le rattraperas bien vite. Il va pas très vite, ni bien loin, surtout qu'il n'a pas toute une cour pour pédaler à sa place et n'est pas électrique, le petit vélo que l'on a dans la tête.

    A+ !!
     

    JulianAArdennes le 01 mai 2024
    GaLim  Convoquer Chuck Norris et JCVD ? Ô grande magicienne GaLima, détentrice des secrets de la Nature, ordonnatrice des astres dans le ciel, multiplicatrice des tartines beurrées dans l'assiette, détentrice du permis vélociraptor, quel est ce rituel à effectuer, l'enchantement à pratiquer. Ordonnez et je vous obéirez,  j'irai ceuillir les ingrédients, touillerai la marmite, verserai l'élixir dans la fiole pour que se réalise votre Volonté.
    nathlef06 le 01 mai 2024

    Même si j’adore Bev, Nick Talope et la bande à Gégé, mon foutraque ne reprend que les thèmes des défis depuis mon arrivée au café littéraire en Juillet 2023 .

    Tout avait commencé comme une fable qui finit bien …” Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants!”
    Première rencontre sur les bancs de la fac, toute la lumière de ce jour de Septembre semblait converger vers toi .
    On a tout fait ensemble et en même temps : la réussite à la licence et la fête de notre mariage, des gamins qui n’avaient peur de rien et pour qui le futur serait encore mieux que l’instant présent, le premier job et la naissance d’Arthur, la maison avec un grand jardin et l’arrivée de Clara. On l’appelait la maison du bonheur remplie de rires d’enfants. On n’avait pas la main verte et tout poussait librement : on y jouait à cache cache : on  l’appelait notre forêt.
    Le couple idéal, la famille idéale, 1+1= 4, la vie idéale 
    Quand la machine s’est-elle grippée? Le premier soir où tu as passé la nuit sur le canapé ?, la première fois où je n’ai pas regardé l’heure alors que j’aurais dû m’inquiéter de ton retard ?, quand on ne s’endormait plus nos deux corps serrés l’un contre l’autre ? 
    Ou le désamour s’est installé tout doucement et inexorablement, comme les soirées improvisées entre copains qui s’espacent, les projets de vacances qui tombent à l’eau et la routine qui englue la spontanéité et les coups de folie ?
    Un dimanche matin, alors que le café coulait et que les tartines étaient déjà beurrées, tu m’as dit que tu me quittais, que tu étouffais dans cette vie que tu n’aimais plus et que tu n’étais plus capable de me rendre heureuse…
    Je suis en train de fermer la maison qui a été vendue à une autre famille. Nous leur avons laissé le barbecue qui ne servira plus en ville et même les vélos dans l’abri de jardin. Je pleure un peu mais déjà les enfants, maintenant ados, m’appellent. Ma deuxième vie également… enfin j’espère…! 


     

    nathlef06 le 01 mai 2024
    Je n’ai pas le talent de GaLim pour commenter tous les textes mais je suis assidue dans leur lecture et encore bravo à JulianAArdennes pour cette idée!





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