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Plon est une maison d`édition française fondée en 1852 par Henri Plon et ses deux frères. Les publications sont principalement orientées vers l’histoire politique, la littérature et les sciences humaines, à travers les collections Documents et Mémoires, Romans, Feux Croisés (littérature étrangère), Terre Humaine et Romans jeunesse.

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Petit traité de vie intérieure

Frédéric Lenoir a acquis maintenant une vraie célébrité, notamment par ses nombreux ouvrages touchant à la religion et à la spiritualité. Pour ma part j'apprécie beaucoup sa manière de poser les problèmes, sa clarté, sa manière d'exposer accessible mais sans simplifications abusives. J'ignorais l'existence de ce "Petit traité de vie intérieure" paru en 2010. Je viens de le lire et je n'en suis pas mécontent.

Il aborde successivement une série de problématiques fondamentales touchant à notre itinéraire individuel et conditionnant la "sagesse" avec laquelle nous conduisons (ou tentons de conduire) notre vie personnelle. Je ne les citerai pas toutes; mais je pense que le tour de ces questions a été fait. L'auteur n'hésite pas à se dévoiler et à illustrer son propos (général) par son propre vécu. Tout cela me semble profondément vrai Toutefois, le lecteur doit être capable d'intégrer lentement et de mûrir en lui-même toutes ces considérations. Il est évident qu'une personne en très grande difficulté ne devra pas y chercher des "recettes" toutes faites et immédiatement applicables; et d'ailleurs, Frédéric Lenoir ne voudrait pas être pris pour un gourou. A mon avis, il vaut mieux lire ce petit traité à petites doses, en laissant "reposer" en soi toutes ces réflexions.

J'ai particulièrement aimé certains passages, par exemple celui consacré à l'humour ou l'addendum concernant Jacques Séguéla et Socrate.

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Auteur de crimes

Auteur de crimes commence sur les chapeaux de roues, c’est le cas de le dire, alors que le capitaine Markou se range devant un immeuble, y pénètre, monte les escaliers à toute vitesse, s’arrête devant la porte d’un appartement, y entre, s’avance devant une bibliothèque remplie de romans policiers, une hypothèse ayant germé dans son esprit expliquant les meurtres survenus récemment dans les rues d’Athènes… Christos Markogiannakis continue de rendre hommage à la littérature policière dans ce quatrième tome mettant en vedette le capitaine Markou, citant des classiques du genre; malheureusement, il divulgâche aussi certaines intrigues célèbres, un choix fâcheux pour qui n’a pas lu ces romans et que j’ai trouvé agaçant. Alors que les romans précédents de cette série quand même agréable à lire se centraient beaucoup sur le capitaine – exit les personnages secondaires -, l’auteur étoffe davantage cette fois-ci et le cadre de vie, et la personnalité de son enquêteur, faisant apparaître une vieille voisine sympathique ainsi que deux collègues de travail qu’il va évidemment suspecter, ce qui m’a quand même un peu laissée avec une impression de pions sur un échiquier. Cela reste quand même un roman qui m’a fait passer un bon moment de lecture, sans plus…
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Les cristaux de Capella

Et un Jimmy Guieu de plus ! Il s'agit d'un auteur que je trouve moyen mais si on rapporte ça à la production industrielle c'est intéressant comme lecteur de temps à autres.



L'histoire nous projette à bord d'un vaisseau spatial alors qu'il arrive sur une planète dont les colons ne donnent plus signe de vie.



Première surprise, et elle intervient longtemps après le début du roman, il s'agit d'une suite. Il y a déjà eu un épisode avant et il y en a potentiellement un autre derrière ( enfin là c'est hypothétique ).

Bon, pas grave ça se lit tout de même facilement.



Le roman est intéressant dans son rapport aux extra-terrestres belliqueux car partant sur un quiproquo. Les Cérrupédéens m'ont fait penser à des espèces de Goro de Mortal Kombat physiquement donc c'est plutôt atypique.

Par contre, j'ai été plus que circonspect en ce qui concerne l'octaèdre. Peut être que c'était mieux expliqué dans le tome précédent ou qu'ils étaient introduits positivement mais là tout le long du roman j'ai été gêné par leur présence clairement. D'ailleurs la fin m'a conforté dans ma pensée avec des extra terrestres qui visent à garder en coupe réglée l'intégralité des êtres en présence.

Je vais spoiler mais ça se finit tout de même par des humains qui ne sont pas super content d'être verts et qui se plaignent d'être ostracisés par la suite et un octaède en face qui réponds que ce n'est pas grave parce que tous les humains vont être verts pour qu'il n'y ait plus de racisme ... Oui oui c'est un concept particulier.

Couplé au fait que les humains en présence des octaèdres tombent parfois sous leur pouvoir, c'est pas folichon niveau liberté.



Au final un livre qui se lit vite. Les 218 pages m'ont pris 2 jours en prenant mon temps. C'est pas mal écrit même si certaines valeurs de l'auteur ont moyennement vieilli. C'est parfait pour lire entre deux livres plus sérieux ou pour prendre du plaisir à lire un livre mieux construit ( des fois ça fait du bien de lire quelque chose de moins bon pour apprécier le reste ).
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