Lucinda se met en tête de déblayer l'amas de feuilles avec ses pieds, avec énergie et attention... au cas où... Lorsque le plastique noir se découvre mieux, elle s'aide de ses mains nues... Elle n'ose pas palper, même si rien ne bouge.
Un dernier élan de courage et Lucinda se décide à dégager cette forme inerte recouverte d'une bâche noire que l'on achète sans difficulté au supermarché du coin.
[...]
La scène est abjecte, horrible. Lucinda s'arme de courage et se relève avec prudence, pour ne pas abîmer le corps humain qui se trouve à ses pieds.
La scène est abjecte, horrible. Lucinda s'arme de courage et se relève avec prudence, pour ne pas abîmer le corps humain qui se trouve à ses pieds.
C’est un métier que de faire un livre comme de faire une horloge