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À force d’insistance, l’aversion m’a gagnée pour un lieu sans issue indigne d’exister, en marge de la vraie vie. Étais-je prédestinée à m’égarer au sein de rues maudites, incapable d’en échapper comme dans un songe ? Ma crainte était d’affronter la nuit sans fin, la dernière où je devais me dissoudre. Allais-je finir sur le trottoir, exposée aux pires infortunes ? Là, étendue, le regard fixe, les mains ouvertes sur le vide, adieu, pensée vagabonde ! Déjà, mon corps parcouru de frissons glacés, mué en glaçon me paraissait étranger. Qui sait si je n’allais pas finir en glacier ? Tremblante, en agonie, j’ai cru percevoir un murmure : « Poursuis ta voie ! » En dernier recours, j’ai résolu d’y souscrire.
Au moment d’atteindre un dédale de ruelles douteuses, j’en ai élu une au hasard. Triste initiative, liberté mal inspirée ! À peine ai-je mis le pied dans ce qui tenait du coupe-gorge que les signes visibles se sont effacés. Pas même une silhouette de chat errant. Une ombre calcinée aveuglait la réalité. Tout était noir, trop noir comme si j’avais les yeux bandés. Avais-je connu une nuit semblable ? Dans ma marche au jugé, les parois taciturnes, noyées d’obscurité, quelle terreur de les effleurer par mégarde ! Loin d’être complices, les ténèbres me traitaient en adversaire. Allaient-elles enfanter des monstres goyesques ? Rien donc à déchiffrer mais rien non plus à percevoir dans une voie aux codes inconnus. Le silence s’imposait, infiniment présent, un silence déferlant qui neutralisait ma raison. En butte à des peurs d’enfant, comment survivre au sein d’un univers sourd et aveugle ? Au demeurant, même une voie tragique a sa raison d’être. La certitude que la mienne aboutissait quelque part m’a insufflé la force de continuer.
Mais au bout de la ruelle, quel désarroi de ne plus sentir l’asphalte sous mes pieds ! J’ai eu alors la sensation de descendre, descendre au fond d’une zone morte. Mes pieds ont buté à la fin sur un chaos inerte. D’abord, ce monde inférieur m’est apparu indéchiffrable. Sans lumière, tout n’est-il pas amalgame, confusion inimaginable ? Comment saisir l’intérêt de cette brèche où j’avais abouti par erreur ? À moins de servir de dernière demeure. À cette idée, la panique s’est emparée de moi. Malheur ! je venais de franchir un cimetière funeste tapissé de silence. Mes pieds broyaient des ossements humains. Au-dessus, l’air ouateux étendait son drap mortuaire. Et si je croisais un fossoyeur de l’ombre, il me prendrait pour une dépouille dans le noir. Comment chasser de moi l’épouvante d’être enterrée vive dans un trou creusé pour me faire disparaître ? Ensevelie dans l’anonymat, on laisserait choir sur moi une pierre anonyme. Impossible de calmer mon effroi à l’idée d’y séjourner à jamais, dépossédée d’existence ! Châtiée pour mon inconscience, tout ce qui me touchait n’allait-il pas mourir avec moi ?
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Incertaine, j’ai arpenté un espace insensible où rien ne se détectait en clair. En moi survivaient des pensées obscures. Dieu sait où cette marche nocturne m’entraînait. Sans cesse surgissait une rue trompeuse pour me perdre encore. Lorsque je m’y aventurais, l’angoisse me prenait d’aboutir sur un cul-de-sac. Apeurée, je me retournais parfois, croyant avoir perçu un bruit de pas. Mais nulle ombre errante dans la nuit. Or, j’aspirais au vivant tant l’ignoré m’effrayait. Pouvais-je renoncer au monde auquel j’appartenais ?
Tant bien que mal, j’ai poursuivi mon avancée au sein d’une nuit insondable. Et si le jour n’allait jamais reparaître ? Friande de hasard, celui-ci s’était retourné contre moi. Fragment sans repères, j’allais à la dérive à travers des rues perfides. Une fuite perpétuelle hors du temps, hors du monde vivable. Et en mon souffle, que d’angoisse à vaincre ! L’envie me prenait d’appeler pour donner voix au silence. Mais que vaut un cri perdu dans la nuit ?
À force d’insistance, l’aversion m’a gagnée pour un lieu sans issue indigne d’exister, en marge de la vraie vie. Étais-je prédestinée à m’égarer au sein de rues maudites, incapable d’en échapper comme dans un songe ? Ma crainte était d’affronter la nuit sans fin, la dernière où je devais me dissoudre. Allais-je finir sur le trottoir, exposée aux pires infortunes ? Là, étendue, le regard fixe, les mains ouvertes sur le vide, adieu, pensée vagabonde ! Déjà, mon corps parcouru de frissons glacés, mué en glaçon me paraissait étranger. Qui sait si je n’allais pas finir en glacier ? Tremblante, en agonie, j’ai cru percevoir un murmure : « Poursuis ta voie ! » En dernier recours, j’ai résolu d’y souscrire.
Au moment d’atteindre un dédale de ruelles douteuses, j’en ai élu une au hasard. Triste initiative, liberté mal inspirée ! À peine ai-je mis le pied dans ce qui tenait du coupe-gorge que les signes visibles se sont effacés. Pas même une silhouette de chat errant. Une ombre calcinée aveuglait la réalité. Tout était noir, trop noir comme si j’avais les yeux bandés. Avais-je connu une nuit semblable ? Dans ma marche au jugé, les parois taciturnes, noyées d’obscurité, quelle terreur de les effleurer par mégarde ! Loin d’être complices, les ténèbres me traitaient en adversaire. Allaient-elles enfanter des monstres goyesques ? Rien donc à déchiffrer mais rien non plus à percevoir dans une voie aux codes inconnus. Le silence s’imposait, infiniment présent, un silence déferlant qui neutralisait ma raison. En butte à des peurs d’enfant, comment survivre au sein d’un univers sourd et aveugle ? Au demeurant, même une voie tragique a sa raison d’être. La certitude que la mienne aboutissait quelque part m’a insufflé la force de continuer.
Mais au bout de la ruelle, quel désarroi de ne plus sentir l’asphalte sous mes pieds ! J’ai eu alors la sensation de descendre, descendre au fond d’une zone morte. Mes pieds ont buté à la fin sur un chaos inerte. D’abord, ce monde inférieur m’est apparu indéchiffrable. Sans lumière, tout n’est-il pas amalgame, confusion inimaginable ? Comment saisir l’intérêt de cette brèche où j’avais abouti par erreur ? À moins de servir de dernière demeure. À cette idée, la panique s’est emparée de moi. Malheur ! je venais de franchir un cimetière funeste tapissé de silence. Mes pieds broyaient des ossements humains. Au-dessus, l’air ouateux étendait son drap mortuaire. Et si je croisais un fossoyeur de l’ombre, il me prendrait pour une dépouille dans le noir. Comment chasser de moi l’épouvante d’être enterrée vive dans un trou creusé pour me faire disparaître ? Ensevelie dans l’anonymat, on laisserait choir sur moi une pierre anonyme. Impossible de calmer mon effroi à l’idée d’y séjourner à jamais, dépossédée d’existence ! Châtiée pour mon inconscience, tout ce qui me touchait n’allait-il pas mourir avec moi ?
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Au comptoir, Théodore Blanchard vient d’achever ses comptes. Les mains lavées, il passe sa veste grise. Ayant balayé le plancher, son épouse ôte son tablier et rajuste sa robe noire. À cet instant, notre pèlerin pénètre dans la boutique. Sans mot dire, Honorine lui tourne le dos, faisant mine de ranger des bocaux. Poli, Théodore le sert. L’inconnu arrive de loin. Ses yeux expriment la fatigue et la méditation. Muet sur son périple, il n’est pas plus loquace sur sa destination. Ayant payé, il sort une brochure de son sac et la pose sur le comptoir. Puis il désigne un point sur une carte en prononçant avec un accent chantant : « Mi país, l’Equateur ! » Après un silence, il fait un salut bref à l’épicier, ouvre la porte et disparaît.
Théodore n’a guère le temps de s’appesantir sur l’étranger. Honorine piaffe d’impatience à ses côtés. Avec un soupir, il dissimule la brochure sous une pile de journaux.
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un caprice m’a pris de modifier mon itinéraire. Mon aversion pour la routine me le réclamait à grands cris. Était-ce l’appel du grand large ? Moi qui souffrais de tourments non imaginaires, m’immerger au sein de rues inconnues me paraissait revivifiant. Allais-je m’inquiéter ? On se perd en plein bois mais à Paris, l’unique risque était de m’égarer entre deux métros. Il importait de repousser mes limites sans mettre en jeu mon destin. Au gré d’une avancée solitaire, du nouveau allait surgir au long d’un parcours initiatique non fixé d’avance. Cet inédit était à saisir non en rêve, non issu du triste oubli mais dans la pleine réalité. Pareille aventure, signe de délivrance, séduisait mon côté audacieux.
Disposée à me fier à mon inspiration, j’ai élu une voie en retrait de mon parcours habituel. Ainsi débutait mon terrain d’élection. D’un pas confiant, j’ai avancé sous une lumière blafarde de fin d’automne. La ville exerçait alors sur moi un attrait particulier. C’était mon choix, ces maisons gagnées par le sommeil, resserrées sous la grisaille du soir. Une délicate mélancolie émanait des façades suspendues dans l’attente de la nuit.
Cependant, aux abords de la morte saison, il arrive qu’une ombre épaisse s’abatte comme un rideau de scène en guise de protestation. Alors le visible a pris le parti de disparaître. Sur-le-champ, un froid vif et piquant m’a pénétrée. Certes, la ville venait d’allumer ses lampadaires mais d’un éclat affaibli comparé à mon parcours habituel. Faisait-on des économies d’énergie par ici ?
Dans la rue suivante, le trottoir exigu empêchait tout croisement. Mais comme il était désert, j’ai voulu partir en quête d’énigmes inscrites quelque part. Paris dit-on regorge de trouvailles insoupçonnées. Sur mon chemin, j’espérais rencontrer un détail hors du commun. Était-ce un désir trop grand ? Aux prises avec le noir inconsistant, je scrutais en vain les façades figées dans un silence que je craignais d’interrompre. Une cécité occultait mon regard et recouvrait les apparences. Dans le labyrinthe où je m’étais insinuée, rien ne retenait mon attention.
Inquiète, j’ai poursuivi ma quête solitaire, méfiante à la rencontre de soupiraux à la bouche amère. Les portails clos dérobaient je ne sais quels mystères. Dans les rares laissés ouverts, des masses d’ombres répandaient la désolation. J’ai bien tenté une fois de m’y approcher, mais mon effroi dépassait mon audace. Je craignais d’entrevoir une anomalie propre à défier toute vraisemblance.
Vaille que vaille, j’ai poursuivi ma marche dans la nuit isolée. Mais à force d’avancer, ma crainte s’est accrue. Les pas prudents, je ralentissais à tout bruit suspect. À l’écoute d’un gémissement, je frissonnais. Effrayée à la vue des formes fantomatiques se mouvant à la clarté des lampadaires, je changeais de trottoir.
Mais qu’étaient ces prétendues menaces au regard de vrais dangers mortels ? Garder la tête froide éviterait à mon jeu d’aventurière de virer au drame. Pour me ragaillardir, j’ai ravivé en moi un tableau d’antan. Quelle félicité, cette ancienne escale avenante couchée sous les ombrages ! Le chant des cigales animait cet enclos précieux logé au cœur d’une quiétude sereine. Il revêtait la beauté d’un rêve, ce lieu idyllique épinglé dans ma mémoire. Un apaisement pour l’âme errante.
Mais ces promesses, que sont-elles devenues ? Aux teintes vite de s’affadir pour s’effacer en laissant en moi un sentiment de frustration. Le même ressenti en fin d’histoire manquée. Y avoir goûté un instant, piètre consolation ! La terne réalité me renvoyait à mon mal-être.
Dépitée, j’ai tenté une fois encore de repérer un détail particulier en ce concret inhospitalier. Mais au long des rues mal éclairées, les façades paraissaient des clones. Nourrie en déceptions, je n’étais guère choyée en agréments. Évanoui, mon enthousiasme de flâner au petit bonheur. Abolie, ma soif d’étonnements heureux. Point mouvant, mon déplacement paraissait sans fin. Les rêveries éparpillées, le courage à rude épreuve, étais-je vouée à arpenter indéfiniment un désert inhabité d’asphalte ?
En ce cas, continuer était malavisé. Mais pouvais-je battre en retraite ?
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Dehors, les yeux mi-clos, j’ai humé un ciel assoupi. Ses vapeurs traînantes s’alliaient à ma léthargie. Mais un vent inquisiteur passait par là. À peine a-t-il soufflé sur moi que bien réveillée, le brouhaha de la rue est venu me troubler. Sur le trottoir gisaient des feuilles errantes. Les arbres étourdis avaient tort de se dévêtir en plein trottoir. Mais comment maîtriser les saisons ? Plus loin, je me suis arrêtée court. Au sol claudiquait une vieille corneille famélique auquel nul ne prêtait attention. Moi qui chérissais les oiseaux, cette scène m’a fendu le cœur. Mais évanoui le temps où je veillais sur leur existence organisée en rase campagne. Aujourd’hui, je devais passer outre et trottiner jusqu’à ma destination.
Au détour d’une rue s’est profilée la bâtisse frangée de nuages sur un fond bleu layette. Ma mauvaise vue la croyait vaporisée en un flou délicat. Mais mon approche en a révélé la laideur. Rien à voir en principe avec sa vie interne. Le seuil franchi, d’humeur allègre, j’ai escaladé quatre étages.
Le palier atteint, j’ai déboulé en coup de vent au contentieux. Là, stupeur, nul signe de bienvenue, pas même de la blondasse, ma voisine, qui me saluait d’ordinaire. La bouche gourmande, sa comparse aux yeux ronds dévidait à Gros-nez un chapelet de maladies, rougeole, coqueluche, varicelle et tutti quanti. Le champ des mots en était submergé. Pour le plaisir de contredire, j’ai déclaré tout de go : « Moi, je me porte comme un charme ! » En retour, on m’a renvoyé : « Quelle insolence ! » D’un bloc alors, le trio m’a tourné le dos.
Curieuse société où je m’étais fourrée ! S’offusquer pour une vétille ! Avais-je trop forcé sur l’ironie ? N’être pas un as de l’humour, honni soit qui mal y pense. Pour me venger, j’ai affublé les dactylos de sobriquets : Crin-jaune et Yeux-ronds assortis à Gros-nez. Quant au chef, il méritait l’anonymat.
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Pour en venir à l’eau elle-même, j’ai voulu m’y mirer. Mais en la fixant, quel effroi d’y surprendre une ombre en train de m’observer ! Comme un vent perfide s’était levé, il flottait sur sa surface trouble et muette un malaise aussi oppressant qu’un maléfice.
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Terrorisée, Laure rebrousse chemin. Après un temps, elle respire. Enfin, ses pensées se ressoudent. Toutefois, il n’y a pas lieu de pavoiser. Il lui a suffi d’une zone désolée, inhabitable pour abandonner sa quête. Néanmoins, des cailloux roulants lui tordent les chevilles, des ampoules lui font des brûlures vives, sa fatigue met à mal son ardeur et son inspiration. En outre, c’est curieux, dans sa marche inversée, tout lui paraît étranger. Vallons et collines prennent un malin plaisir à rabâcher. Que sont devenues les beautés naturelles si bien vantées dans les livres ? Le vent glacial les fait oublier. Au ciel, le soleil est près d’éteindre sa lampe. Avec l’inquiétude du voyageur, Laure se raccroche au sentier, unique espace qui la retient.
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Martine Salucci
Nuit glissante où le fil des pensées vagabonde en l'attente du sommeil. On peut se nourrir d'idées dénouées, voire de songeries à n'inscrire nulle part. A moins de raviver des souvenirs d'hier ou du quotidien. Un voyage en soi atteste au moins d'une humeur si on a la sensation de n'aboutir à rien. Egrainer réflexions, images, souvenances ou rêveries, c'est leur accorder existence et élargir le champ du possible, magique alchimie au cœur de l'ombre.
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Le verrou tiré, elle avoue sa lassitude. Assez de sacrifices, assez de sentiments. Le doute n’est plus permis, l’injustice est flagrante. C’est l’œuvre souterraine d’un monstre. De toute évidence, Mathilde s’est jouée d’Antoine le lourdaud. Cette visite précipite son destin. Pour elle, le moment est venu de couper les ponts, de délaisser tout un passé d’intrigues. Sa période d’incubation vient de prendre fin. Son avenir s’entrouvre. Fenêtre ouverte, la jeune fille reçoit en plein visage des bouffées de lointain. Segundo lui revient alors lancinant, éblouissant comme une trouée de lumière. Proche de rendre l’âme, le soleil rend une lumière basse de soupirail. En un sublime dégradé de rose, une écharpe soyeuse flotte sur l’arrondi moelleux des dômes. Comme elle aime ce paysage à l’instant de le quitter ! Sa destinée n’est-elle pas de renaître ailleurs ? Le passé aboli, sa passion lui ouvre un univers. Déjà, elle se voit déplier sa carte, tracer sa route des yeux avant de s’avancer vers une autre vie.
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Au cours du ballet de l’aspirateur, les réflexions de Laure oscillent : « Suis-je enfermée ici ou ai-je inventé mon isolement ? Dois-je m’en aller ou attendre encore ? » A l’époussetage, une angoisse la tient, un malaise sans nom qui la fait se heurter à l’écueil des bibelots. En astiquant une théière miniature, l’image de Segundo lui revient. De son lieu éloigné, son héros de roman, son Graal libérateur rejoint un temps son fil d’existence. Mais aimer un Indien, est-ce envisageable ? Adhérer à un univers opposé au sien, n’est-ce pas source de dangers ? A dire vrai, l’aventure ne la tente pas. Tabler sur un mystère ouvre la voie à l’incertitude. A l’inverse, son sort est assuré à Chavignac. La sagesse provinciale est capable de l’assister. Adaptée à un cercle de vie restreint, elle ne souffre pas d’évoluer dans un milieu fermé. Un tour de jardin est un vrai dérivatif. Ailleurs existe un monde étrange et inaccessible comme un rêve.
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