Louis Chevaillier

Un livre pour les curieux. On se laisse embarquer dans cette page d'Histoire méconnue, qui donne envie de lire ou relire Montherlant, Valéry, Giraudoux ou Morand. Mais pas seulement, car au-delà d'une certaine érudition, l'auteur médite sur les liens du corps et de l'esprit, du jeu et du spectacle, de l'argent et de l'effort, de l'écriture et du sport. Et on rit à certaines trouvailles pleines d'humour ! Dommage que le livre n'ait pas comporté quelques images, rendant la lecture plus attrayante. Vraiment amusant !

Ce recueil , paru à l'occasion des cent ans de la Nouvelle Revue Française, contient une sélection exceptionnelle de 100 critiques de livres par de grands auteurs de la littérature.

C'est un joli petit livre que nous offre folio. Pierre Mac Orlan nous présente "Martin Eden" de Jack London, Jean Cocteau "le diable au corps" et Joseph Kessel "l'archipel aux sirènes" de Somerset Maugham...Ce ne sont que quelques exemples parmi toute ces invitations à redécouvrir un siècle de littérature.

De 1912 à 1948, un concours d’art, en particulier littéraire, doublait les épreuves sportives aux Jeux olympiques. Un récit allègre retrace cette histoire d’un échec.
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Des épreuves littéraires et artistiques aux Jeux olympiques… un pari fou ? C’est celui de Pierre de Coubertin, fervent défenseur de l’union entre le muscle et l’esprit, qui fit une place pour les lettres en 1912, lors des compétitions de Stockholm… Louis Chevaillier revient sur cette histoire méconnue.
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Oui, il y eut des « Jeux olympiques de littérature », Louis Chevaillier nous le rappelle. Pour Coubertin, sport et littérature formaient un geste universel.
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Inspiré par l'Antiquité, Pierre de Coubertin croyait essentiel d’associer écrivains et artistes à l'événement sportif. Le poète Louis Chevaillier fait le récit de ces olympiades manquées.
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