Au fait, tu avais tort. C'est toi que j'ai vue en premier.
Je lis de la romance parce que tomber amoureuse est plaisant. Dans les romances, je le vis encore et encore. Je fais connaissance avec différents types d’amants, je compatis avec les cœurs brisés et je vis les plus belles réussites. L’amour est le sentiment le plus puissant et le plus vrai que nous ressentons, et je trouve ça magique de pouvoir vivre certaines des plus belles histoires d’amour à travers les livres.
Parce que c'est ça la vie. C'est pagayer et combattre les vagues jusqu'à trouver la vague parfaite sur laquelle surfer jusqu'à chez soi.
Je crois que parfois, dans la vie, un bref instant d'apparence anodine peut marquer un tournant dans notre existence.
« 𝓘𝓵 𝓼’𝓪𝓿é𝓻𝓪 𝓺𝓾𝓮 𝓳’𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓭é𝓵𝓲𝓬𝓲𝓮𝓾𝓼𝓮, 𝓻𝓪𝓻𝓮 𝓮𝓽 𝓹𝓻é𝓬𝓲𝓮𝓾𝓼𝓮 𝓫𝓸𝓾𝓽𝓮𝓲𝓵𝓵𝓮 𝓭𝓮 𝔀𝓱𝓲𝓼𝓴𝓮𝔂 𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓶𝓪𝓲𝓷𝓼, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓵’𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓵𝓪𝓲𝓼𝓼é𝓮 𝓶𝓮 𝓯𝓲𝓵𝓮𝓻 𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓭𝓸𝓲𝓰𝓽𝓼 𝓮𝓽 𝓼𝓮 𝓫𝓻𝓲𝓼𝓮𝓻. »
Ne faire qu'un avec elle me faisait me sentir à ma place, mais cela s'apparentait aussi à un saut dans le vide depuis une falaise immense.
Ma première goutte de Whiskey avait été anodine.
Mon premier shot? Un jeu d'enfant. Je m'étais maîtrisée, en équilibre sur un fil, craignant de trop boire, mais la réalité était bien là. Je le savais. Je sentis chaque instant de la chute entre l'état éméché et l'ivresse absolue. es complètement saoule, et je voulais me sentir ainsi pour toujours.
Le timing est crucial. Dans la vie, tout est une question de timing. La puissance d'une attraction ou la pureté d'une connexion ne signifient rien si vos trajectoires ne s'alignent pas. Toi et moi, nous étions parfaits l'un pour l'autre, vraiment, mais nous étions simplement trop loin l'un de l'autre pour nous en rendre compte.
Pourtant, la semaine précédant le grand jour, j'en rêvai encore. Et ce n'était pas Angel qui marchait vers moi jusqu'à l'autel dans ce rêve. C'étaient ces yeux gris tumultueux, cette magnifique chevelure bouclée, ces taches de rousseur et cette peau chaude et hâlée. C'était B. Ce serait toujours elle.
« 𝑺𝒊 𝒋’é𝒕𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒆 𝒘𝒉𝒊𝒔𝒌𝒆𝒚, 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒆𝒍𝒍𝒆 é𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒍𝒆 𝒇û𝒕 𝒒𝒖𝒊 𝒎𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒊𝒕, 𝒒𝒖𝒊 𝒎’𝒂𝒊𝒅𝒂𝒊𝒕 à 𝒎û𝒓𝒊𝒓, 𝒒𝒖𝒊 𝒎𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒅𝒂𝒊𝒕 𝒎𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓. »