Passer toutes les épreuves
ou mourir.
Rien ne prédestinait Violet Sorrengail à être une cavalière. Elle était censée intégrer le quadrant des Scribes et mener une vie tranquille parmi les livres. Elle dont les os sont si fragiles qu'ils peuvent se briser en un instant
Mais aujourd'hui est le jour des conscriptions, et en tant que fille de la Générale - elle-même cavalière et dresseuse de dragons -, Violet n'a d'autre choix que de satisfaire les ordres de sa mère, et de rejoindre les épreuves de sélection pour devenir dragonnière
L'élite de la Navarre !
Pourtant, le simple fait d'envisager s'inscrire à cette compétition lui paraît ridicule
Car les dragons ne se lient pas aux humains « fragiles » : ils les brûlent ! Mais Violet est peut-être la candidate la moins forte physiquement, elle est cependant rusée et rapide. Des qualités indispensables quand on évolue dans un monde sans foi ni loi, où les alliés peuvent vite devenir des ennemis, ou peut-être encore des conquêtes
Violet va vite devoir penser à un plan solide, car cette compétition n'a que deux issues : passer toutes les épreuves ou mourir !
"Une fantasy comme vous n'en avez jamais lu auparavant." Jennifer L. Armentrout, auteure #1 New York Times bestseller
"J'ai applaudi, j'ai ri, j'ai souri, j'ai réfusé de poser ce livre." Lexi Ryan, auteure #1 New York Times bestseller
"Les lecteur.rices seront envoûtés et impatients d'en savoir plus." Publishers Weekly
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Vidéo réalisée par Pierre Maler.
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- Je suis persuadé que les personnes les plus belles, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, sont celles qui n'ont pas la moindre idée de leur charme.
Ses yeux cherchèrent les miens avec intensité.
« - Tu veux sortir avec moi ? demanda-t-il en se passant une main dans les cheveux.
- Non, chuchotai-je.
Puis sa fossette apparut, et je relâchai le souffle que je retenais. Il reprit son ascension.
- Demain est un autre jour.
Je lui emboitai le pas.
- La réponse sera toujours la même.
- On verra.
- C’est tout vu. Tu perds ton temps.
- Tant que cela te concerne, il n’y à pas de perte de temps, répliqua-t-il.
Puisqu’il me tournait le dos, il ne put me voir sourire. Je me détendis. Je me réchauffai. Tout était redevenu normal avec Cam, rien n’avait changé. »
Beau visage. Corps parfait. Caractère de cochon. C’était un peu la sainte trinité du mec canon.
La mort est comme une vieille amie. Parfois, tu ne l'attends pas, mais parfois, si. Ce n'est ni la première fois, ni la dernière qu'elle viendra te rendre visite mais ça ne rend pas les disparitions moins difficiles ni impitoyables.
"I don't know. I mean we haven't talked about it. He literally left afterward, and all he's done since then is poke me with his pen."
"Probably because he wants to poke you with someting else", she said dryly.
My eyes bugged. "I can't believe you said that."
- Question suivante, exigea-il.
- Pourquoi es-ce que tu es un connard ?
- Tous le monde excelle dans un domaine, pas vrai ?
- Et tu fais du très bon boulot.
— Chut, dit-il en me recoiffant. Même si j’ai passé un très bon moment à te regarder vomir tripes et boyaux, tu sais très bien que je ne suis pas resté pour ça.
Je fermai de nouveau les yeux, légèrement dans les vapes.
— C’est parce que tu as envie de moi, mais pas quand je suis bourrée et que je gerbe partout ?
Cam éclata de rire.
— Ouais, voilà, c’est à peu près ça.
« Je ne pense pas qu'il voulait m'embrasser, dis-je finalement.
- Quoi ? Il a glissé et est tombé sur ta bouche ? Ces choses là sont connues pour arriver souvent, c'est clair.»
Il haussa les épaules.
- Suis-moi. Allons marcher un peu.
Je l’observai avant de considérer ma robe.
- il est un peu tard, tu ne crois pas ?
- Je réfléchis et je m’exprime plus clairement quand je marche. (il me tendit la main) Sinon, je me transforme en super salaud et je sais que tu n’aimes pas beaucoup cette facette de ma personnalité.
- Ah, ah.
J’examinai sa main tendue. Mon cœur s’était subitement emballé.
- En tout cas je ne te prendrai pas la main.
- Pourquoi pas ?
- On ne va pas se tenir par la main alors que je ne t’apprécie même pas.
- Aie. (Il se toucha la poitrine en grimaçant). Tu me blesses.
Mouais. Il fallait qu’il prenne des cours de comédie.
- Rassures-moi, tu ne compte pas m’abandonner dans les bois ?
- ça serait la vengeance parfaite, mais je ne ferai jamais ça. Je doute que tu survivrais très longtemps sans quelqu’un pour venir te sauver.
- Merci pour la confiance, ça fait plaisir.
« − Où étais-tu ? demandai-je d’une voix qui avait l’air désespérée à mes propres oreilles.
[…]
− Salut, chérie, je suis allé boire et voir les putes. Je sais, je n’ai pas le sens des priorités.
Sa réponse sarcastique ne me fit pas rire.
− Connard, marmonnai-je. »