Pour la première fois depuis mon enfance. J’allais faire ce que moi, j’avais envie.Adieu, sèche cheveux brûlants, gestes brutaux et cheveux tirés. Marlène ! OUI Mamie ? Tu prends une douche ? OUI , je sentais mauvais ! OK on n’utilise pas toute l’eau chaude. C’est pas donné AFIOU . Marlène ça va être l’heure d’y aller! CAMILLIA ! ALERTE !Désastre capilaire ! Photo ? Oh noooooooon ! Tu peux arranger ça ? Nan pas avant de partir pour l’école. Je vais devoir porter un bonnet et prier...un émoji coeur: une prière! BONNE CHANCE , à plus
Citation choisie par Vaïna
- Les choses qu'on apprend ne sont pas toujours justes, mais elles s'enracinent en nœud. Ta mère a grandi au quotidien avec ces histories de bons et de mauvais cheveux. On apprend de nos parents, qui ont appris de leurs parents, qui ont appris de leurs propres parents. Ça ne rend pas ces croyances plus tolérables... Mais il faut du temps pour les déconstruire et évoluer.
"Il n'y a aucun mal à se sentir belle, au top et prendre soin de sa personne mais l'estime de soi ne doit pas dépendre de l'apparence."
« Ton père adorait mes boucles lui. Il me disait toujours que je n’avais pas besoin d’y toucher.
- Papi avait raison.
- Peut-être. Mais dans ce monde, quand on a l’apparence qu’on a, toi et moi, il faut savoir s’intégrer.
- papi avait bon cœur. »
Grandir, c’est compliqué. Les souvenirs et les adieux aussi. Parfois, les trois se mélangent, et j’ai l’impression qu’on m’écrabouille le cœur.
Je ne cessais de décevoir tout le monde. Je commençais à me demander si ça en valait vraiment la peine d'être moi-même.
Ce livre est formidable, car il nous apprend que même si nous avons des différences, on doit s'accepter comme on est. Cette histoire nous montre qu'il ne faut pas se soumettre à ce que pensent ou disent les autres de nous. Donc, oui, j'ai beaucoup aimé ce livre et je conseillerai à mes camarades de le lire.
Pauline
"Ce n'est pas facile de déconstruire les choses qu'on a appris à croire tout le long de sa vie."
Ton père adorait mes boucles lui. Il me disait toujours que je n’avais pas besoin d’y toucher.
- Ton père adorait mes boucles, lui. Il me disait toujours que je n'avais pas besoin d'y toucher.
- Papi avait raison.
- Peut-être.
- Mais, dans ce monde, quand on a l'apparence qu'on a, toi et moi, il faut savoir s'intégrer.
- Papi avait bon cœur. Mais il y avzit des choses qu'il ne comprenait pas.
- Alors on se lisse les cheveux pour que les gens nous acceptent ?