Quand Matisse met du noir, c'est un noir-lumière qui illumine tout son tableau !
Magritte aime l'humour, les choses qui ont l'air absurde ou étrange (sic). Il devient ami avec des poètes et des musiciens, auxquels il fait des farces.
"Longtemps tenue pour la plus noble de des disciplines artistiques, l'architecture est l'art de bâtir.[...] Elle est omniprésente et dessine notre cadre de vie."
"Construire c'est aussi déconstruire."
S'il est un style, entre tous gonflé, c'est la "blobitecture". Elle tire son nom du Blob - Binary Large Object Architecture - un principe de création en forme de "goutte"[...] vive les rondeurs et la fluidité, les formes molles et bombées ! Résultat : une architecture dite "biomorphique" ou "bionique", inspirée des organisme mous vivants dans la nature.
ce qui ne s'apprend pas, (...) c'est le sentiment de la lumière, c'est l'appréciation artistique des effets produits par les jours divers et combinés, c'est l'application de tels ou tels de ces effets selon la nature des physionomies qu'artiste vous avez à reproduire. Ce qui s'apprend encore beaucoup moins, c'est l'intelligence morale de votre sujet (...)
Mobile en haut
Stabile en bas
Telle est la tour Eiffel
Calder est comme elle.
Ciseleur de fer
Horloger du vent
Dresseur de fauves noirs
Ingénieur Hilare
Architecte inquiétant
Sculpteur du temps
Tel est Calder.
Jacques Prévert
L'heure est à l'imagination, pour le plus grand plaisir des yeux et de tous les sens.
Les Fugitifs ou Les Émigrants, vers 1865-1870
Traduction de l'errance de populations chassées par la guerre ou poussée par la misère, les Fugitifs concentrent ces thèmes de la désolation, de l'harassement et de la faim, de la lutte pour survivre. (...) le défilé des errants est devenu ici une horde innombrable et compacte qui semble s'éloigner avec précipitation d'un désastre proche, annoncé par un ciel rougeoyant des lueurs d'un incendie.
http://uploads7.wikiart.org/images/honore-daumier/emigrants-or-fugitives.jpg
Décidément, Camille Corot ne sera jamais un bon drapier : il ose toucher le tissu avec les mains pleines de peinture! Résigné, le père finit par accepter la vocation du fils. Camille peut enfin saisir brosses et pinceaux, en toute liberté. Il a 26 ans. A Ville-d'Avray, dans la maison de ses parents, il s'aménage une chambre-atelier. (p. 8)