Citations de Anna Gavalda (2674)
"Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences..."
Je préfère te voir souffrir beaucoup aujourd’hui plutôt qu’un peu toute ta vie.
On parle toujours du chagrin de ceux qui restent mais as-tu déjà songé à celui de ceux qui partent ?
Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'ne défendre, et puis...
Et puis je l'ai perdue. De la même manière.
ET parce que je préfère te voir souffrir beaucoup aujourd'hui plutôt qu'un peu toue ta vie.
La vie, même quand tu la nies, même quand tu la négliges, même quand tu refuses de l'admettre, est plus forte que toi. La Vie est plus forte que tout.
- Tu crois que c'est comme tes mines de crayon ? Tu crois que ça s'use quand on s'en sert ?
- De Quoi ?
- Les sentiments.
Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée ? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour ?
Qu'on me tende un sablier.
Je me suis assise et j'ai pris ma tête entre mes mains.
Je rêvais de pouvoir la dévisser, de la poser par terre devant moi et de shooter dedans pour l'envoyer valdinguer le plus loin possible.
Tellement loin qu'on ne la retrouverait plus jamais.
Mais je ne sais pas shooter.
Je taperai à côté, c'est sûr.
Tu es assez fort pour me retenir et assez intelligent pour me laisser filer...
Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
J’avais envie d’une cigarette. C’était idiot, je ne fumais plus depuis des années. Oui mais voilà, c’est comme ça la vie… Vous faites preuve d’une volonté formidable et puis un matin d’hiver, vous décidez de marcher quatre kilomètres dans le froid pour racheter un paquet de cigarettes ou alors, vous aimez un homme, avec lui vous fabriquez deux enfants et un matin d’hiver, vous apprenez qu’il s’en va parce qu’il en aime une autre. Ajoute qu’il est confus, qu’il s’est trompé.
Comme au téléphone : « Excusez-moi, c’est une erreur. »
Mais je vous en prie…
L'important ce n'est pas le lieu ou on se trouve, c'est l'état d'esprit dans lequel nous sommes.
Ce qui est important, vois-tu, c'est de dire "excuse-moi" et pas "je m'excuse". Tu ne peux pas t'excuser tout seul, linguistiquement, ce n'est pas correct...
Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre.
Puisque c'est ainsi. Puisque le temps sépare ceux qui s'aiment et que rien ne dure.
J’aime être avec toi parce que je ne m’ennuie jamais. Même quand on ne se parle pas, même quand on ne se touche pas, même quand on n’est pas dans la même pièce, je ne m’ennuie pas. Je ne m’ennuie jamais. Je crois que c’est parce que j’ai confiance en toi, j’ai confiance en tes pensées. Tu peux comprendre ça ? Tout ce que je vois de toi et tout ce que je ne vois pas, je l’aime. Pourtant je connais tes défauts. Mais justement, j’ai l’impression que tes défauts vont bien avec mes qualités. Nous n’avons pas peur des mêmes choses. Même nos démons vont bien ensemble ! Toi, tu vaux mieux que ce que tu montres et moi, c’est le contraire. Moi, j’ai besoin de ton regard pour avoir un peu plus de la matière ?
Ils ne demandaient rien d'autre que d'être heureux ensemble. Même pas heureux d'ailleurs, ils n'étaient plus si exigeants. D'être ensemble, c'est tout.
Le courage de s'affronter au moins une fois dans sa vie. De s'affronter soi, soi-même. Soi seul. Enfin
On ne peut pas grandir dans une maison où les gens ne s'aiment plus, si?
Non. On ne peut pas. Pousser peut-être mais pas grandir.
Il n'y a pas de chagrin qu'un livre ne puisse consoler.
-Je t'appelle parce que j'ai envie de revoir ton visage. C'est tout. C'est comme les gens qui retournent dans le village où ils ont passé leur enfance ou dans la maison de leurs parents... ou vers n'importe quel endroit qui a marqué leur vie.
[...]
- A croire que ton visage est un endroit qui a marqué ma vie.
Quand je te regarde, j'ai mal au bide comme devant dix mille personnes, s'il te plaît, arrête ça et prends-moi dans tes bras...