Le rire pour chasser les larmes, la joie pour éliminer la tristesse, la douceur à la place de la colère. Toujours.
Je t'apprécie tout le temps, aussi bien avec des larmes qu'avec un sourire. Je t'apprécie que tu sois sage ou sauvage, que tu te montres docile ou rebelle. Je crois que je finis même par apprécier ton désordre. Ne t'excuse jamais d'ếtre toi.
Un bout de nature, même tout petit, adoucit les esprits les plus töurmentés.
Plus j'apprends à le connaître, plus je découvre que j'apprécie chacune de ses facettes. Que ce soit cette assurance à toute épreuve ou ses peurs lorsqu'il accepte de me les montrer, son cynisme et son apparent détachement ou sa générosité envers ses proches, ses raisonnements très cartésiens ou sa façon de tolérer mes idées un peu perchées, ses regards sévères ou ses sourires troublants. Il est tout ça à la fois, derrière les costumes et le masque. Et j'en aime chaque détail.
Sa façon de me répondre, de ne remarquer que le positif me désarme et me calme. J'ignore comment, mais elle semble voir au-delà de ce que je montre.
J'ai compris très jeune quil valait mieux apprendre à connaître les gens, plutôt que se fier aux apparences.
Ça n'a plus rien d'une illustration de livre poura enfants. Je suis flatté que Victoire n'imagine bâti comme ça. Excité qu'elle me visualise nu. Troublé qu'elle me voie sauvage. Perturbé de réaliser que je ne suis pas le seul à fantasmer. Fébrile de prendre conscience à quel point j'ai envie d'elle.
Je t'apprécie tout le temps, aussi bien avec des larmes qu'avec un sourire. Je t'apprécie que tu sois sage ou sauvage, que tu te montres docile ou rebelle. Je crois que je finis même par apprécier ton désordre. Ne t'excuse jamais d'être toi...