Lucia

2ème test pour cet auteur, uniquement parce que je l'ai trouvé en audio, même si j'en ai encore un dans ma pal. La dernière fois, j'avais abandonné assez vite ma lecture, son style était trop pompeux à mon goût.

Le début est intrigant avec cette crucifixion à la colle sur un officier de police en Espagne. La seconde partie m'a un peu plus désarçonnée avec ce groupe d'étudiants et le criminologue. On voit assez rapidement le lien entre les 2 histoires, même si je préférais suivre celle de Lucia, la coéquipière du flic assassiné. Pour l'autre groupe, j'avais un peu plus de mal à les suivre et je n'écoutais que d'une oreille. J'ai fini par l'abandonner au bout de 4h car malgré les différentes informations fournies, j'ai l'impression que l'histoire avance au ralenti et qu'il ne se passe pas grand-chose… En prime, une seconde enquête vient se greffer au reste déjà conséquent. Pourtant, je m'ennuie à cette écoute. L'auteur nous noie sous les détails, ils ont peut-être leur importance…

Comme vous l'aurez compris, ce second test aura été une déception également, j'ai pourtant essayé de l'écouter jusqu'au bout mais je finissais par ne plus me souvenir des différents évènements et/ou détails des 3 histoires. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, on verra plus tard pour le 3ème dans ma pal.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Profondément déçue par ce livre. La première moitié est longue, ennuyeuse, sans intérêt. Je l'ai lue en diagonale. La seconde moitié est plus vivante. La fin, prévisible, est la synthèse de tout cela.
L'écriture pauvre n'est même pas une consolation à la médiocrité de l'ouvrage.
Je me rends compte que ma critique est dure. Mais il est bon de rappeler aux auteurs que ce n'est pas parce qu'ils ont eu du succès qu'ils peuvent succomber à la facilité.

Tout simplement incompréhensible : comment un auteur comme Bernard Minier, qui nous a glacé le sang avec la série du Commandant Servaz, est-il tombé aussi bas. déjà que La chasse était fade, mais avec Lucia, le lecteur est tout simplement à se forcer de finir le livre.

L'intrigue n'accroche pas, l'ambiance espagnole digne d'un mauvais paso doble de camping, les personnages sont inconsistants..... mais le pire est cette sensation que l'on a que l'auteur a cherché à remplir des pages pour fournir ces 474 pages . L'exemple le plus flagrant est la description du glycogène dans le mécanisme musculaire .... en pleine poursuite d'un suspect. Merci Wikipedia pour le comblement de la page blanche.

Bref, gardez vos sous.
Lien : https://quoilire.wordpress.c..

Il est difficile après une lecture qui nous a fais rêver et nous a emballé de trouver quoi lire pour être sûre de ne pas se tromper.
C est donc tout naturellement que je me suis tournée vers Bernard Minier,je ne l'avais pas lu depuis longtemps et j'avoue que le retrouver me ravissais.
Biiiiip,et non mauvaise pioche!
Je me suis ennuyée,j ai dû relire plusieurs fois certaines mise en scènes pour réussir à les visualiser et ça m'a lassé tout simplement.
Aucune empathie ni sympathie pour Lucia,son caractère qui aurait dû me plaire ne m'a même pas séduite.
Sincèrement,je n'ai même pas pris la peine de finir le roman (j'ai essayé de m'accrocher un peu quand même mais non la sauce ne prenait pas) et ça ne me dérange pas de ne pas savoir,je ne me souviens même plus de tout ce que j'ai lu de l'histoire,c'est dire si ça m'a convaincu 😅
Après,ceci n'est que mon avis,je ne veux pas non plus en dégoûter les autres lecteurs.
J'ai mis 1 étoile pour la couverture,elle déchire 😜

Bernard, j'ai beaucoup aimé vos premières oeuvres mais là j'avoue m'être ennuyé fortement. Auriez vous tenté une approche à la Dan Brown avec ces voyages et ces références littéraires et artistiques ? En tout cas, l'âge aidant, je ne puis poursuivre un livre qui ne m'intéresse pas. Je vous souhaite une nouvelle belle écriture.

« Fan «  de la première heure j'avoue être déçue mais alors vraiment. Beaucoup d'erreurs,beaucoup de fautes, beaucoup trop de longueurs inutiles….quel ennuî, c'est juste au secours. Bref je n'ai pas aimé du tout de cette histoire sans intérêt. Désolée

Déception et ennui.

Quand il y a autant de longueurs, que les dialogues n'ont aucune profondeur ou ressemblent à des discours théoriques, et que les personnages me laissent indifférente... je décroche.
Les ellipses temporelles n'apportent rien, si ce n'est des pages supplémentaires, et les explications faisant avancer le récit manquent totalement de naturel pour ressembler à des copier-coller Wikipedia m'ont enlevé tout plaisir à la lecture.

Pour un premier Bernard Minier, soit je suis mal tombée, soit ce n'est pas un auteur pour moi malgré sa très grande réputation.
Je suis déçue car je pensais lire une valeur sûre, et je me suis vraiment forcée pour terminer ma lecture, croyant que le déclic aller se produire. Pourtant tout était si attendu, que la déception m'a tenue compagnie jusqu'au bout...

Quant à la ganache de ce gâteau qui n'a pas était à mon goût, elle était un peu passée de "mode". Les références datent, au mieux, des années 80. Maigret, Les Beatles, Chapeau melon et bottes de cuir... pour une action contemporaine située en Espagne, j'en cherche le sens. Et Schwarzenegger, bien qu'il soit tout à fait normal de vieillir, n'est plus l'icône du culturisme qu'il a été. Pourquoi le citer en comparaison d'une espèce de garde du corps très musclé ?

Pas du tout convaincue.

Chaque fois que j'ouvre un livre, je dois faire face à de la psychophobie. A différents niveaux de gravités certes mais dans TOUS les livres. En particulier dans les thrillers, un des leviers d'histoire de prédilection quasiment constant, c'est la santé mentale. Ça fascine et ça attire tous les fantasmes et les auteurs surfent là dessus en perpétuant par la même des préjugés et la stigmatisation des gens qui ont des maladies mentales. Et j'en ai marre de lire des trucs comme ça. Car comme d'habitude les préjugés ne sont jamais déconstruits / contredis dans le récit, il n'y a pas de notes en fin de livre pour expliquer que c'est une vision romancée loin de la réalité. Non avoir des troubles mentaux n'est pas synonyme d'être criminel. Non avoir des troubles mentaux ne fait pas de nous des suspects immédiats de meurtres. Non avoir un TDI n'exige pas de nous qu'on nous interne à vie et qu'on nous prive de notre liberté. Non aller voir un psy n'est pas réservé aux « détraqués criminels ». Non aller voir un psy n'est pas une honte. le reste du roman répond aux mêmes habitudes des thrillers : l'enquêtrice qui se la joue solo pour résoudre l'enquête. le serial killer qui envoie des lettres cryptiques en s'inspirant d'une oeuvre littéraire (Bon cette fois c'est pas la bible). Quand les maladies mentales cesseront d'être des fantasmes à divertissement pour des gens ignorants ? Si vous vous intéressez tellement à ce sujet, étudiez le honnêtement. Derrière ça y a des vrais gens qui en ont marre d'être associés à l'idée que trouble psy=criminel=dérangeant parce qu'on comprend pas = a enfermer a vie dans des institutions. Trouvez vous d'autres fantasmes qui n'impliquent pas de stigmatiser et piétiner toute une population. Rappel : les maladies mentales touchent 1 personne sur 5. Si vous étiez homo et que dans chaque livre que vous ouvriez on présente l'homosexualité comme une perversité et qu'on devrait vous enfermer, vous trouveriez ça normal ?Non je n'exagère pas. Juste ouvrez les yeux quand vous lisez, la psychophobie est vraiment partout.

J'avais hâte de retrouver cet auteur, mais seigneur, quelle déception !
Je me suis ennuyée presque tout au long, j'ai même sauté de longues et inutiles descriptions, des détours lassants et du remâchage d'idées mal développées...
Un départ foudroyant qui annonce une intrigue et un récit palpitants, mais flop, ça se perd en chemin.
Décevant cette brique qui s'annonçait comme "un sommet d'angoisse" ...
Un sommet d'ennui, oui.