J'ai mis du temps à reprendre Demon Slayer, un shonen bien trop classique à mon goût et en ce mois d'août, j'avais envie de dévorer des démons.. oups des mangas ! Je me propulse ainsi auprès de nos jeunes pourfendeurs se battant férocement contre des premières lunes. J'ai mis un peu de temps à me replacer dans le scénario mais fort heureusement sur ce type de séries bien longues, il y a toujours un résumé pardi ! Après une longue pause, j'ai trouvé ce tome plutôt plaisant, rythmé et avec toujours une bonne dose d'imagination de l'auteure à créer des techniques de combat et des méchants toujours plus hideux les uns que les autres. 2 combats bien différents poussant nos héros dans leurs retranchements. Affaire à suivre mais j'ai bien hâte !
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Tomes 16 à 23 :
Arc final de la série, et c'est tant mieux !
Pas que c'était mauvais, loin de la, mais cela fait plaisir de voir un shonen qui sait s'arrêter à temps et ne fait pas durer sur la longueur.
Ce dernier arc était très sympathique, avec un bons développement des personnages que ce soit humains ou démons.
Si mon lancement dans la série a été compliqué, cela aura au final été une bonne découverte. Si j'ai pu trouver qu'il y avait quelques fois quelques problèmes de rythme avec par exemple certains combats trop longs ou d'autres trop courts, je pense que Demon Slayer mérite sa place dans les meilleurs shonen de ces dernières années.
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Encore une fois j'ai réellement apprécié ce tome. La bataille fait rage, Tanjiro a du souci à se faire mais ce n'est pas le seul à être mal embarqué...
Kanao affronte elle aussi un ennemi tenace et est rapidement rejointe par Inosuke, c'est là que c'est intéressant! Alors que nous ne pensons voir que de la baston nous apprenons quelque chose sur le passé du jeune homme...
La fin se profile, il me tarde de découvrir les cinq derniers tomes.
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Tanjiro et Tomioka affrontent Akaza, le démon de rang supérieur 3. Contre la force écrasante d'Akaza, les deux se retrouvent incapables de faire autre chose que de se défendre. La situation étant sombre, Tanjiro s'éveille au monde transparent dont son père lui a déjà parlé.
Cette nouvelle connaissance permettra-t-elle à Tanjiro de renverser la vapeur et de passer à l'offensive contre Akaza.
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Dans ce tumulte scénaristique, il convient de souligner toute la mise en scène nerveuse, dynamique et toujours lisible de Koyoharu Gotôge, dont les progrès artistiques depuis ses premières histoires courtes sont évidents. C'est aussi par cette patte visuelle un poil atypique que Demon Slayer reste une lecture captivante, ce que ce dix-huitième opus démontre à son tour.
Lire la critique sur le site : MangaNews
La bataille finale continue donc de monter en puissance, avec le barrage des trois derniers lieutenants de Muzan à passer. Sacrifices, techniques secrètes et éveils ponctuent ces combats à mort dont l’intensité ne faiblit pas, et nous rapproche tout doucement de la conclusion de cette grande série à succès.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
- Tu ne ressens rien, pas vrai ? Tous les gens nés dans ce monde ressentent naturellement de la joie, de la tristesse, de la colère, des émotions qui font trembler leur corps. Toi, tu ne les comprends pas, n’est-ce pas ? Mais comme tu es intelligent tu es parvenu à le cacher sous une pile mensonges. Tu fais semblant d’être joyeux ou triste pour cacher le fait que ton cœur ne ressent rien. Tu ne ressens ni bonheur, ni joie, ni souffrance, ni peine. En vérité, tu n’es qu’une coquille vide. C’est à mourir de rire, tellement c’est ridicule. Toi… à quoi ça t’aura servi d’être venu au monde ?
Au Japon, les criminels étaient tatoués selon leurs crimes et la région dans laquelle ils les avaient commis. Sur les bras d’abord, les pires crimes et les récidivistes pouvaient se retrouver avec le symbole « chien » tatoué sur le front.
[Muzan] Après avoir entendu tout ce raffut autour de l’apparition d’un démon à un endroit où je ne me rappelais pas en avoir envoyé un, je me donne la peine de faire le déplacement en personne… Tout ça pour ne trouver là qu’un humain. Comme c’est décevant.
Dans un combat, lorsqu’on se retrouve face à un imprévu ou à une nouvelle situation, on doit être capable de l’analyser et d’y réagir immédiatement.
- Les pauvres n'ont-ils donc même pas le droit de vivre ? Ce monde est un amas putride.
DEMON SLAYER , Le shonen mélancolique - MENU MANGA #63