Ewald Arenz
Dominique Autrand (Traducteur)/5 20 notes
Dominique Autrand (Traducteur)/5 20 notes
Résumé :
« C'était ce fameux été qui n'existe qu'une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j'espère ; l'été où tout bascule. Oui. Peut-être n'est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là - de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante. »
Eté 77, dans une petite ville de l'ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s'annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année sco... >Voir plus
Eté 77, dans une petite ville de l'ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s'annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année sco... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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- EDUCATION SENTIMENTALE -
"Chacun se demande-t-i un jour ou l'autre si sa vie a commencé trop tard? Je pense à Rio, où je ne suis toujours pas allé. Mais la véritable Rio, me dis-je en parcourant ce cimetière silencieux, trempé d'une rosée étincelante sous le soleil et qui est toujours pour moi comme un retour au bercail - cette Rio-là n'a jamais été celle de mes désirs. A l'époque, je ne le savais pas. Rio représentait tout ce que la ie était censée m'apporter. L'aventure. La musique. le grand amour. Je ne savais pas encore en ce temps-là qu'on ne trouve ces trésors nulle part, pas même à Rio, si on ne les a pas déjà en soi".
Quelle poésie que la nostalgie de la jeunesse, ces souvenirs aux couleurs délavées qui nous projettent avec une émotion aussi délicieuse que douloureuse dans un autre temps et d'autres lieux, pour nous faire revivre nos premiers émois et entamer un pèlerinage pour retrouver les premiers jalons qui ont façonné l'apprentissage de toute une vie: l'amour, l'amitié, la famille, et la conscience, peu à peu, du temps qui nous ravit ces instants qu'on voudrait éternels, que seule permet l'oisiveté moite - mais tellement intense - de ces étés-là, celle qui étreint les coeurs, vrille la tête et fige pour toujours les images de ces heures bénies.
La plume est simple mais pas ennuyeuse, le récit, celui d'un été à l'apparence ordinaire mais qui se révélera fondateur, est touchant et puissament évocateur et les personnages sont attachants car ils nous ressemblent: on s'identifie sans mal à ces gamins qui composent, sans en avoir conscience, la partition de la musique de leurs vies futures, celle qui, avec une puissance évocatrice saisissante et dès les premières notes, réveille instantanément l'adolescent qui n'a jamais cessé de nous habiter et à l'égard duquel nous éprouvons une tendresse indulgente.
J'ai beaucoup aimé ce livre, ce voyage dans le temps, cette nostalgie douce qui attendrit autant qu'elle émeut.
"Chacun se demande-t-i un jour ou l'autre si sa vie a commencé trop tard? Je pense à Rio, où je ne suis toujours pas allé. Mais la véritable Rio, me dis-je en parcourant ce cimetière silencieux, trempé d'une rosée étincelante sous le soleil et qui est toujours pour moi comme un retour au bercail - cette Rio-là n'a jamais été celle de mes désirs. A l'époque, je ne le savais pas. Rio représentait tout ce que la ie était censée m'apporter. L'aventure. La musique. le grand amour. Je ne savais pas encore en ce temps-là qu'on ne trouve ces trésors nulle part, pas même à Rio, si on ne les a pas déjà en soi".
Quelle poésie que la nostalgie de la jeunesse, ces souvenirs aux couleurs délavées qui nous projettent avec une émotion aussi délicieuse que douloureuse dans un autre temps et d'autres lieux, pour nous faire revivre nos premiers émois et entamer un pèlerinage pour retrouver les premiers jalons qui ont façonné l'apprentissage de toute une vie: l'amour, l'amitié, la famille, et la conscience, peu à peu, du temps qui nous ravit ces instants qu'on voudrait éternels, que seule permet l'oisiveté moite - mais tellement intense - de ces étés-là, celle qui étreint les coeurs, vrille la tête et fige pour toujours les images de ces heures bénies.
La plume est simple mais pas ennuyeuse, le récit, celui d'un été à l'apparence ordinaire mais qui se révélera fondateur, est touchant et puissament évocateur et les personnages sont attachants car ils nous ressemblent: on s'identifie sans mal à ces gamins qui composent, sans en avoir conscience, la partition de la musique de leurs vies futures, celle qui, avec une puissance évocatrice saisissante et dès les premières notes, réveille instantanément l'adolescent qui n'a jamais cessé de nous habiter et à l'égard duquel nous éprouvons une tendresse indulgente.
J'ai beaucoup aimé ce livre, ce voyage dans le temps, cette nostalgie douce qui attendrit autant qu'elle émeut.
ROMAN D'INITIATION
« C'était ce fameux été qui n'existe qu'une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j'espère ; l'été où tout bascule. Oui. Peut-être n'est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là - de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante. »
Eté 77, dans une petite ville de l'ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s'annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année scolaire. Pas de vacances en famille pour lui : il révisera chez son grand-père, un homme sévère. Heureusement, il y a Alma, Johann - et Beate, la fille de la piscine, en maillot de bain vert bouteille.
Friedrich va tout découvrir en même temps : l'amour et la mort, l'amitié, la peur, le respect et la confiance.
Jamais il n'oubliera cet été-là.
Un roman d'initiation où l'auteur nous embarque dans l'univers de quatre adolescents. On découvre leur amitié, leurs premiers fois, leurs joies, leurs peines... Et on réalise qu'ils sont à cet âge de la vie où tout est encore possible...
Les chapitres sont assez courts , ce roman se lit tout aussi bien que le précèdent, "le parfum des poires anciennes".
Une lecture douce remplie d'émotions que je vous recommande !
« C'était ce fameux été qui n'existe qu'une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j'espère ; l'été où tout bascule. Oui. Peut-être n'est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là - de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante. »
Eté 77, dans une petite ville de l'ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s'annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année scolaire. Pas de vacances en famille pour lui : il révisera chez son grand-père, un homme sévère. Heureusement, il y a Alma, Johann - et Beate, la fille de la piscine, en maillot de bain vert bouteille.
Friedrich va tout découvrir en même temps : l'amour et la mort, l'amitié, la peur, le respect et la confiance.
Jamais il n'oubliera cet été-là.
Un roman d'initiation où l'auteur nous embarque dans l'univers de quatre adolescents. On découvre leur amitié, leurs premiers fois, leurs joies, leurs peines... Et on réalise qu'ils sont à cet âge de la vie où tout est encore possible...
Les chapitres sont assez courts , ce roman se lit tout aussi bien que le précèdent, "le parfum des poires anciennes".
Une lecture douce remplie d'émotions que je vous recommande !
" Nous étions immortels" A 17 ans, l'âge de tous les possibles, des grands rêves, comment imaginer que la vie n'est plus un jeu,
qu'il n'y aura plus de première fois?
Hélas le temps vole "ces moments que l'on voudrait éternels".
J'ai toujours aimé les récits de jeunesse que ce soit chez les classiques, Camus, Colette ou Pagnol, etc..et plus près de nous Nicolas Mathieu ou Philippe Besson.
Comme dans son précédent roman, l'auteur, dans une langue délicate pétrie de lumière et de senteurs d'été, d'émotions à fleur de peau
évoque les premiers émois du corps, les premières blessures de l'âme qui mettent un point final à l'enfance.
Friedrich, a raté son année scolaire, il doit réviser chez ses grands parents au lieu de partir en vacances avec sa famille nombreuse et bohème.
Six semaines chez eux lui permettront d'avoir un autre regard sur ce grand père professeur, biologiste strict, directif et brillant, qu'il craint autant qu'il admire. Nana sa douce grand-mère peint, cuisine et console ses peines.
" Nos vies sont entremêlées" comprend le jeune homme en lisant le journal de Nana. Il est fasciné par la relation fusionnelle
qui lie ses grands-parents, par leur histoire peu ordinaire durant la guerre.
Malgré la contrainte des révisions, Friedrich, entouré d'Alma, de Johann et Beate, s'apprête à vivre l'été où tout bascule.
Les jeux interdits et dangereux, les plongeons dans l'eau sombre de la piscine la nuit , la belle au maillot de bain vert, les notes de bossa nova,
l'indolence des après midi, tout évoque l'été et l'insouciance.
Les scènes au zoo près du grand tigre avec Beate et le grand-père sont saisissantes de beauté.
Certains événements, l'amour, la mort, la trahison, leur feront prendre conscience que l'enfance s'achève doucement
et que leur vie commence autrement.
je suis certaine que certains d'entre vous, comme moi, retrouveront des moments de leur jeunesse à travers ce délicieux roman.
.
qu'il n'y aura plus de première fois?
Hélas le temps vole "ces moments que l'on voudrait éternels".
J'ai toujours aimé les récits de jeunesse que ce soit chez les classiques, Camus, Colette ou Pagnol, etc..et plus près de nous Nicolas Mathieu ou Philippe Besson.
Comme dans son précédent roman, l'auteur, dans une langue délicate pétrie de lumière et de senteurs d'été, d'émotions à fleur de peau
évoque les premiers émois du corps, les premières blessures de l'âme qui mettent un point final à l'enfance.
Friedrich, a raté son année scolaire, il doit réviser chez ses grands parents au lieu de partir en vacances avec sa famille nombreuse et bohème.
Six semaines chez eux lui permettront d'avoir un autre regard sur ce grand père professeur, biologiste strict, directif et brillant, qu'il craint autant qu'il admire. Nana sa douce grand-mère peint, cuisine et console ses peines.
" Nos vies sont entremêlées" comprend le jeune homme en lisant le journal de Nana. Il est fasciné par la relation fusionnelle
qui lie ses grands-parents, par leur histoire peu ordinaire durant la guerre.
Malgré la contrainte des révisions, Friedrich, entouré d'Alma, de Johann et Beate, s'apprête à vivre l'été où tout bascule.
Les jeux interdits et dangereux, les plongeons dans l'eau sombre de la piscine la nuit , la belle au maillot de bain vert, les notes de bossa nova,
l'indolence des après midi, tout évoque l'été et l'insouciance.
Les scènes au zoo près du grand tigre avec Beate et le grand-père sont saisissantes de beauté.
Certains événements, l'amour, la mort, la trahison, leur feront prendre conscience que l'enfance s'achève doucement
et que leur vie commence autrement.
je suis certaine que certains d'entre vous, comme moi, retrouveront des moments de leur jeunesse à travers ce délicieux roman.
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J'avais lu déjà « le parfum des poires anciennes » que j'avais apprécié. le 4ème de couverture de ce livre m'a également tout de suite attiré.
Ce roman c'est une page de vie, cela est arrivé à Friedrich, cela aurait pu arriver à n'importe lequel d'entre nous qui aurait été jeune en 1977 (que ce soit en Allemagne ou dans un autre pays).
L'histoire est belle de simplicité : ici, pas de meurtre, pas de super héros, pas de choses incroyables. Juste la vraie vie dépeinte dans ce qu'elle a de pire et de meilleur.
Je résume souvent les livres que je lis à mon mari et dans celui-ci, comme je lui ai dit, c'est un peu comme dans les livres de jeunesse de Pagnol : c'est juste une histoire ordinaire mais qui sort de cet ordinaire de par sa façon d'être écrite.
L'auteur sait mettre les mots justes sur les instants importants, nous faire ressentir les émotions des protagonistes.
Il y a bien sûr un fil conducteur (les parties en italique) qui laisse planer le doute quant à la fin du roman et donc nous entraine toujours un peu plus sur les traces de ces
adolescents et des adultes qui les entourent également.
Même si j'ai souvent pensé retrouver des parties d'histoires déjà lues dans d'autres livres, cela ne gâche en rien le plaisir de la lecture de celui-ci. (et puis après tout, toute oeuvre trouve toujours sa naissance dans des souvenirs.)
Au final, un très bon moment passé au fil de ces pages.
Ce roman c'est une page de vie, cela est arrivé à Friedrich, cela aurait pu arriver à n'importe lequel d'entre nous qui aurait été jeune en 1977 (que ce soit en Allemagne ou dans un autre pays).
L'histoire est belle de simplicité : ici, pas de meurtre, pas de super héros, pas de choses incroyables. Juste la vraie vie dépeinte dans ce qu'elle a de pire et de meilleur.
Je résume souvent les livres que je lis à mon mari et dans celui-ci, comme je lui ai dit, c'est un peu comme dans les livres de jeunesse de Pagnol : c'est juste une histoire ordinaire mais qui sort de cet ordinaire de par sa façon d'être écrite.
L'auteur sait mettre les mots justes sur les instants importants, nous faire ressentir les émotions des protagonistes.
Il y a bien sûr un fil conducteur (les parties en italique) qui laisse planer le doute quant à la fin du roman et donc nous entraine toujours un peu plus sur les traces de ces
adolescents et des adultes qui les entourent également.
Même si j'ai souvent pensé retrouver des parties d'histoires déjà lues dans d'autres livres, cela ne gâche en rien le plaisir de la lecture de celui-ci. (et puis après tout, toute oeuvre trouve toujours sa naissance dans des souvenirs.)
Au final, un très bon moment passé au fil de ces pages.
"C'était ce fameux été qui n'existe qu'une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j'espère; l'été où tout bascule. Oui. Peut-être n'est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là – de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante."
L'été où tout a commencé
Une année unique dans la vie de quatre adolescents
Un été exceptionnel
De ceux qui déterminent un avenir, une vie
De ceux qui sont à la croisée des chemins
Ils sont quatre
Alma, Friedrich, Beate & Johann
Quatre adolescents attachants
Qui nous prennent par la main pour nous emmener
En ces temps bénis, empreints de nostalgie, de l'adolescence
Ces temps où tout est encore possible
Où l'on ose sans peur des représailles
Où l'on se questionne, avance pas à pas
Où la vie nous semble légère et lourde à la fois
Voilà une histoire que j'ai beaucoup aimée
Parce qu'elle nous emmène sur des chemins qui nous touchent en plein coeur
Parce qu'elle parle au plus profond de chacun d'entre nous
Un récit poétique, doux, mélancolique et joyeux à la fois
L'été où tout a commencé
Celui d'une piscine à ciel ouvert où l'on nage quand il pleut
Celui d'un plongeoir qu'on affronte mètre par mètre
Celui d'une fille en maillot vert qui foudroie le coeur
L'été des amitiés, frivolités, des bêtises aussi
Celui des premiers émois, premières confidences
Celui des secrets, des peurs et tourments
L'initiation de la vie à venir, de l'avenir à découvrir
Voilà un roman dans lequel j'ai aimé plonger
Comme dans cette piscine un soir de pluie d'été
Les sensations de la nature en été qui flottent dans l'air
Les émotions à fleur de peau qui virevoltent
Un parfum de tendresse, d'innocence, de douceur
Le parfum de l'adolescence
Et de la vie qui vient, la vie qui va...
J'avais aimé "Le parfum des poires anciennes" de Ewald Arenz
Mon coeur bat tendrement, avec nostalgie et sourire à la fois, pour cet été là.
Un roman que je recommande chaudement aux inconditionnels de belles histoires sensibles, délicates, empreintes d'une atmosphère intemporelle
Lien : https://www.facebook.com/La-..
L'été où tout a commencé
Une année unique dans la vie de quatre adolescents
Un été exceptionnel
De ceux qui déterminent un avenir, une vie
De ceux qui sont à la croisée des chemins
Ils sont quatre
Alma, Friedrich, Beate & Johann
Quatre adolescents attachants
Qui nous prennent par la main pour nous emmener
En ces temps bénis, empreints de nostalgie, de l'adolescence
Ces temps où tout est encore possible
Où l'on ose sans peur des représailles
Où l'on se questionne, avance pas à pas
Où la vie nous semble légère et lourde à la fois
Voilà une histoire que j'ai beaucoup aimée
Parce qu'elle nous emmène sur des chemins qui nous touchent en plein coeur
Parce qu'elle parle au plus profond de chacun d'entre nous
Un récit poétique, doux, mélancolique et joyeux à la fois
L'été où tout a commencé
Celui d'une piscine à ciel ouvert où l'on nage quand il pleut
Celui d'un plongeoir qu'on affronte mètre par mètre
Celui d'une fille en maillot vert qui foudroie le coeur
L'été des amitiés, frivolités, des bêtises aussi
Celui des premiers émois, premières confidences
Celui des secrets, des peurs et tourments
L'initiation de la vie à venir, de l'avenir à découvrir
Voilà un roman dans lequel j'ai aimé plonger
Comme dans cette piscine un soir de pluie d'été
Les sensations de la nature en été qui flottent dans l'air
Les émotions à fleur de peau qui virevoltent
Un parfum de tendresse, d'innocence, de douceur
Le parfum de l'adolescence
Et de la vie qui vient, la vie qui va...
J'avais aimé "Le parfum des poires anciennes" de Ewald Arenz
Mon coeur bat tendrement, avec nostalgie et sourire à la fois, pour cet été là.
Un roman que je recommande chaudement aux inconditionnels de belles histoires sensibles, délicates, empreintes d'une atmosphère intemporelle
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Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque dimanche à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment !
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