BERKLEY [corriger]

J'ai adoré ce roman. Le début était un peu à se mettre en place, certains passages auraient pu être raccourcis voire supprimés, car ils traînaient un peu en longueur pour rien. Mais dans l'ensemble, je l'ai follement aimé. Il m'a beaucoup fait penser à Icebreaker, avec le reverse Grumpy x Sunshine, le hockey, l'aide mutuelle que s'apporte Aiden & Summer, leur relation et alchimie, tout. Une romance drôle et spicy, mimi que l'on dévore en un rien de temps.



J'ai beaucoup aimé Summer : cette femme forte et indépendante, têtue, studieuse, rêvant de son avenir depuis qu'elle est petite et faisant tout ce qui est en son pouvoir pour y parvenir. Un aspect que j'ai adoré. Et puis sous cette couche de bonne conduite se cache une légère aversion pour tout ce qui a un attrait au Hockey, non sans raison. Et j'ai beaucoup aimé voir toutes ses certitudes s'effriter, les unes après les autres, au contact d'Aiden. Et bien que certains moments, elle m'a prodigieusement agacée, elle reste cool à suivre.



Énorme coup de cœur pour Aiden. Un green flag : drôle, doux, compréhensif, taquin et joueur, canon asf, qui ferait tout pour ses coéquipiers et sa famille, honnête et intègre, etc. Il est mon petit personnage coup de cœur de ce roman (avec Kian évidemment). J'ai adoré entrer dans sa tête, apprendre à le connaître et à voir ce qui pouvait se cacher tous ses aspects un peu trop lisses et parfaits. On fini par craquer pour cet homme.



La plume de l'autrice est drôle et catchy, on est complètement aspiré dans son univers et dans la vie des personnages. Des moments touchants, tendres, complètement barrés (surtout ceux avec Kian, qui j'espère sera la star du tome 2 because WE NEED IT), addictifs, qui nous donnent envie d'avoir un hockeyeur aussi sain et capable que Aiden punaise ! Une romance sans prise de tête, qui nous fait passer un excellent moment, aimer les personnages, et en redemander un peu plus. Vivement la sortie du Tome 2.
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Dans ce titre, on suit le personnage de Mariel, une sorcière née avec une grande prophétie sur son nom, qui pourtant, n’est pas très forte en magie, sauf celle des plantes et des fleurs. Alors qu’elle s’entraîne, elle invoque sans le vouloir un démon du nom d’Ozroth, qui ne peut pas partir tant qu’elle n’accepte pas d’échanger son âme.



C’est une cosy fantasy, avec une petite histoire d’amour (du smut quand même, peut-être trop), une intrigue et des sous-intrigues efficaces même si on devine bien vite les résultats de ces intrigues en raison de la longueur, plutôt courte, du roman. Un fond bien intéressant sur l’écologie, grâce au pouvoir de Mariel, auquel on s’identifie bien si on y est sensibilisé.



Les personnages secondaires sont plutôt efficaces même si peu introduits ; je crois que ce titre est le premier d’une trilogie, il est donc possible qu’ils soient plus présents dans les tomes suivants. Parfois, il est un peu difficile de suivre le caractère de chacun et ce qu’ils apportent de bien à Mariel (sa propre mère !).



J’ai lu le titre en anglais, le narrateur y est omniscient, ce qui est assez dur pour s’y plonger. Par contre, l’alternance des points de vue de chapitre en chapitre est intéressante.



En conclusion, j’ai passé un bon moment avec ce titre, mais la simplicité des intrigues n’était pas ce dont j’avais besoin. C’est une bonne lecture d’été ou de printemps quand on a besoin de décompresser. L’histoire est simple mais reste vraiment efficace !
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Happy place , une histoire d’amour pleine de poésie.



Une double temporalité, un passé heureux et un présent inattendu…



Une narration d’un POV unique, celui de l’héroïne Harriet. Jeune médecin, elle retrouve ses meilleurs amies et son ex dans la maison de vacances de toujours. Mais cette année, c’est la dernière car ce coin de paradis est vendu … cette « happy place ».



L’auteur nous pose des questions contemporaines sur la place des amitiés et les efforts à fournir pour maintenir le lien parfois distendu, une fois adulte. Elle interroge sur l’adage « l’amour ne suffît pas ».

On se demande aussi, si le choix de notre activité professionnelle n’est éclairé que par les attentes familiales, les fantasmes d’une ancienne génération et l’envie animale de rendre fier notre entourage.



C’est juste. C’est singulier.

Finalement, « l’happy place » c’est plus qui, que où?

Le personne que l’on est avec soi même et celle que l’on choisit pour parcourir le chemin…

Un immense coup de cœur !