Personne n'est à l'abri de gens comme moi.
Personne.
C'est tout simplement impossible.
Répétez-le-vous bien.
Vous êtes tous vulnérables.
Parce que notre obsession dépasse de loin votre petite méfiance quotidienne, tout au plus une paranoïa, qui, tôt ou tard, retombe, car vous ne vivez pas pour vous protéger.
Alors que moi je vis pour vous traquer.
Je suis tout entier tourné vers cette finalité.
M. Chattam. Le fracas de la viande chaude.
..."Lorsque le vieil homme est entré dans la boutique,avec son panama et son élégance désuète,Valentine l'a pris pour un client ordinaire .Un de ceux dont elle restaure à la chaîne les tableaux sans valeur.Cette fois,cc'est un codex médiéval dont il s'agit.Unlivre dans un état déplorable,sans beauté i rareté,bien loin des chefs-d'oeuvres qu'elle soignait au Louvre ,avant qu'une faute ne la mette au band de la profession .Mais quand elle apprend que l'ouvrage pourrait cacher un texte légendaire et que le vieil homme n'est autre que l'illustre marchand d'art Elias Stern,Valentine vacille .Le destin vient de frapper à sa porte,mais elle ignore si c'est pour le meilleur où pour le pire..."
L'empreinte d'un pied nu, la suivre au long d'une rue
L'empreinte sanglante d'un pied nu, la suivre au long d'une rue
Je t'aime, Agathe. Sois-en certaine: personne d'autre ne t'aimera jamais autant que moi. Plus personne ne t'aimera, en fait.
R. Cardetti. Ma plus belle histoire d'amour.
Si vous aimez le gore bien sanglant , celle de Maxime Chattam "le fracas de la viande chaude" est pour vous.😉.
Vous trouverez aussi Raphaël Cardetti, Olivier Descosse, Karine Giebel,Laurent Scalesee et Franck Thilliez. Que du bon!!!
Dans le cadre du défi du mois de juin des passionnés de la ligue de l'imaginaire, Éric Giacometti et Jacques Ravenne sont mis à l'honneur.
J'ai donc lu une de leur nouvelle dans "L'Empreinte Sanglante" et devinez quoi? Excellentissime 😉.
Le challenge demandé à tous les auteurs de ce livre devait obligatoirement commencer par "L'Empreinte Sanglante d'un pied nu , la suivre au long d'une rue..."
"Délocalisation" , titre de leur nouvelle nous invite à découvrir le groupe Impakt, société scandinave venue annoncer aux travailleurs de la petite usine "Petitpas " de Saint Pastour, en Haute Garonne que son avenir était désormais une Délocalisation dans un lointain pays Moldave.
Mais le jour où Éric Müller, un des responsables de la maison Impakt, vient entériner la décision et l'annoncer au comité syndical ,cette décision ne se passe pas vraiment bien... Il est pris en otage par des ouvriers et tout s'enchaîne...
Nouvelle extrêmement bien écrite avec une action et des propos vraiment bien amenés, ne serait ce que par le sujet des délocalisations scandaleuses que l'on peut voir tous les jours malgré des usines françaises bien portantes et les aides de défiscalisations offertes gracieusement aux patrons véreux de ces mêmes entreprises...
Avec un Éric Giacometti chef de service à la rubrique économie et social au Parisien/Aujourd'hui en France , encore une fois le thriller bien écrit nous fait trembler, mais aussi réfléchir et franchement j'ai Adoré.
Au fil des minutes, cependant, la souffrance céda progressivement la place à une agréable sensation de flottement. Il ferma les yeux et se laissa envahir par la musique apaisante que diffusaient les écouteurs de son iPod. Autour de lui, le monde extérieur disparut. Les spectateurs, dont il percevait jusqu'alors la présence silencieuse dans la pénombre, finirent de s'évanouir. Il en oublia même les six crochets fichés dans son torse et les minces câbles d'acier qui le retenaient suspendu au plafond de la pièce.
Je t'aime, Agathe. Sois-en certaine: personne d'autre ne t'aimera jamais autant que moi. Plus personne ne t'aimera, en fait.
R. Cardetti. Ma plus belle histoire d'amour.
Il existe deux mondes en permanence, ne l'oubliez jamais. Celui que vous voyez, aux apparences bien rassurantes, et celui de la réalité, sous lequel fourmillent les fantasmes, où les bonnes intentions sont rares, où les gens s'entraident par intérêt, où l'on fait les choses rarement pour les raisons que l'on imagine.
On ne m’y reprendra plus. Dorénavant, je me contenterai de décrire ce que je connais. De l’amour, toujours de l’amour. Rien que de l’amour. Fort, irrésistible et tourmenté, comme il se doit. Et heureux à la fin, bien sûr. Tous mes romans se terminent par des happy end d’école.