Nous apprenons à préserver les terres de la destruction par les géants du béton, à les cultiver sans les appauvrir et à les partager.
La culture de l'essai, du partage et du collectif gagne du terrain.
L'échec est souvent la matrice des grandeurs à venir.
Petit à petit, ce vieux monde nourri de concurrence et de peur de l'échec chavire. Un monde est en train de sortir de terre,
un monde solidaire, positif et collaboratif
dans lequel celui ou celle qui essaie aura toujours plus sa place
que celui ou celle qui ne fait pas.
User de bienveillance les un-e-s envers les autres est fondamental :
c'est faire un pari, celui de la confiance
Les problèmes cessent d'être des obstacles, ils deviennent des tremplins
Dans ce monde où on nous exhorte à nous battre sans cesse les un-e-s contre les autres, prenons soin les un-e-s des autres, en laissant la place à chacun-e de construire sa pensée et d'agir.