Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 21/05/1971
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Né(e) le : 21/05/1971
Biographie :
Joe Benitez est un auteur de comics.
Il commencé à travailler dans les comics en tant que professionnel en 1993. Il a gagné en popularité en illustrant le "Darkness" de Garth Ennis. Ensuite, il s'est illustré sporadiquement sur de courtes sagas ou épisodes.
Joe Benitez commence à s’intéresser au genre steam punk et créé son personnage de Lady Mechanika en 2010. En version originale, la série est d’abord publiée chez Aspen et obtient rapidement une petite notoriété grâce à son scénario efficace et aux magnifiques design de Joe Benitez, associant costumes d’époque victorienne et science fiction moderne.
Joe Benitez va ensuite éditer lui-même "Lady Mechanika" chez Joe Benitez Productions (éditeur actuel de la série en version originale).
son site : http://www.joebenitez.com/
+ Voir plusJoe Benitez est un auteur de comics.
Il commencé à travailler dans les comics en tant que professionnel en 1993. Il a gagné en popularité en illustrant le "Darkness" de Garth Ennis. Ensuite, il s'est illustré sporadiquement sur de courtes sagas ou épisodes.
Joe Benitez commence à s’intéresser au genre steam punk et créé son personnage de Lady Mechanika en 2010. En version originale, la série est d’abord publiée chez Aspen et obtient rapidement une petite notoriété grâce à son scénario efficace et aux magnifiques design de Joe Benitez, associant costumes d’époque victorienne et science fiction moderne.
Joe Benitez va ensuite éditer lui-même "Lady Mechanika" chez Joe Benitez Productions (éditeur actuel de la série en version originale).
son site : http://www.joebenitez.com/
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joe benitez et Siya oum pour lady mechanika kick starter
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Ma mère m'avait toujours dit qu'il fallait aider les personnes dans le besoin. Je précise qu'elle était assistante sociale. Mais c'est aussi à ma mère que je devais ma tendance à ne pas me mêler des affaires des autres. Car aider autrui lui a coûté la vie.
Je défends les faibles. Je protège les innocents. Je n'ai pas de pitié pour les idiots.
- T'ai-je jamais vu autrement que le verre à la main, Lewis ?
- Rarement ! Comme disait mon grand-père : "il vaut mieux avoir à boire sans avoir soif qu'avoir soif sans rien à boire"! Ha!
- Quelle sagesse !
- Rarement ! Comme disait mon grand-père : "il vaut mieux avoir à boire sans avoir soif qu'avoir soif sans rien à boire"! Ha!
- Quelle sagesse !
Parfois nos actes ont des conséquences inattendues. Les meilleures intentions peuvent provoquer des drames. Je l’ai appris à mes dépens. Nous ne pouvons que faire au mieux selon la situation. Tirer les leçons du passé et aller de l’avant.
Confronté à une réalité insupportable, il n'est pas rare que l'être humain se réfugie dans son imagination. Plutôt que de se laisser briser l'âme, on érige autour d'elle des remparts. On se réfugie dans un sanctuaire intérieur. Un jardin secret où l'on est à l'abri de toutes choses. Lorsqu'on est forcé de quitter ce refuge, le seul moyen de continuer à supporter la réalité... C'est d'en occulter les souvenirs pénibles.
- Je le trouve fort conciliant. Et c'est la première fois que je rencontre un officier de police si prompt à collaborer avec moi. (Lady Mechanika)
- On dirait même qu'il s'attendait à te trouver ici, non ? (Lewis)
- Si.
- On dirait même qu'il s'attendait à te trouver ici, non ? (Lewis)
- Si.
- Ce n’est pas la fin, Mechanika ! Ce n’est que le commencemeeent...
- Ils disent toujours ça... à la fin.
- Ils disent toujours ça... à la fin.
- Cela fait bien longtemps Mechanika. Tu as l'air en pleine forme.
- Toi aussi.
- Hélas, je constate que tes goûts vestimentaires sont toujours aussi déplorables.
- Peut-on vraiment juger de ces choses avec un seul œil ?
- Que c'est délicat.
- Toi aussi.
- Hélas, je constate que tes goûts vestimentaires sont toujours aussi déplorables.
- Peut-on vraiment juger de ces choses avec un seul œil ?
- Que c'est délicat.
- Au moins leur enfant est vivante.
- Mais peut-on appeler ça une vie ?
- Pour un parent, un enfant-monstre vaut mieux qu’un enfant mort. Crois-moi.
- Mais peut-on appeler ça une vie ?
- Pour un parent, un enfant-monstre vaut mieux qu’un enfant mort. Crois-moi.
Les gens ont peur de ce qu'il ne connaissent pas. C'est une vérité que j'ai toujours connue car je ne garde aucun souvenir de l'époque ou je n'était pas encore un être contre nature... Les gens craignent la différence: physique, mentale, de comportement. Ceux qui sont différents sont rejetés, ridiculisés parfois éliminés.
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