Franckie Alarcon publie chez Delcourt, "
L'Art du sushi", une dense et instructive plongée dans ce pan emblématique de la gastronomie japonaise. Il explique ici tout en dessinant à Anne Douhaire comment lui est venu l'amour du sushi.
Franckie Alarcon dans On va déguster : https://www.franceinter.fr/emissions/va-deguster
Plus de leçons de dessin : https://www.youtube.com/playlist?list=PL43OynbWaTMLSUzMpmqwuKcJNbTeC5GhD
Oui, c'est au moment de la vache folle et de la grippe porcine que le sushi est devenu populaire dans le monde !
Nourrir les gens, c'est être dans l'intrusion, à l'instar d'un acte chirurgical.
Quelqu'un qui a une mauvaise expérience au restaurant en parlera toute sa vie, au même titre qu'une opération ratée.
Les cuisiniers doivent avoir conscience de cette responsabilité.
Ah, l'umami ! C'est un mot très à la mode en France, on dit que c'est la 5e saveur !
C'est le mariage du sucré, du du salé et de l'acide ?
Non pas vraiment !
Mais comment vous définissez l'umami ?
C'est le goût de ce qui est bon !
D'autres aliments ne sont que nourriture. Mais le chocolat est chocolat.
- C’est rigolo, votre petit tourniquet. Vous faites quoi, exactement ?
- On fait des mendiants !
Manger des sushis réduit le stress.
8 heures... Il est l'heure du casse-croûte pour le maître...
Au menu : anguille, riz, brochettes de boeuf et d'abats...et trois grandes bouteilles de bière... C'est la version nippone du jambon-beurre à Rungis.
Un sushi, c'est 80 % de riz, alors il doit être parfait !
Tu sais, dans ma vie, j’ai goûté tellement de choses qui étaient belles à regarder, mais laides à avaler… Moi, ma quête est avant tout gustative, sensitive, viscérale ! C’est ça qui me porte, le reste…
Vous voyez, la cuisine ça commence au marché !
Sans eux (les bons fournisseurs), sans bons produits, pas de bons sushis... Quel que soit le chef !