Puis elle céda - pas à Aren, mais à ce qu’elle voulait, elle. Jusque là elle n’avait été qu’un pion dans les machinations de son père, mais c’était terminé. À présent, chaque victoire, chaque défaite, chaque caresse ou chaque bataille… tout cela n’appartiendrait qu’à elle. Elle serait maîtresse de son destin, comme elle était maîtresse de cette instant.