Ariella Masboungi et
Guillaume Hébert vous présentent leur ouvrage "
Les territoires oubliés: un futur désirable" publié aux éditions
Le Moniteur dans le cadre d'une réflexion menée au sein du Club Ville Aménagement.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/3016206/ariella-masboungi-
les-territoires-oublies-un-futur-desirable
Note de musique : © mollat
Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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Faire la ville par et pour le piéton incite à un changement radical de focale pour tourner la page de l’ère de la voiture-reine qui a dessiné la ville européenne éclatée.
Révolutions, incendies et impasses économiques : les crises battent la mesure des évolutions urbaines à Lisbonne. Son projet urbain fait un pied de nez à la crise financière qui s'enracine en Europe et génère une inventivité à tout crin, de l'action urbaine aux initiatives sociales et culturelles, sources de convivialité et de cohésion.
Cette ville que nous appelons de nos vœux se doit d’être pensée comme un projet, et je salue l’engagement du maire qui a su inventer un nouvel avenir pour sa ville au passéprestigieux, naguère ville-monde, en appui sur son équipe municipale, avec l’aide de la Région et celle des professionnels locaux et européens qu’il a mobilisés.
L’art fabricant de ville : ce thème, plus ciblé que celui de l’art dans la ville, prolonge la réflexion ouverte par deux ouvrages précédents, l’un sur le paysage, l’autre sur la lumière, pour penser la ville et enrichir les champs disciplinaires de la conception urbaine. L’approche se veut cumulative, partenariale et non corporatiste. Si les paysagistes peuvent être urbanistes à part entière et si certains concepteurs lumière s’engagent dans l’aménagement urbain, les artistes, tout en s’y intéressant, sont certainement les plus éloignés de l’urbanisme, se pliant moins aisément aux demandes exigeantes et multiples du projet urbain.
Développement durable,ce mot d’ordre n’est pas une découverte récente, du moins par les concepteurs qui défendent le bon sens comme guide, le savoir faire ancestral trop souvent négligé de la bonne orientation, de l’aération naturelle, de l’écoulement naturel des eaux, de la reconvertibilité. L’inventivité en la matière est de mise en veillant à ce qu’elle ne soit pas bridée par des normes qui iraient contre les objectifs recherchés tant au niveau environnemental que social et urbain. Car il s’agit de négocier avec l’environnement toujours contextuel et spécifique.