«Tout peut changer en un instant. » J'avais entendu cette phrase à de nombreuses reprises au cours de ma vie, mais je ne m'étais jamais arrêtée sur les mots pour savourer le sens qu'ils peuvent laisser sur la langue lorsqu'on les émiette et qu'on les ressent comme étant les nôtres. Ce sentiment amer qui accompagne tous les « Et si... ?» qui nous hantent lorsqu'un événement grave se produit et qu'on se demande si on aurait pu l'éviter. Parce que la différence entre une vie où tu as tout et une vie où tu n'as plus rien se joue en une seconde. Une simple petite seconde.
Qu’est ce qui est plus facile, selon toi : ignorer quelque chose qui fait mal? l’écarter et faire comme si ça n’existait pas pour pouvoir te lever chaque matin avec le sourire, ou affronter cette douleur, l’intérioriser, la comprendre et retrouver le sourire peu à peu ?
Parfois, il arrive qu'on se trompe. Qu'on s'effondre.
Parfois, on ne se connaît pas autant qu'on le croit.
Parfois... la vie est si imprévisible.
« Le motif est quelque chose de secondaire, ce que je veux reproduire, c'est ce qu'il y a entre le motif et moi. »
Si la tristesse n’existait pas, personne ne se serait jamais donné la peine d’inventer le mot « bonheur ».
Pourquoi attendre demain pour obtenir ce qu’on veut quand on peut l’obtenir aujourd’hui même?
La douleur est un effet collatéral de la vie.
Parfois, il arrive qu’on se trompe. Qu’on s’effondre.
Parfois, on ne se connaît pas autant qu’on le croit.
Parfois… la vie est si imprévisible.
Pas à ce qui arrive lorsque c’est l’heure, pas à cet adieu que nous finirons tous par dire un jour, mais à la façon de lui faire face quand elle emporte les personnes qu’on aime le plus au monde. Je m’interrogeais sur la tristesse et le chagrin : étaient-ce des sentiments instinctifs ou nous avait-on inculqué la manière de surmonter cette passe difficile ?
Pourquoi est ce que tu as peint ça?
Parce que c’est la chambre des enfants que j aurai avec toi .