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Scholomance

Série de 3 livres (En cours). Écrite par Naomi Novik (3),

Éducation meurtrière par Novik
tome : 1
Promotion funeste par Novik
tome : 2
Les enclaves dorées par Novik
tome : 3

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Dernières critiques
Éducation meurtrière

Après un début compliqué où j'ai eu des difficultés à me projeter dans l'histoire avec les nombreux termes magiques employés, j'ai adoré !

Une histoire entraînante, avec des surprises à chaque page, et des personnages attachants 😁

J'ai directement commandé le livre suivant !
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Promotion funeste

Retour à la Scholomance et retrouvailles avec Galadriel, alias El, et ses amis de terminale occupés à essayer d'établir une stratégie pour sortir diplômés de la Scholomance sans se faire tuer par les créatures qui occupent la salle des diplômes. La seule chance de s'en sortir : former des alliances et apprendre des sorts sophistiqués pour se protéger.



L'univers est toujours aussi original et l'héroïne atypique et attachante, elle a beaucoup évolué depuis le début. Le rythme est différent du 1er tome, il y a toujours les attaques de monstres auxquelles les élèves doivent échapper mais cette suite est plus centrée sur les relations entre les élèves et les alliances qui se créent. On en apprend davantage sur l'école, le pourquoi de sa création et sur les enclaves.

Il y a quelques petites longueurs notamment lors des explications sur les sorts mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier ma lecture.



La fin est riche en émotions et tient en haleine avec évidemment un cliffhanger qui donne envie de se jeter sur le 3eme et dernier tome. Il n'y a plus qu'à attendre novembre pour la sortie poche.
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Éducation meurtrière

L'Éducation meurtrière .. Ne vous attendez pas à un récit à la Harry Potter en plus sombre. Non, on en est loin. On découvre un univers sombre et un peu déjanté, avec une école qui est tout sauf conventionnelle (même un déjeuner à la cantine peut s'avérer périlleux).



Le concept est plutôt original et bien exécuté, avec une richesse de descriptions, tant sur le fonctionnement de l'école que sur les pensées de la protagoniste. Malgré cela, l'action et les rebondissements sont bien présents, apportant une bonne dose de dynamisme au récit. Entre frissons et même quelques rires grâce à notre héroïne et au concept vraiment particulier de cette école, j'ai passé un excellent moment et place ce premier tome au rang de coup de cœur.



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Les enclaves dorées

Une conclusion extrêmement satisfaisante à une saga que j'ai beaucoup apprécié !



Si le rythme m'a moins prise qu'au début, avec un roman qui a un peu du mal à démarrer et un environnement qui nous change beaucoup des deux tomes d'avant, j'ai énormément apprécié toutes les réponses que le tome apporte. J'ai l'impression que toutes les questions ont été refermées, avec des explications logiques, qui coulent de source mais n'ont rien de bateau. C'est hyper satisfaisant pour le lecteur de voir une conclusion aussi propre.



Ajoutons à cela des personnages toujours aussi agréables à suivre dans leurs imperfection. Une intrigue prenante et des moments extrêmement funs.



El va beaucoup me manquer, c'est certain !



(Pour une longue discussion autour du tome avec les copains de la Garde de Nuit : https://youtu.be/G23n8UaadOc?si=Uwx_-BHseXIalbSP)




Lien : https://youtu.be/G23n8UaadOc..
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Promotion funeste

J’avais beaucoup aimé découvrir le premier tome des aventures de Galadriel, alias El pour les intimes, à la Scholomance, une école de magie très particulière, de nombreux lycéens n’en ressortant jamais. L’univers était très original, et l’héroïne atypique et hyper attachante. J’attendais donc beaucoup de ce deuxième volume et je dois dire que, malgré un final époustouflant, j’ai quand même été un peu déçue.



On retrouve El et ses amis en terminale, occupés à essayer d’établir une stratégie pour sortir diplômés de la Scholomance sans se faire tuer par l’un ou l’autre des malés qui occupent la salle des diplômes. Pas simple, d’autant plus que la jeune fille semble être devenue la proie favorite de ces immondes créatures, comme si l’école avait soudain une dent contre elle. Quelle idée ! Heureusement, elle n’est plus seule, elle s’est fait des amis, et même un amoureux bien qu’elle s’en défende, et aucun d’eux ne sera de trop pour l’aider dans l’entreprise qu’elle se fixe bientôt : permettre à tous les élèves de l’école, pas juste aux terminales, d’en sortir sains et saufs.



Cela démarre lentement, et comme l’univers et le caractère rentre-dedans de notre héroïne nous sont désormais bien connus, j’avoue avoir trouvé cela un peu poussif. Les petites histoires de lycéens, avec toutes les préoccupations qui sont les leurs, bon, ça va bien deux minutes. L’intrigue traîne un peu en longueur dans la première partie, il ne se passe pas grand chose et cela manque de tension. Les malés ont presque tous disparu, on n’a plus cette impression de danger permanent et c’est dommage. Quant au “Je t’aime / Moi non plus” entre El et Orion, autant vous dire qu’il m’a un peu tapé sur les nerfs.



Malgré tout, les personnages sont vraiment attachants, à commencer par El, mais les autres le sont tout autant. Et heureusement parce les relations qui s’établissent entre eux constituent la majeure partie de cet opus. Certains passages sont assez drôles, d’autres émouvants, et l’autrice met en avant l’entraide et l’amitié, ce qui n’est jamais un mal. Pourtant, cela n’aurait pas suffi sans un final époustouflant. Alors oui, le twist final était prévisible, je ne vais pas prétendre avoir été surprise. Il n’empêche que j’ai dévoré les cent dernières pages à toute allure.



Alors, est-ce que je lirai la suite ? Evidemment ! Parce que malgré ces petits reproches, j’aime beaucoup cet univers et ces personnages, surtout le côté anti-social de Galadriel. Du coup, j’ai hâte de découvrir ce que l’autrice nous a réservé dans le troisième tome pour clôturer sa trilogie. On se donne rendez-vous le mois prochain ? Oui, le mois prochain !
Lien : https://etemporel.blogspot.c..
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Éducation meurtrière

Pour être honnête, j’ai failli abandonner plusieurs fois. Une école de sorciers, pour une grande fan de Harry Potter comme moi, forcément ça devait me plaire. Et une école où tout est fait pour te tuer, pour une fan de polar, c’était forcément attractif. Je dirai que j’ai donc commencé la lecture avec des grands espoirs et c’est peut être pour cela que j’ai été déçue au départ. Beaucoup de vocabulaire propre à l’histoire (qui se souviendra du nom de toutes les créatures par exemple?) amène de façon rapide dès les premières pages. J’ai eu du mal à suivre et c’est finalement dans le dernier tiers du livre que j’ai sacrément accroché à l’histoire. Je vais lire les suivants dès que possible mais pour ceux qui vont découvrir l’histoire, accrochez vous!
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Promotion funeste

Dernière année pour El à la Scholomance, mais pas des plus reposantes ! Cela a été un plaisir à me replonger tout de suite après le premier tome dans cette école infernale afin de voir comment El et ses amis allaient bien pouvoir sortir d’ici.



Si vous avez peur que ce second tome soit un peu répétitif par rapport au premier, vous pouvez être tranquilles, Naomi Novik sait se renouveler ! Nouvelle année, nouveaux challenges, nouvelles règles. Mais bien sûr, nouveaux problèmes.



Problèmes qui s’intensifient pour El qui ne cesse d’être harcelée par des malés et dont la menace de la remise des diplômes se fait de plus en plus pesante. Une idée lui trotte en tête également, la mise en garde de sa mère, qui fait planer une aura de suspicion et de menace autour d’Orion, que l’on a pourtant appris à apprécier dans le premier tome. Les enjeux sont là, la tension aussi, on ne peut que rester scotcher à ce tome pour savoir ce qui va advenir d’El et de ses amis.



Mais là où l’on prévoit une suite logique et prévisible des événements, il n’en est rien. La talentueuse Naomi Novik décide à mi-chemin de changer les règles et de dévier de cette course infernale vers une possible condamnation à mort. Plus d’enjeux, me direz-vous alors ? C’est sans compter sur El qui décide de monter la difficulté d’un cran et nous offre un challenge encore plus ambitieux que le précédent.



Je reste volontairement flou pour ne pas vous gâcher le plaisir de la surprise que nous offre ce second tome. Il serait dommage de ne pas admirer avec quel brio l’autrice arrive à surprendre et à captiver son lectorat. Mais sachez que cela a du sens, que c’est brillant, bien construit, envoûtant.



En-dehors de l’intrigue captivante, les personnages sont un des points forts du roman. Les personnages secondaires s’élargissent et prennent corps. La diversité ethnique est un véritable bonheur à lire. Je me suis sentie représentée et à ma place dans ce monde magique que l’autrice crée. Les relations qui se nouent, notamment à travers l’apprentissage des langues, fait passer un magnifique message de tolérance et de solidarité. L’amour d’El pour les langues est encore une fois un véritable plaisir, surtout pour une Lettre Classique. On y trouve de tout, l’autrice fait honneur à la majorité des langues qui existent et je l’en remercie pour cela.



Autre gros point positif : l’autrice semble s’être rendue compte que son premier tome, introductif, avait tendance à prendre une bonne partie de la narration pour expliquer l’univers complexe. Cette fois, les explications se font moins présentes et plus courtes, ce qui m’a beaucoup moins dérangé dans ma lecture et m’a permis une immersion délicieuse.



Bon. Parlons maintenant de ce qui fâche. La fin. CETTE FIN ??? Mais bon sang cette FIN ??? Elle est AAAAARGGGGH ! Pas dans le mauvais sens, bien évidemment, vous avez compris que ce roman, et plus largement cette trilogie, est un coup de cœur. Mais il ne faut pas faire des cliffhangers comme ça ?! J’ai été obligée de me ruer sur le troisième tome en ebook (heureusement que je l’avais sous la main !) parce que le suspense est absolument intolérable. Ce qui en fait bien évidemment une fin absolument MAGISTRALE.



Donc, pour conclure, c’est un excellent deuxième tome, mais gare à vous, il faut avoir le troisième tome sous la main parce que vous n’y survivrez pas autrement.
Lien : https://lifeisarealbook.com/..
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Éducation meurtrière

Alors que la fin d’année scolaire approchait, la panne de lecture aussi. J’ai donc voulu me plonger dans un roman d’un.e auteurice que je savais apprécier. Il s’avère que j’ai rencontré Naomi Novik un peu plus tôt dans l’année à l’occasion du festival Trolls et Légendes et cela a donc été l’occasion de lui prendre Scholomance dont je n’ai eu de cesse d’entendre des éloges. Comment vous dire que j’ai dévoré les trois tomes à la suite.



Mais nous allons pour le moment nous concentrer sur le premier tome. Premier tome qui a très bien débuté de par le style de narration. En effet, on est plongé dans un point de vue interne du personnage principal qui… s’adresse au lecteur ! Une agréable surprise qui m’a tout de suite accroché. J’ai d’autant plus accroché que le personnage principal, -nommée Galadriel (surnommée El), quel nom badass !- s’avère avoir un tempérament disons… explosif. Un peu coléreuse sur les bords, elle m’a tout de suite fait rire et m’a embarqué avec elle dans cette école tout droit sortie des enfers.



La Scholomance. Qu’est-ce que c’est que cet endroit ? Eh bien, vous avez tout un tome pour le découvrir. Une école spécifique pour les enfants dotés de pouvoirs, pour lesquels le monde extérieur est beaucoup trop dangereux… École où ces mêmes enfants peuvent aussi mourir à n’importe quel moment. Charmant non ? Imaginez un Poudlard sans adulte, qui tourne maléfique avec des créatures qui grouillent à chaque tournant et vous aurez une belle vision d’ensemble de la Scholomance. J’ai personnellement trouvé cet endroit fascinant, de même que le reste de l’univers que construit Naomi Novik. Le seul petit bémol est le fait que parfois, les explications prennent un peu le pas sur l’intrigue, que l’on est obligé de suspendre et cela m’a un peu sorti de ma lecture sur la fin.



Parce que oui, l’intrigue est captivante. On pourrait penser que suivre une jeune ado dans sa scolarité pourrait être redondant et sans grand intérêt, mais bien au contraire. J’ai adoré suivre le cursus d’El, qui se spécialise dans les langues des sortilèges. L’autrice a fait un magnifique travail linguistique, précis et inclusif, qui m’a passionné. Pratiquement aucune langue n’est mise de côté, ce qui permet aussi d’inclure une diversité ethnique dans les personnages sans que cela fasse un effet un peu forcé.



En parlant des personnages, j’ai beaucoup aimé voir la diversité ethnique mais aussi caractérielle. En effet, chaque personnage prend corps au fur et à mesure de l’avancée de la relation avec El. On découvre avec elle les différentes personnalités des personnages qui l’entourent, chacun avec ses propres motivations, ses propres peurs, ses propres espoirs. Je me suis attachée à certains d’entre eux en même temps qu’elle, notamment Aadhya, Liu et Orion, qui prennent de l’importance dans l’histoire et dans la vie d’El.



En conclusion sur ce premier tome, j’ai beaucoup aimé me plonger dans cet univers, même si parfois son introduction un peu longue me sortait un peu de ma lecture. Les personnages ont su me rattacher et me donner envie de lire la suite.
Lien : https://lifeisarealbook.com/..
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