Au début de ce livre, dans le avant-propos, Philippe Ebly nous fait part que les personnages du précédent roman « Les trois portes » lui manquaient et ayant déjà en tête le personnage de Noïm, il a décidé de faire une série avec eux.
Cette histoire qui est bien différente du tome précédent nous embarque dans les Cévennes avec ses ravins et ses montagnes. Frédéric prévient nos aventuriers de ne pas se rendre au ravin des Oubrets sans pour autant rentrer dans les détails, ce qui alors attise leur curiosité et plus particulièrement celle de Thierry malgré la méfiance de Didier. Et bien évidemment Kouroun, fait le guide et comprend assez vite le danger qui les entoure, car il leur sera impossible de faire demi-tour sans avoir accompli une certaine tâche.
C’est alors qu’une nuit se reconstitue devant leurs yeux un jeune homme enfin : un être étrange qui a pris physiquement une partie de Didier, de Thierry et de Kouroun. Ainsi, le jeune homme se présente à eux et leur dit qu’il se nomme Noïm et leur dévoile plus tard qu’il peut lire dans les pensées et pressentir à l’avance les dangers.
Comme j’ai aimé retrouver Didier, Thierry et Kouroum auxquels je me suis attachée depuis le précédent tome. J’ai également apprécié Noïm qui est si mystérieux mais si attachant. On se doute mais sans trop savoir que Frédéric cache quelque chose depuis le début. D’ailleurs bien qu’il s’avère pas très agréable aux premiers abords, il devient de plus en plus aimable avec nos jeunes héros.
Encore une aventure que j’ai pris plaisir à découvrir, je me suis laissée transporter dans l’histoire sans chercher à savoir comment cela allait se terminer. J’aime toujours la complicité qui règne entre les protagonistes et aussi leur maturité.
Je vous partage ci-dessous quelques belles illustrations de Claude Lacroix qui figurent dans ce livre.
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