L'année dernière, j'ai lu "Et le ciel sera bleu", le premier (?) tome de la saga "La pension du bord de mer", un roman que j'ai beaucoup aimé !



J'ai trouvé "Quand on ne peut oublier" (le tome 5?) chez Oxfam et j'ai eu envie de retrouver la famille de Peggy Reilly, la tenancière de la pension.



Comme les tomes sont indépendants les uns des autres, je me suis lancé dans celui-ci et...je me suis plutôt ennuyé. Ce n'est pas que l'histoire n'est pas intéressante, mais j'ai trouvé ça long, très long ! Pourquoi cette différence avec le premier tome lu? Sans doute que j'ai perdu l'effet découverte de cette saga...



Nous sommes en décembre 1941. Les Japonais bombardent Singapour. (J'ai trouvé intéressant de citer la guerre du côté des Nippons au lieu des Allemands comme dans la plupart des livres.)



Sarah, 19 ans et sa petite sœur sont obligées de quitter la Malaisie pour aller trouver refuge à Cliffehave, sur la côte sud-est de l'Angleterre. Les deux filles sont les nièces d'une dame âgée habitant la pension Reilly. C'est donc naturellement là qu'elles sont envoyées par leur père.



Le récit oscille entre la Malaisie et l'Angleterre pendant une grande partie de l'histoire. Les jeunes filles n'arrivent dans la pension que dans le 3e tiers du livre. Cela ne m'a pas dérangé, ça a permis de décrire la guerre dans la colonie anglaise.



Trop de blablas, trop de détails, trop de longueurs, trop de faits inutiles à mon gout qui n'ont pas fait avancer le schmilblick !



Pas sûr que je continuerai à lire les aventures de la pension du bord de mer...

Aujourd’hui, je vous emmène dans l’Angleterre des années 1940 avec le dernier roman de Tamara McKinley, “En attendant ton retour”. Ce 12ème volet de la saga de la pension du Bord de mer nous plonge dans une période sombre et pleine d’émotions. Nous suivons cette fois Anne Black, la fille aînée de Peggy Reilly, qui s’installe dans le Somerset avec ses deux enfants pour fuir les dangers de Cliffehaven. Son mari, Martin, pilote et formateur dans la RAF, multiplie les missions périlleuses, laissant Anne dans l’angoisse de ne jamais le revoir.

Tamara McKinley réussit une fois de plus à nous captiver avec des personnages attachants et une atmosphère poignante. Ce tome se distingue par son focus sur Anne, offrant une perspective nouvelle et émouvante sur les sacrifices et les espoirs en temps de guerre.

Pourquoi le lire ?

Pour son immersion historique riche et détaillée.

Pour ses personnages profondément humains et touchants.

À lire absolument si vous aimez les sagas familiales et les romans historiques !

J’ai découvert cette auteure avec « La dernière valse de Mathilda » que j’ai adoré.

Il s’agit d’un tout autre contexte puisque « Et le ciel sera bleu » se passe pendant la seconde guerre mondiale. L’angoisse et les difficultés au quotidien sont bien décrites. On imagine sans peine ce qu’était la vie en 1939.

La plume de Tamara McKinley est fluide et très agréable à lire. Les personnages ont chacun leurs particularités ce qui fait que l’on s’attache facilement à eux (pour la plupart…).

Ce roman est le premier de la saga « La pension du bord de mer » qui en compte onze.

On retrouve cette saga la pétillante Kitty. Une aviatrice hors paire, elle adore volée dans les airs et fait de son mieux pour son effort de guerre dans la RAF. C'est vraiment une très belle saga j'adore retrouve chaque personnage même si j'ai commencé à l'envers.

Amis et habitués de la Pension du Bord de Mer, nous voici au début de 1944, la saga se rapproche petit à petit de la fin ! Chaque tome couvrant quelques mois, nous n'en sommes quand même pas aux adieux.



Comme toujours, les alertes et les bombardements se succèdent à Clivehaffen, Ron braconne dans les collines, l'Ancre ne désemplit pas le soir, Mrs Finch oublie de brancher son sonotone, et la bouilloire chauffe à n'importe quelle heure.



À chaque fois, quel plaisir de retrouver la famille Reilly, et surtout Peggy aux bras toujours prêts à s'ouvrir.



Ce 12e tome ne suit pas le même schéma que les précédents, puisque Peggy n'accueille pas de nouvelle protégée à la Pension. Nous y suivons plus particulièrement le couple d'Anne, la fille aînée de Peggy, et Martin, et l'histoire se partage entre Clivehaffen bien sûr, mais surtout la ferme dans le Sommerset où sont réfugiées Anne et ses filles, et la base aérienne où est basé Martin. L'accent est aussi mis sur la RAF et ses pilotes.



Les personnages habituels sont néanmoins bien là, les Reilly malgré l'absence de Jim, les anciennes pensionnaires, les commerçants.

J'ai un peu regretté que Ron dans ce tome ne soit pas très actif, bien que présent.



L'écriture est toujours aussi agréable et immersive, c'est à chaque une lecture bien sympathique. Vivement le tome 13 !

April est une jeune femme sérieuse, engagée dans la Royal Navy. Mais la guerre ébranle toutes les certitudes. Et il arrive que l’on s’autorise des choses que l’on ne ferait pas en temps normal.



C’est ainsi que la jeune femme se retrouve, en peu de temps, enceinte, seule, rejetée par sa mère, et sans emploi. Le hasard fait qu’elle est en contact avec Peggy Reilly, la propriétaire de la Pension du Bord de Mer. Perdue, et n’osant révéler toute la vérité, April arrive à Cliffhaven en espérant y voir plus clair…



Comme dans chaque tome de cette saga comptant maintenant 11 tomes, nous retrouvons avec plaisir l’atmosphère douillette de notre pension préférée, habitée par des personnages que nous avons appris à connaître et à apprécier au fil du temps. Les années ont passé, et nous sommes maintenant en 1943. Les jeunes filles qui ont vécu durant une période à la pension sont pour certaines parties pour d’autres horizons, laissant la place à de nouvelles arrivantes.



Cette fois, il s’agit d’une jeune femme dans une situation compliquée, puisqu’elle est enceinte sans être mariée. Une position bien difficile à défendre, surtout à cette époque. Et c’est d’ailleurs tout à fait bien traité par l’auteure, qui nous montre la réalité de cette époque.



D’autres personnages de la petite ville reçoivent un coup de projecteur un peu plus important que dans les précédents tomes, ce qui donne un peu d’énergie par rapport aux précédents opus, que j’avais parfois trouvé un peu répétitifs.



Enfin, un personnage en particulier, Ethel, m’a semblé un peu trop versatile à mon goût. Ne cessant d’osciller entre deux prises de position contradictoires, elle m’a un peu déstabilisée.



Cela ne m’a toutefois pas empêchée d’apprécier ma lecture.




Lien : http://au-fil-des-pages.be/

Tome 2 de cette saga. Nous sommes au début de la 2nde guerre mondiale dans une petite ville de la côte sud de l'Angleterre.

Nous retrouvons Peggy et sa pension de famille. De nouveaux personnages entrent en scène et notamment Polly, jeune infirmière qui cherche à se rapprocher de son mari, blessé pendant la guerre, et qui a dû faire face à un choix très difficile : se séparer de sa petite fille, ou encore Danuta, jeune polonaise qui a traversé l'Europe pour retrouver son frère (petite référence au tome 1 de la série).

Comme pour le premier tome, on découvre le quotidien des personnages pendant cette guerre.

Tous les ingrédients sont présents pour passer un bon moment. C'est addictif, les péripéties s'enchaînent. Une chose est sûre, on ne s'ennuie pas à la pension du bord de mer.

J'ai hâte de découvrir les futurs pensionnaires

J'aime toujours autant rejoindre la Pension du Bord de mer et Peggy, de plus en plus efficace.

Il faut cependant savoir que cette série est de moins en moins feel good.

Nous sommes toujours en pleine seconde guerre mondiale, et la vie n'est pas rose. Il sera question ici de batailles aériennes, mais aussi de camp de concentration et de camp de prisonniers.



Contrairement aux épisodes précédents, on va en grande partie rejoindre Anne, la fille de Peggy, qui pour mettre ses enfants à l'abri, s'est réfugiée dans le Somerset, pendant que Martin, son mari, à partir de la base de Cliffe mène des opérations dangereuses.

La ferme où habite Anne va devoir, faute de suffisamment de personnel masculin, accueillir des prisonniers de guerre allemands Et on comprend mieux la difficulté de se trouver face à "des ennemis", pour des gens qui ont tous perdu des proches dans cette guerre. En se disant que c'est peut-être un de ces hommes qui a abattu un des leurs.

Difficulté aussi du côté allemand : des jeunes gens enrôlés souvent contre leur gré, qui en voyant ces familles pensent à la leur, si lointaine.

Pendant ce temps, Peggy en difficulté financière car tout devient plus cher avec des approvisionnements qui se raréfient, décide, au grand dam de son entourage, d'aller travailler à l'usine, en plus de la tenue de la pension. Mais c'est Peggy... rien ne l'arrête !



J'apprécie de voir la guerre à travers les yeux de ceux qui restent, subissant les bombardements, les restrictions, mais surtout leur inquiétude pour les combattants.



Comme les autres tomes, il peut se lire seul, mais si on n'a pas lu les précédents il vaut mieux pas trop chercher à savoir qui est qui, car au fil des volumes, d'autres pensionnaires arrivent, partent, tout en étant toujours présents dans l'histoire, ça en fait du monde !!



Même si c'est parfois triste, j'aime toujours autant retrouver tout ce petit monde, Daisy qui grandit, Ron et Cordelia, toutes les pensionnaires, et même Doris toujours aussi désagréable.
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