L’année de Terminal touche bientôt sa fin. Miyamura et Hori font de plus en plus de choses ensemble et pensent à l’avenir. Ils sont sûrs de leurs sentiments tandis que Yuki et Toru ne donnent pas encore une étiquette à leur relation.



C’est toujours un plaisir de passer du temps avec Miyamura, Hori et leur petite bande. J’ai apprécié voir un peu plus Sakura et j’ai aimé ses interactions avec Yanagi. Sakura est un personnage qui m’a beaucoup touché et je suis contente de la voir aller de l’avant. Le fait de connaître un peu plus les sentiments de Yuki et Toru m’a fait croire un peu en ce couple et j’ai hâte de les voir se rapprocher encore plus.



J’adore toujours autant ce manga qui donne du baume au coeur et qui m’a fait rire par moment. J’ai hâte de lire la suite pour savoir ce que l’histoire va réserver à Hori et Miyamura mais aussi aux personnages.
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Ce tome marque la fin du lycée pour les héros de l'histoire et ouvre un nouveau chapitre de leur vie d'adulte. Il apporte une jolie conclusion à la série même si peu de chapitres lui sont consacrées. En effet, la moitié de ce tome est consacré à des histoires parallèles impliquant des personnages secondaires : le petit frère de Kyôko pour l'une et la rencontre de ses parents au lycée pour l'autre.

Je me demande donc à quoi sera consacré le 17e tome prévu.

On retrouve un peu plus le couple central dans ce quinzième tome mais toujours dans des scènes de leur quotidien. On voit également l'ensemble des personnages secondaires dans des scénettes rigolotes. Bref, un tome tout-à-fait dans la lignée des précédents, qui se lit avec fluidité tant dans le scénario que dans les dessins mais pour dans lequel il n'y a aucune surprise et c'est bien dommage.

Les auteurs se sont amusés avec la maladresse de certains professeurs, des discussions sur tout et rien, des questions farfelues qui viennent soudainement à l’esprit, des remarques qu’on se fait en visitant la demeure de sa moitié, des demandes absurdes faites à ses potes. On passe des piercing aux talons aiguilles, avec un détour par une dernière Saint Valentin, où il est surtout question de trouver le cadeau idéal ou simplement le bon ruban cadeau !
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Tout en s’acheminant doucement vers la fin, les auteurs gardent le cap d’une histoire douce, fraîche mais anecdotique où l’on suit juste les petites aventures du quotidien de nos héros lycéens. Rien de flamboyant mais que du doudou.



Les petits moments s’enchaînent donc à nouveau dans ce tome, sans que l’un vienne dépasser l’autre ou que l’un soit en-dessous. Ils sont tous mignons et charmants et fleurent bon l’époque où on était nous-mêmes élèves et où on vivait certains de ces moments. Se combinent le charme des blagues entre potes, aux petits moments romantiques « spécial papillons dans le ventre ». C’est mignon tout plein. On rit des traits caractéristiques de chacun et tout le monde s’entend bien dans le meilleur des mondes. C’est clairement juste une série qu’on lit pour se faire du bien sans plus trop chercher de trame narrative.



Dans ce tome, nous avons cependant droit à, innovation, quelques pages également sur les professeurs de nos héros qu’on ne voyait pas trop jusqu’à présent. On rit et s’amuse avec eux. Hori est toujours au coeur des histoires, elle, avec ses disputes entre copines, ses moments avec Miya, et dans ce tome sa phobie sortant de nulle part des trous dus aux percings de son chéri ^^! Plus touchant, ce moment où elle cherche à se dépasser en cuisinant des chocolats pour lui. Ce n’est pas gagné vu son niveau lol Côté garçons, ils sont toujours de bons compagnons de rigolades et j’aime particulièrement le duo mis en avant sur la couverture : une belle amitié entre-sexe comme on en voit peut.



Cependant, je dois reconnaître aussi, que la série a assez duré et qu’il est temps qu’elle se termine. Elle tourne en rond et n’a plus grand-chose à raconter ou apporter, on le sent. Les thèmes se répètent. Les situations restent charmantes mais n’ont plus de fond. C’est long 16 tomes pour une série de ce genre.



Avant-dernier opus de cette comédie romantique lycéenne tranche de vie toujours aussi mignonne et relaxante qui met en scène une bande de potes dont on aimerait faire partie. Entre moqueries envers les profs, chamailleries entre eux, disputes d’amoureux et petits moments tendres, une vraie lecture doudou qui fait du bien au moral sans forcément être très profonde, juste pour le plaisir de retrouver cette ambiance chaleureuse et amusante.
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Un slice of life classique : deux élèves que tout oppose et qui vont se découvrir, leurs amis, les parents absents, la fête de l'école. Divertissant avec une pointe de modernité dans les relations amoureuses, ce manga sera une bulle de douceur pour tous les collégiens/lycéens. Les dessins sont simples, le propos sert l'intégralité de l'œuvre. L'humour est un peu absurde et j'ai trouvé que c'était rafraîchissant.



Peu touché par le manga, je lui ai mis 3 étoiles, mais je pense que surtout que je ne suis pas la cible. Je ne doute pas de son succès et de sa réalisation auprès du public ciblé.

Miyamura et Hori sont désormais en couple après que Miyamura ait avoué ses sentiments à Hori. Cela donne une nouvelle dynamique au groupe. Avec l’aide d’activités scolaires, les amitiés vont s’approfondir et d’autres couples vont naître.



J’ai été ravie de retrouver cette petite bande. Le couple que forme Miyamura et Hori prend forme. Ils se sont de plus en proche. Morimiya s’épanouit, s’ouvre aux autres. J’aime sa relation avec le père d’Hori. Une belle complicité est naît entre eux. J’ai aussi aimé le fait que les personnages secondaires ont pris un peu plus de place. De cette façon j’ai pu en apprendre plus sur eux et savoir ce qu’ils ressentaient.



J’adore toujours autant ce manga qui donne du baume au coeur et qui m’a fait rire par moment. J’ai hâte de lire la suite pour savoir ce que l’histoire va réserver à Hori et Miyamura mais aussi aux personnages.
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Un tome 5 dans la continuité des précédents.

L’introduction du nouveau personnage peut sembler assez tirée par les cheveux ou sortie du chapeau mais personnellement j’ai assez apprécié cela.

Enfin ce qui reste surtout impressionnant c’est la manière dont Horimiya joue avec les codes du shojo classique pour les détourner et en faire quelque chose d’autre. Surtout pour l’époque.

Par ailleurs, j’aime beaucoup comment la communication s’installe de manière très naturelle entre Hori et Miyamura. On est pas dans les non-dits et les grands discours éloquents comme dans les shojo habituels. Là la communication se fait tout en douceur (et un peu en gêne aussi).