J’ai commencé cette série car j’ai beaucoup aimé la saga de « la villa aux étoffes » du même auteur.

J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman.

J’y ai retrouvé les ingrédients que j’avais appréciés dans la première saga de l’auteur : un roman choral qui se déroule sur plusieurs années et le point de vue allemand d’un évènement majeur du XXeme siècle (la seconde guerre mondial dans ce livre).

J’ai trouvé que la galerie de personnages était beaucoup plus variée que dans la « villa aux étoffes » et ils sont tous intéressants et attachants. J’ai aussi apprécié d’avoir un des personnages qui n’était pas allemand.

D’un point de vue historique, Café Engel montre bien les difficultés de vie des allemand pendant la seconde guerre mondial et aide à appréhender la dureté de la vie à cet époque en abordant des notions tels que le rationnement, le marché noir, l’occupation mais aussi l’impact des bombardements sur les civils ou encore la notion de secteur d’occupation par les alliés.

J’ai hâte de lire le tome 2.

Un roman qui nous parle de la Seconde Guerre mais qui, une fois n'est pas coutume, se passe en Allemagne juste à la fin en 1945.



Chaque chapitre est consacré alternativement à l'un des 5 personnages principaux, mais il faut bien prêter attention à chaque titre car il comporte une date et la chronologie n'est pas respectée.



C'est un récit qui comporte une foultitude de personnages et comme on les retrouve de-ci de-là au gré des chapitres j'ai du parfois me concentrer pour les identifier.



C'est une lecture assez légère malgré la période, certes il y a quelques passages un peu plus durs, mais dans l'ensemble cela reste un roman/romance.



L'histoire est intéressante et bien menée mais je déplore cependant quelques longueurs récurrentes.



Attention si vous souhaitez découvrir ce livre évitez de lire le 4ème de couv. qui à mon sens en révèle beaucoup trop.

D'autant plus qu'un des faits annoncés n'arrive qu'aux 2/3 du roman ce qui 1/ fait traîner l'intrigue et 2/ en dévoile trop et spoile le suspense.



Si j'ai plutôt bien aimé cette histoire, qui change un peu par son contexte historique, je ne lirai cependant pas la suite car l'ensemble n'a pas été assez percutant pour moi.

On est de retour à Wiesbaden, au sein du Café Engel, tenu par la famille d’Hilde. 1951, la guerre est passée, avec ses ravages et ses tourments. Tout parait prometteur pour les affaires de la famille , si ce n’est l’ouverture d’un nouveau café tout à côté du Café Engel. Cette nouvelle décennie amène aussi l’espoir et la joie de revoir les siens, à l’image du retour du frère d’Hilde. Mais ce dernier, risque bien de surprendre ses proches et créer quelques tensions.



Vous l’aurez compris, dans ce second tome, il va y avoir de nombreuses histoires personnelles, qui vont se croiser et se lier. Certaines sont passionnantes, d’autres un peu plus superficielles, mais dans l’ensemble tout est captivant. J’ai aimé la façon dont Hilde s’impose davantage face à ses parents et les choix qu’elle fait. L’écriture est fluide, et dépeint de façon crédible je pense, l’aspect culturel, social et politique de l’Allemagne des années 50.



J’ai retrouvé avec plaisir les personnages du précédent tome, même si je dois dire, que roman choral oblige, j’ai eu un peu de mal au début à resituer tout le monde. Mais bien vite, j’ai repris mes marques dans le quartier, et j’ai pu profiter de ma lecture plus posément. Puis surtout, j’ai trouvé ce tome moins minutieux dans les descriptions, ce qui permet une meilleure expérience de lecture. Je n’ai qu’une chose à dire, vivement le tome 3.

☕ Nous sommes en 1945 à Wiesbaden en Allemagne dans le Café Engel situé sur l’avenue Guillaume. La guerre vient de s’achever. Les bombardements laisse place à un paysage désolant. Les Américains arrivent et il va falloir tout reconstruire, se débrouiller et réapprendre à vivre différemment.



🥧 C’est un roman chorale où chacun a son rôle à jouer. Comme les maillons d’une chaîne, ils sont tous liés les uns autres.

Hilde, Julia, Luisa, Heinz, Jean-Jacques, …

Des personnages touchants qui vont contribuer chacun à sa hauteur à la vie du Café Engel. C’est une communauté, une famille…



🧳 J’ai pris beaucoup de plaisir à les découvrir, apprendre à les connaître, les suivre, les aimer.

Ils m’ont fait découvrir l’Allemagne à la fin de la guerre, l’arrivée des vainqueurs et tout ce qui en a découlé.

Un point de vue que j’apprécie découvrir, car il remet chaque chose à sa place et c’est très enrichissant. D’un côté ou de l’autre, rien n’était ni tout blanc, ni tout noir…



🖋 Je découvre la plume d’Anne Jacobs (oui je n’ai pas lu la Villa aux Étoffes) et j’aime cette plume qui témoigne à merveille en nous contant cette période de l’Histoire.

J’ai hâte de retrouver tous ces personnages, qui me manque déjà, dans le prochain tome.



🍫 C’est une lecture que je vous conseil si vous aimez les romans historiques et les sagas familiales.

Pour ceux qui me connaissant, je n'ai jamais pu terminer une saga de l'autrice. J'ai abandonné La villa aux étoffes au tome 3 et j'ai abandonné Le manoir oublié au beau milieu du tome 1. Bref, c'est un challenge que me lance Harper Collins grâce à l'aventure des Ambassadrices "Au gré du monde".

Alors passera ou passera pas ?



L'autrice nous propose une saga historique familiale dans laquelle il me faut d'abord un temps d'adaptation car il y a pléthore de personnages.



Je suis charmée par le récit qui me plaît beaucoup et j'en suis ravie. J'apprécie le roman choral et j'adhère facilement à cette histoire.



Cependant, et c'est là mon contentieux avec l'autrice,  je trouve qu'il y a toujours beaucoup trop de longueurs. Malgré cela, le style et fluide et ce roman se lit tout seul.



Je suis donc conquise par l'histoire même si j'aurais aimé un peu moins de longueurs.

Maintenant que j'ai brisé la glace avec le tome un, je ne saurais tarder à lire le second tome.

Etant en train de lire la fameuse série "la villa aux étoffes", j'ai été attirée par cette nouvelle saga de la même autrice "café Engel" ; la sortie en poche du premier tome a fait le reste et j'ai commencé une nouvelle série sans avoir terminé la précédente. Aïe.

Cela, en raison de la plume si fluide de l'autrice et les personnages attachants.

Toujours une forte femme, ici Hilde Koch, jeune femme devant se battre pour s'imposer.

La trame de l'histoire est, pour moi, inhabituelle car je suis plus habituée à voir la guerre et l'après-guerre du côté occidental et non allemand ; or, ici, nous voyons surtout les privations de la guerre et l'adaptation aux occupants américains.

Impatiente donc de lire la suite - pour l'instant le tome 2 vient de sortir en grand format et le tome 3 n'est pas traduit - j'ai donc le temps de lire sa précédente saga !

Ah je poursuis enfin la suite des aventures du Café Engel ou l’on retrouve toute la famille Koch. Et ça y est enfin, la guerre est finie !

La vie reprend petit à petit à Wiesbaden ! Le Café Engel n’est plus le seul café du quartier, il va devoir faire face à la concurrence plus récent et plus moderne !

Hilde tente par tous les moyens de convaincre ces parents de faire des rénovations, mais celle-ci va se heurter à tout le monde pour peut-être ne pas arriver à rehausser cette entreprise familiale qui lui tient tellement à cœur ! Va-t-elle y arriver ?



J’ai beaucoup aimé retrouver ces personnages attachants, pour poursuivre la suite de leur histoire. Cependant, je dois vous prévenir si vous êtes en quête d’action et de rebondissements, ici vous risquerez d’être déçu.

Café Engel est une saga familiale historique plutôt calme et moi qui retrouve l’action et les rebondissements dans mes polars, ici justement j’ai la pause joyeuse et heureuse que je recherche !

Et en plus avec son écriture fluide et facile, ce livre se laisse facilement lire. On est absorbé par ces histoires de famille, oui bon peut-être un peu banale et prévisible, mais tant pis du moment qu’on passe un bon moment pour moi c’est le principal.



Voilà pour moi une suite sans trop de fanfaronnades, l’histoire poursuit tranquillement sa route et j’ai hâte de refaire une pause entre deux polars pour retrouver la suite des aventures du Café Engel !

Un livre dans lequel je me suis immédiatement plongée ! L’univers développé autour du café Engel forme à la fois un lieu attachant et sécurisant, tout en nous dévoilant les difficultés de l’après-guerre auxquelles a été confronté le peuple allemand : pénuries et marché noir, maladies, perte totale de ses biens, mais aussi refus de s’avouer vaincu et d’accepter la réalité en face. Quelques inepties (une suggestion de fuir en Israël en 1945 ?) et de nombreux personnages qui rendent le début de lecture un peu difficile ; malgré ça, j’ai adoré et je prévois déjà de lire le tome 2