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Braises de guerre

Série de 3 livres (En cours). Écrite par Gareth L. Powell (3),


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L'armada de marbre

L’armada de marbre est un volume intermédiaire, une suite quasi-directe de “Braises de guerre”, qui met en mouvement une intrigue dont le dénouement pendra fin dans l’opus suivant, “L’éclat d’étoiles impossibles”.

Nous y suivons toujours le Chien à problèmes, un vaisseau de guerre reconverti dans les missions de sauvetage et son équipage : Sal la capitaine instable, Alva l’ancienne soldate bougonne, Preston le médecin incompétent et Nod le mécanicien alien.

Plaisant à lire, comme le livre qui le précède, même si forcément un peu moins surprenant, il n’y a rien de fondamental à reprocher à ce tome 2. Le style narratif, alternant et entremêlant les point de vue de Sal, du Chien à problèmes ou d’Ona Sudak est toujours aussi immersif et fun, et permet au lecteur de lâcher de petits ricanements même, et surtout, quand les protagonistes traversent des situations particulièrement difficiles.
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Braises de guerre



Pitch :

Un vaisseau et son équipage “tout cassés”

Le Chien à problèmes est une vétérane de la Guerre de l’Archipel, un conflit ayant opposé deux factions l’humanité. Elle est un ancien vaisseau militaire, ayant appartenu au camp victorieux, et dont les entrailles abritent, entre autres, un cerveau tout autant cybernétique qu’organique, avec des bouts d’ADN humains et canins. Revêche ? Comme elle le dit d’elle-même, elle est “une adolescente de quatorze ans sous l’apparence d’un missile”. Et ce n’est pas peu dire que la guerre, elle ne veut plus en entendre parler ! Ja-mais ! Elle a donc démissionné et rejoint la Maison de la Récupération, une sorte d’ONG inter-espèces dévolue au sauvetage de tous les naviguant de l’espace, peu importe leurs origines et peu importe les dangers.

À son bord, Sol Konstanz, faisant office de commandante de bord, et Alva Klay, chargée de jouer aux gros bras(*), toutes deux également vétéranes de cette guerre, et qui tentent elles aussi d’oublier les horreurs qu’elles ont traversées, en s’investissant à corps et à cœurs perdus dans leur mission quasi-sacrée ! Car dans ce futur pas si lointain, rejoindre la Maison de la Récupération c’est faire sien un idéal que les humains ou les aliens ne partagent pas forcément : tout sacrifier pour venir en aide aux autres, même au péril de leur vie. Et puisque l’auteur a décidé de nous livrer un récit d’aventures, mené tambour battant, la périlleuse mission de sauvetage que l’équipage se voit assigné démarre après à peine quelques chapitres de mise en place ! Un vaisseau de croisière, avec neuf cent personnes à bord, s’est en effet fait bombarder dans une région pour le moins dangereuses de l’espace…

Avis :

Il m’arrive d’apprécier un livre sans savoir exactement pourquoi. J’aborde donc cette chronique avec un peu d’inquiétude, sachant qu’au fond j’ai peu d’arguments objectifs à faire valoir pour encenser “Braises de guerre” ! Ce n’est peut-être pas un ouvrage révolutionnaire mais ce space-opéra décomplexé, jouissif et accessible m’a tout de même fait passer un vrai bon moment.

Facile à lire, marrant et, à mon goût, passionnant à suivre, je ne suis visiblement pas le seul à être tombé sous le charme de cet ouvrage, puisque il y a désormais deux suites à ce livre et qu’elles ont été traduites ! On pourra m’objecter que l’histoire est un peu classique, que le dénouement n’est pas des plus inattendus voire même qu’au niveau “wow” on a vu plus innovant, il n’en reste pas moins que “Braises de guerre” m’a fait sourire et ricaner bien des fois. Et qu’il m’a distrait sans jamais m’ennuyer ni me perdre sur près de 450 pages. Alors ? L’idée d’un vaisseau pensant avec un nom à coucher dehors n’est pas neuve ? Mettre en scène une équipe de bras-cassés que l’adversité transforme en héros du jour, c’est du déjà-vu ? Oui, mais quand c’est bien fait, quand l’auteur n’essaye pas de te faire la morale, quand les concepts science-fictionnels s’effacent derrière l’histoire, ben il n’y a qu’une chose à dire, c’est que c’est une bonne histoire !
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