Bien que très populaire, ce roman n’est peut-être pas le meilleur choix si vous voulez vous lancer dans le domaine du Dark Academia. Niveau ambiance, on y est (manoir anglais, esthétique gothique, théories foireuses…). Le système de magie est intéressant, mais expliqué d’une manière si complexe que la lecture devient par moment très complexe.

Si cela ne vous dérange pas de sauter ces passages, vous aurez l’occasion de découvrir un joli panel de personnages relativement intéressants pris indépendamment les uns des autres. Attendez-vous néanmoins à ne pas ressentir pour eux autre chose qu’une profonde antipathie : tous, sans exception sont détestables ! Si j’apprécie ce trope en temps normal, j’ai trouvé que chaque personnalité, dans la dynamique de groupe ou dans l’ensemble, restait très clichée. Certains développement auraient pu être évités, ou tout du moins, ne pas faire écho à des représentations faussées ancrées dans notre imaginaire (je pense notamment à Parissa, l’incarnation irl de la femme fatale).

Je lirai sans doute la suite car certains retournements de situation m’ont intriguée. Le scénario et l’univers sont intéressants dans le fond et j’espère que la suite exploitera davantage leur potentiel !

Au début, j'ai eu du mal avec le fait de changer de personnages à chaque chapitre. Cependant, j'ai fini par apprécier ce choix, car il m'a permis de véritablement comprendre le caractère de chacun en me plongeant dans leurs pensées. Je me suis attachée aux personnages que j'ai trouvés très bien construits et intrigants

J'ai également adoré le concept de la société secrète. mêlant l'étude de la physique quantique, de la matière et du temps. J'ai apprécié que cette société ne soit pas un rêve idéal, et qu'elle exige un prix comme toute chose

L'intrigue était parfois un peu lente, mais cela ne m'a pas dérangé, car cela m'a permis de mieux connaître les personnages. J'ai donc hâte de lire le tome 2!

Je vais avoir du mal à ne pas être tranchante avec cette chronique… mais après avoir fermé le livre, je n’ai qu’un sentiment qui perdure : quelle perte de temps. C’est violent, je l’admets mais je ne vois vraiment pas ce que je peux retenir de positif de ce troisième tome qui n’apporte qui plus est pas vraiment de conclusion à cette trilogie.



C’était trop long, trop alambiqué, trop de trop. J’ai eu l’impression de naviguer dans un marasme sans fin où les personnages n’avançaient pas. On tourne en rond. Il y a pourtant la fin du monde qui est en jeu, mais au lieu de se concentrer sur l’action, les décisions, c’est une suite d’état d’âme qui sont disséqués et pour n’aboutir à pas grand-chose. Je crois que le pire c’est qu’avec toutes ces émotions mises à nu, le roman ne m’a rien fait ressentir. Ni colère, ni joie, ni peur, ni tristesse. Rien, le calme plat, alors que tous les héros sont à fleur de peau.



Un comble, surtout qu’au fur et à mesure on découvre qu’ils s’aiment tous, ces êtres égoïstes qui voulaient du pouvoir et ne savaient pas quoi en faire. Et ils se blessent continuellement. La violence, mis à part en ce qui concerne Nico, est à priori la seule réponse. Et la fin du monde dans tout cela ? Reléguée un peu aux oubliettes, vite expédiée, avec encore une fois des mauvaises décisions de prises.



J’étais agacée. Le premier tome d’Atlas six avait été une déception par son manque d’action, mais j’y avais trouvé un certain intérêt. Le second m’avait réconcilié avec l’histoire, ce qui est une prouesse pour le deuxième volume d’une trilogie, mais là… J’ai complètement décroché à la mort d’un personnage. Une mort qui n’a aucun sens, qui n’apporte pas vraiment grand-chose et qui est encore une fois le résultat d’un pur égoïsme. C’était mon encrage dans l’histoire et sans ce personnage, plus vraiment d’intérêt.



Il est difficile de surcroit d’apprécier un roman quand l’auteur ne rend pas ses héros attachants et même ceux qui étaient intéressants ont fini par perdre de leur substance. Faire de Libby la méchante… la pauvre petite fille perdue qui cherche l’approbation de ses compagnons… c’était probablement aussi la goutte d’eau de trop. Un peu comme si on frappait un animal à terre. Et la suite est confusante à souhait. Je n’ai pas vraiment saisi le but de tout l’ensemble. Sans fin, sans réelle conclusion. Tout ça pour ça en quelque sorte.



Je ne suis pas la seule à avoir ressenti cela ce qui est une maigre consolation, mais je me dis qu’au moins d’autres lecteurs ont vécu la même expérience et que je ne suis pas passée à côté de quelque chose.



L’idée de base était pourtant bonne. Les points soulevés très intéressants bien que la lutte du partage de pouvoir et de connaissances n’avait rien d’original, la construction, elle l’était. Les personnages avaient un énorme potentiel également. Mais on finit par les perdre et l’ajout des six d’Ezra n’a apporté que plus de confusion. Je suis au moins allée au bout de l’aventure et j’aurais au moins rencontré Nico et Gideon, ce sera ma consolation.

Un tome 3 intéressant mais malheureusement j’ai trouvé que cette saga devrait s’arrêter au tome 1, ça aurait du être un one-shot. Ce tome était bien j’ai apprécié le lire mais je l’ai trouvé inutile et comparé au premier tome on n’est plus du tout dans la même vibe. Ce n’est pas plus vraiment une dark academia et j’ai eu l’impression que tout partait en couille et qu’il y avait plus de réelle sens à l’histoire qu’on nous a présenté dans les 2 premiers tomes.

Une lecture qui commençait bien pour au final me laisser perplexe et même assez déçue.



- Nous plongeons dans un univers magique et contemporain où six magiciens talentueux reçoivent une invitation à passer un an en résidence au sein d’une société secrète descendant de la bibliothèque d’Alexandrie. Le but : Participer à un programme d’étude avancé. A la fin de l’année, cinq d’entre eux passeront en seconde année en étant initié, et le dernier sera éliminé.



- Le début est très intéressant car on rencontre chaque personnage individuellement pendant la phase de recrutement par le mystérieux Atlas. On en découvre plus sur les différentes particularités de la partie magique de l’univers et sur la société secrète que les jeunes intègrent. On sent qu’il y a un vrai univers à part entière au sein de la société et de cette mystérieuse bibliothèque. La psychologie des personnages est bien exploitée, on en apprends plus sur chacun d’eux. Le tout semblait original et original.



- La suite se révèle rapidement laborieuse… Je trouve que l’intrigue devient très vite brouillonne. On se retrouve propulsé dans des notions bien trop complexes autour de la physique, de la philosophie, des rêves. Le tout est lent, on avance peu dans l’intrigue. Les personnages ne sont pas assez creusés et bien peu ensembles pour qu’un esprit d’équipe se développe. Il n’y a aucune coopération entre eux alors qu’ils ont besoin d’avancer ensemble.



- Les conversations sont assez vides dans l’ensemble et souvent ne mènent nulle part. L’auteure développe plus le côté psychologique et introspectif vis-à-vis de soi-même, du monde et de ses mystères. Il manque clairement d’actions, d’approfondissement de l’univers et de l’intrigue. Le côté académique est également très peu exploité alors que c’est cet aspect qui rendait le résumé alléchant. La bibliothèque est un puits sans fond de connaissances et on ne la découvre que trop peu. La fin offre cependant plus de rythme et un plot twist intéressant quoique prévisible au vu d’éléments ultérieurs.



Sujets abordés : Magie, société secrète, apprentissage, dark academia, manipulation, initiation.



Pour conclure, ce T1 m’aura laissé assez perplexe une fois terminé. L’ambiance dark academia m’a beaucoup plu et est assez bien retranscrit. J’ai beaucoup aimé l’univers développé et les différentes magies présentées. Les personnages ont du potentiel. Et c’est là que ça capote… Je n’ai pas réussi à m’y attacher, on survole certains alors qu’ils paraissent intéressants. Et le tout est assez brouillon au final avec des thématiques pas toujours évidentes à comprendre. J’en ressors mitigée ✨
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La migraine du manque contextuel.



Peut-être que je ne suis pas le public ; je n'ai jamais mis les pieds sur Tiktok, lieu où la hype de ce roman a débuté. Peut-être aussi que je me suis endormie (tu sais, quand tu continues de lire alors que tu fais le bilan entier de ta vie à l'intérieur de ton crâne, et que tu finis totalement paumé quand tu reviens à ta lecture ?) à chaque fois que les personnages apportaient du contexte, de la substance, ou des débuts de réponses à la question "Mais qu'est-ce que vous fichez ici, c'est quoi ce lieu, vous y faites quoi, au juste ?". Je me suis même dit que, peut-être qu'en fait, Atlas six est à Harry Potter ce que Cinquante nuance de Grey est à Twilight : une fanfiction réécrite en dehors de l'univers de base, pour devenir une histoire à part entière, inédite.



Peut-être, hein. J'en ai aucune idée. La seule chose que je sais c'est que j'ai été déçue. Notamment parce que ce livre est à des années lumières de ce que me vendait la quatrième de couverture.



Les personnages sont tous détestables, perfides, antipathiques. On les suit à tour de rôle, dans un roman choral où chacun crache à la tronche de ses petits camarades à longueur de temps - ça en devient vite lassant. Ils sont six, sélectionnés parmi tous les magiciens du monde, en compétition pour entrer dans la Société la plus élitiste, concervatrice du savoir exhaustif de la bibliothèque d'Alexandrie. Et tout du long, on oscille entre médisances en pagaille sur ses petits camarades, et théories physiques, quantique, philosophique sans préambule, sans contexte autre que "on étudie ça en cours en ce moment".



Tout est bancal. Les relations entre les personnages, leurs ambitions, le déroulement des choses. Les scènes s'enchaînent sans fluidité, les actions sont ravagées par des longs dialogues et des monologues du narrateur ressassant encore et toujours les mêmes émotions, les mêmes traumatismes, les mêmes pensées. Le plot-twist est cousu de fil blanc, et la fin ! Tellement incohérente, donnant l'impression que notre calvaire n'a servi à rien.



J'ai souffert dans cette lecture où les passages laissant entrapercevoir ce pourquoi le livre m'a tenté (la magie) sont tabassés par des scènes de téléréalité. Je me suis accrochée, lisant jusqu'à la fin dans l'espoir d'être récompensée, en vain. Peut-être que les autres tomes sont mieux, mais je ne m'y replongerais pas.

Tous les dix ans, six magiciens tous plus talentueux les uns que les autres sont sélectionnés pour entrer dans une société secrète leur promettant l’ouverture à toutes les connaissances et au pouvoir.

Chacun d’entre eux a un pouvoir spécifique et ses motivations pour tenter cette expérience.

Ils n’ont rien en commun, ne s’apprécie pas forcément, mais vont devoir s’allier ou se trahir afin d’arriver au bout de cette épreuve...



Toute la première partie de ma lecture m’a totalement accrochée. Je me suis laissée entrainer par la découverte des différentes personnalités, de l’académie, et de l’intrigue en soi.

On alterne chaque chapitre avec le point de vue d’un des protagonistes. Parfois, on retourne dans le passé, avec l’histoire d’anciens candidats, mais je ne vous en dis pas plus...

Clairement, on va de surprise en surprise tout au long de la lecture. J’ai vraiment apprécié le fait que ce ne soit pas prévisible dès le départ et qu’il y ait un vrai suspens. Par contre, il faut vraiment être concentré à 100% dans sa lecture, au risque sinon de parfois être perdu par l’alternance de narration et la temporalité.

Je pense que la lenteur de la lecture est voulue par l’autrice, pour bien se plonger dans l’histoire. J’ai hâte de lire la suite pour voir les différents rebondissements et un peu plus d’action au vue de la fin de ce premier tome... 👀

Si vous aimez les fantasy avec un rythme assez lent, je vous le conseille vivement !

J’ai beaucoup aimé ma lecture, même si ce n’est pas un coup de coeur.

Les 100 premières pages, j’ai tellement adoré que je pensais avoir sous la main mon nouveau coup de cœur !

Les personnages, l’univers, l’intrigue, j’aimais absolument tout.

Puis, pendant bien la moitié du livre, des lenteurs s’installent et il y a beaucoup de passage sans grand intérêt. J’adore pourtant les lenteurs mais la il y en avait beaucoup, beaucoup trop.

Les personnages sont tous très intéressants et j’aime beaucoup les livres avec plusieurs points de vue.



La fin a bien rattrapé le tir avec pas mal de rebondissements ! Je vais sûrement lire la suite