AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Tout n'est pas perdu (106)

Nos prisons débordent de malades mentaux. Il n'est pas toujours aisé de déterminer si c'est la maladie qui les a poussés à commettre leurs crimes, ou si c'est l'environnement carcéral qui a créé leur maladie.
(p. 76)
Commenter  J’apprécie          302
Sois forte dans ton corps et dans ta tête, et tu auras une belle vie.
Commenter  J’apprécie          250
Le véritable "bonheur" se produit quand la relation se stabilise. Quand vous dormez la nuit à côté de votre nouvelle maîtresse parce que vous savez qu'elle va rester.
Commenter  J’apprécie          242
Mais l'amour est un art, pas une science .
Commenter  J’apprécie          240
Nous sommes de petits êtres sans importance. C'est seulement la place que nous occupons dans le cœur des autres qui nous remplit, nous donne notre raison d'être, notre fierté, et notre perception de nous-mêmes.
Commenter  J’apprécie          230
Personne , aucun d'entre nous , ne montre à qui que ce soit tout ce qu'il est .
Commenter  J’apprécie          219
Il est difficile de savoir combien de femmes se font violer , car c'est le crime violent le moins signalé aux Etats-unis .
Commenter  J’apprécie          210
Elle a dit qu'elle s'était toujours considérée comme forte, une athlète dotée d'une formidable volonté. Forte dans son corps et dans sa tête. C'est ce que son père lui avait dit depuis qu'elle était toute petite. 'Sois forte dans ton corps et dans ta tête, et tu auras une belle vie.' Peut-être a-t-elle voulu se lever. Peut-être a-t-elle ordonné à ses jambes de bouger, puis à ses bras. Mais sa volonté était impuissante. Au lieu de la ramener de l'endroit d'où elle venait, ses membres se sont enroulés autour de son corps meurtri, qui gisait sur le sol infect.
Tandis que ses larmes coulaient et que sa voix leur faisait écho avec cet horrible gémissement, elle a finalement été entendue et secourue. Elle s'est depuis demandé à maintes reprises pourquoi rien de ce qu'elle avait en elle - ses muscles, son esprit, sa volonté - n'avait été capable d'empêcher ce qui était arrivé. Elle ne se souvenait pas si elle avait essayé de lutter, si elle avait crié à l'aide, ou si elle avait juste laissé faire. Personne n'avait rien entendu jusqu'à ce que ce soit fini. Elle a affirmé qu'elle comprenait désormais qu'après chaque bataille il y avait le conquérant et le conquis, le vainqueur et la victime, et qu'elle en était venue à accepter la vérité - à savoir qu'elle avait été totalement, irrévocablement, vaincue.
(p. 13)
Commenter  J’apprécie          200
J'avais la tête qui tournait. C'est une chose de poser la question. C'en est une toute autre de savoir que la réponse arrive. C'est pourquoi de nombreuses questions ne sont jamais posées. Parfois, il est plus facile de ne pas savoir.
Commenter  J’apprécie          190
- [...] Mais ces femmes, presque toutes expliquent que le fait de voir leur agresseur puni les aide à aller mieux. Certaines disent que c'est oeil pour oeil - vous savez, savoir que ce salaud va ressentir au centuple en prison ce qu'elles ont ressenti. Elles ne l'expriment pas comme ça, et je suis désolé d'être grossier...
- C'est bon. Vous pouvez dire ce que vous voulez ici. C'est le but, Tom.
- Elles ne disent pas réellement que ça les fait se sentir mieux de savoir que leur violeur va être violé en prison. Mais il perdra ses droits, sa liberté et sa dignité. Et quand il sortira, il sera à jamais catalogué pour ce qu'il a fait. Sa vie ne sera plus jamais la même. Leur vie ne sera plus jamais la même. Chacun est dans sa propre prison. C'est ce qu'elles disent. Qu'être dans leur tête, c'est comme être en prison. J'imagine que vous entendez ça de la bouche de tous vos patients.
- En effet.
- Je suppose que j'avais moi-même besoin de l'entendre, de la bouche des victimes. Certaines parlent d'être écoutées, elles veulent que le monde sache ce qui s'est passé et les croie, parce que, au moment où ça se produit, elles sont sans voix. Leur volonté n'est pas respectée. Quand le violeur va en prison, elles ont l'impression de récupérer un peu de pouvoir. Ça semble en aider certaines plus que d'autres, mais aucune ne dit que ça ne change rien.
(p. 244)
Commenter  J’apprécie          190






    Lecteurs (1498) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

    Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

    seul
    profond
    terrible
    intense

    20 questions
    2906 lecteurs ont répondu
    Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

    {* *}