La langue arabe, c'est comme une boîte de gâteaux libanais : je n'ai su que plus tard que les gens pouvaient trouver ça beau et bon (...).
Je connais mieux la langue de la SNCF que l'arabe libanais.
On y apprend notamment que les immigrés maghrébins transmettent trois à quatre fois moins leur langue d'origine que les Turcs ou les immigrés originaires d'Asie de Sud-Est. Et deux fois moins que les immigrés venus d'Espagne, du Portugal ou d'Italie.