Là où tu iras j'irai

J'ai découvert Marie Vareille sur Instagram, cette galerie d'art improvisée pour photographes amateurs qui a transformé depuis quelques mois les comptes influents (comprendre « avec le plus d'abonnés » ) en véritables vitrines publicitaires à pas cher, pour une montre, une marque de fringues, un soda à la mode, … Les éditeurs l'ont bien compris, les lectrices ont elles aussi un pouvoir de prescription auprès d'une vaste communauté d'amoureux du livre, par le biais de photographies à la savante mise en scène mettant en avant leur lecture du moment. Preuve que le procédé est efficace : il m'a permis de m'intéresser à Là où tu iras j'irai, un livre qui a envahi mon flux Instagram à sa sortie.

Isabelle a 32 ans, elle vit à Paris avec son copain Quentin qui a un peu tout de l'homme idéal, puisqu'il survit depuis plusieurs années à ses multiples névroses, à la stagnation de sa carrière d'actrice et à son éternel côté adolescente. Il est même tellement amoureux qu'il la demande en mariage, plongeant Isabelle dans la panique la plus complète à l'idée de devoir faire des enfants, et de se jurer un amour infaillible jusqu'à la mort. D'un coup d'un seul, Isabelle a 32 ans et se retrouve célibataire.

En galère financière, elle est contrainte d'accepter une drôle d'offre d'emploi : Adriana, fille d'un grand réalisateur, lui propose contre une très jolie somme d'argent de se faire engager comme nanny en remplacement de l'habituelle qui est malade, afin de séduire son père et de l'empêcher d'épouser sa fiancée. Un rôle à sa portée, lui promet-elle.

Elle part donc en Italie pour deux semaines de vacances hors norme avec la famille Kozlowski, avec la tâche de s'occuper de Nicolas, petit garçon de 8 ans qui ne prononce pas un mot depuis le décès de sa mère. Pour Isabelle, qui déteste les enfants, la corvée ne s'annonce pas aussi simple que ça, mais lui réserve tout de même de belles surprises…

Là où tu iras j'irai est une lecture très rafraichissante, et j'ai beaucoup rigolé des mésaventures de cette adulescente très spontanée. Il faut reconnaître à Marie Vareille un certain talent pour faire vivre un personnage atypique, et même si l'histoire a quelques fois des accents un peu burlesques, j'ai apprécié cette légèreté d'une auteur de ma génération. Une affaire à suivre !
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Pas de coup de coeur pour moi pour ce livre mais coup de coeur pour un des personnages qui donne tout son intérêt et toute son humanité à ce roman.
J'ai presque envie de dire que l'histoire est finalement accessoire comparée à la conclusion à laquelle on en vient à la fin de la lecture : on a de nouveau, très fort, envie de serrer nos enfants dans nos bras et leur dire qu'on les aime très fort.
En bref, pas un coup de coeur mais une jolie découverte, et un livre qui me fait découvrir une auteure que je ne connaissais pas.
Je me lance ce soir dans « je peux très bien me passer de toi ».
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Décidément, j'enchaine les lectures excellentes ces temps-ci ! Et c'est plus que valable pour ce petit roman de Marie Vareille que j'ai dévoré en une journée. Nous voici donc plongés dans le quotidien d'Isabelle, trentenaire un peu paumée, qui refuse de grandir. Lorsque son quotidien se retrouve bouleversé par les échecs à répétitions et son refus de l'engagement, c'est un rôle inattendu qu'on lui réserve: celui de nounou de trois enfants.
Direction l'Italie où rien ne se déroulera comme prévu, vous vous en doutez !
Je pensais lire un petit roman léger et comme à son habitude, l'auteure nous dévoile en fait quelque chose de bien plus profond. C'est très drôle mais aussi très émouvant. le dénouement est inattendu, j'ai été très surprise ! Et c'est ce que j'aime retrouver dans les romans de Marie Vareille. Tout y est, émotion, humour, suspense, rebondissements…
Et sa plume vivante nous plonge dans l'histoire sans pouvoir la lâcher. C'est addictif ! Bravo :)

Quel joli coup de coeur ! C'est une histoire pourtant si fluide... Les personnages sont attachiants, drôles, fragiles.
Isabelle se retrouve seule et part en Italie pour un boulot plus ou moins particulier. Sa mission ? Séduire un père de famille veuf sur le point de se remarier. Son objectif ? L'argent. Sa méthode ? Ressembler à sa femme suicidée il y a quelques années.
Une histoire un peu délurée de prime abord. Rien de sombre la dedans pour autant. Isabelle se retrouve transformée en fausse nounou, qui s'occupe principalement du plus jeune des enfants, muet comme une tombe.

Des liens de créent, d'autres se cassent. Ce qui est assez fou avec ce livre, c'est la fluidité de lecture, c'est les pages qui se tournent si simplement et rapidement. C'est la simplicité et l'authenticité de certains moments. Bref, un régal à lire, presque déçue de l'avoir lu si rapidement. On ne sait pas trop expliquer pourquoi et pourtant c'est un véritable petit concentré de plaisir.

Merci Madame Vareille pour ce chouette moment.

Retour sur ma lecture « là où tu iras j'irai » de
Un roman plein d'humour, j'ai eu souvent des sourires et des rires en lisant des passages. le personnage d'Isabelle est tellement bien trouvé! Elle est drôle, pétillante, par moments énervante et pourtant si touchante!
Chaque personnage a son importance. Et l'empathie pour chacun est bien présente.
J'ai eu un tout petit peu de mal à entrer dans l'histoire au début ne sachant pas trop où l'auteur nous emmenait et finalement j'ai enchaîné les chapitres courts comme je les aime! L'importance des titres de chaque chapitre et enfin un final si émouvant et touchant!
Un livre que je recommande vivement avec une morale et une belle leçon de vie!

Isabelle est une actrice qui se cherche. A 32 ans, elle a trouvé l'homme parfait mais ne veut pas d'enfant. Alors quand il lui fait sa demande en mariage, elle décide de le quitter pour ne pas le priver d'avoir un enfant avec une autre femme.
Mais quelle idée de laisser filer le mec parfait ! En le quittant, elle se retrouve à la rue et sans argent puisque sa carrière d'actrice ne décolle pas. Elle n'a donc pas trop le choix que d'accepter une proposition un peu farfelue d'une adolescente. En échange d'une importante somme d'argent elle lui confie la mission de faire annuler le mariage prévu entre son père et sa nouvelle conquête. Faute de mieux, Isabelle accepte et se retrouve à jouer la babysitter ! Pour elle qui déteste les enfants, on peut dire que c'est un job de rêve !


J'ai découvert Marie Vareille avec son roman « Je peux très bien me passer de toi ». Séduite par cette première lecture je me suis laissée tenter par le petit dernier. Et bien j'ai été une nouvelle fois conquise. Une lecture toute en légèreté qui donne le sourire avec tout un tas de situations cocasses. Une lecture qui n'en est pas moins émouvante avec des thématiques comme le deuil qui y sont abordées.
En résumé, une lecture qui fait du bien et qui rebooste le moral en plein coeur de l'hiver.
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Un roman chick litt résolument feel-good.
C'est le premier roman que je lis de cette auteure et j'ai passé un bon moment. le style m'a fait pensé à la plume de Sophie Kinsella, mais c'est peut-être le genre qui veut ça. Quoi qu'il en soit, je me suis attachée aux différents personnages et j'ai souvent souri aux situations loufoques dans lesquelles notre héroïne déjantée se retrouve projetée. Tout est un peu exagéré, les personnages sont à la limite de la caricature, ce qui donne un mélange détonnant. Cela dit, la relation entre Isabelle et Nicolas est plutôt émouvante. Tout se précipite dans le dernier tiers du roman, et la fin m'a beaucoup plu. J'ai même eu la larme à l'oeil en lisant la dernière phrase, c'est pour dire...

J'ai beaucoup aimé ma lecture. Quand je l'ai commencé j'en ai lu quelques pages avant de me coucher et de le laisser de côté deux jours. Je l'ai repris lors d'un bel après-midi et l'ai lu entièrement.

L'intrigue m'a bien plu. Elle a quelques rebondissements que je n'avais pas vu venir mais surtout l'histoire arrive à être drôle tout en abordant pleins de sujets pas forcément faciles. le deuil d'une famille et ses différentes manifestations, la période adolescente, la culpabilité. A travers toute la famille Kozlowski un éventail de sentiments et de problèmes sont abordés. Sans compter tous ceux d'Isabelle qui, à elle seule, cumule pas mal de soucis.

J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le personnage d'Isabelle même si tout au départ ce n'était pas gagné. Je l'avais au premier abord trouvé trop enfantine, mais pas dans le bon sens du terme (je suis la première à aimer garder une âme d'enfant). Finalement elle s'est révélé être très drôle et attachante. Déjà je me suis retrouvée dans son discours sur les enfants, on a la même analogie au sujet d'Alien. J'ai aimé la manière dont l'histoire l'a fait un petit peu mûrir et lui a permis de comprendre certaines priorités.

Les titres des chapitres m'ont plutôt fait bien rire et j'ai bien aimé toutes les références qu'a pu glisser l'autrice tout au long du roman. J'ai aussi aimé que l'histoire ne s'attache pas à une histoire d'amour, comme je le croyais en le commençant, mais à une histoire de famille et d'amitiés tout d'abord.



En bref : Une belle découverte avec Marie Vareille pour une histoire qui m'aura fait
passer un bon moment et quelques fous-rires.
Lien : https://sphinxou.wordpress.c..

Peut-être que je ne partagerai pas l'avis unanime, mais j'ai été très déçue par ce livre. Tout d'abord, parce que c'est, pour moi, une histoire assez invraisemblable. Je n'ai pas réussi à m'identifier à cette héroïne car n'importe qui de +/- sensé, n'accepterait pas le marché proposé. J'ai passé tout de même un bon moment et j'ai rigolé à certains passages, mais ce bouquin ne fait certainement pas partie de mes coups de coeur. Pour moi, c'est juste un bouquin à lire au bord de l'eau pour passer une après-midi, sans plus !

Marie Vareille est une auteure que je n'ai encore jamais lu, mais dont les titres des livres me font toujours envie. Alors quand sur NetGalley, Là où tu iras j'irai était disponible, j'en ai tout de suite fait la demande. Surtout que j'avais littéralement craqué pour la couverture. Je remercie d'ailleurs les Editions Mazarine de m'avoir permis cette lecture.

Isabelle, 32 ans, vient d'adopter un chihuahua qu'elle prénomme Woody-Allen. Elle est caissière en CDD chez MacDo en attendant de décrocher le rôle de ses rêves, puisqu'elle est actrice (enfin çà c'est ce qu'elle croit). Elle vit avec Quentin depuis 5 ans, qui supporte tous ses défauts. Oui mais voilà quand ce dernier veut l'épouser et fonder une famille, elle refuse. Elle ne veut pas d'enfants, elle ne les aime pas. La voilà donc seule et qui plus est à la rue. Sans un sou en poche elle va alors accepter la "mission" que va lui confier une jeune fille, Adriana. Elle doit séduire le père de cette dernière sur le point de se marier, afin de faire échouer le mariage. Pour cela elle va devoir jouer le rôle de la parfaite nounou auprès des 3 enfants, et notamment de Nicolas, 8 ans qui ne parle plus depuis la mort de sa mère. Autant vous dire que ce n'est pas gagné d'avance dans la mesure où Isabelle n'est vraiment pas douée avec les enfants.

Quand j'ai commencé à lire Là où tu iras j'irai, je n'ai plus été capable de m'en détacher. C'est un livre qu'on ne peut pas lâcher. Dès les premières pages Marie Vareille nous entraîne avec délice dans l'histoire d'Isabelle. L'auteure nous livre là un roman plein de bonnes choses, le roman doudou par excellence. Bien plus qu'un roman chick-lit, ce livre est une ode au bonheur et à la famille. Quand Isabelle débarque dans cette famille, elle est loin de s'imaginer combien sa présence va bousculer leur quotidien. Et c'est à cela qu'on assiste. Dans la famille Kozlowski, chacun tente de surmonter comme il peut le décès de Sofia, maman et épouse. Isabelle va devoir alors faire preuve d'imagination pour ne pas se faire démasquer.

Là où tu iras j'irai est un livre qui fait sourire, parfois même rire, mais pas que. Il suscite également diverses émotions comme la colère, la tristesse, la joie. Pour moi ce livre a été un réel coup de coeur. Je l'ai refermé à grand regret, tellement j'étais triste de quitter tous ces personnages tous plus attachants les uns que les autres.

Le style de Marie Vareille est frais, percutant. J'ai dévoré ce livre sans m'en rendre compte. J'ai vraiment beaucoup aimé les personnages qui sont vraiment bien travaillés et auxquels on peut s'identifier. Isabelle est une jeune femme immature qui a vécu des choses difficiles, mais qui à l'aide d'enfants (qu'elle dit ne pas aimer), va mûrir et ressortir grandie de cette aventure rocambolesque.

Bref, en conclusion je ne peux que vous recommander de vous jeter sur ce livre, parce que c'est certain vous passerez forcément un très bon moment de lecture.
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