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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je ne sais pas très bien comment ni pourquoi mais j'avais "oublié" de lire ce tome de la série XIII puisque je suis déjà arrivé au bout du premier arc écrit par les deux auteurs originaux (Vance et Van Hamme) et clos par le tome 19, sans passer par cette opération Montecristo. J'avais un peu repéré que la série avait tendance à se répéter et s'étirer vers la fin, ce petit couac en est bien la preuve, puisque j'ai pu sans souci continuer le récit sans être perturbé par cette omission.


Je me rattrape aujourd'hui, un tome avec les ingrédients attendus habituels, de l'action (originalité puisqu'elle est notamment en mode plongée cette fois, l'occasion pour Vance de démontrer ses talents dans la retranscription de l'aquatique, je le trouvais doué pour les scènes de pluie, il garde son niveau dans le sous-marin), des jolies filles qui se dénudent, des questions sur l'identité du héros, un gentil qui meurt, des méchants recrutés pour tenter d'arrêter XIII. A part le côté recherche de la montre manquante dans les abysses, il y a un petit manque d'originalité puisque les jolies filles sont les mêmes qu'avant (Felicity qui s'en sort toujours d'une façon ou d'une autre et Jones toujours jalouse), que la quête d'identité ne progresse pas et reste sur les mêmes interrogations. Seul petite autre innovation, un XIII qui perd ses nerfs un moment (rassurez-vous il les retrouve bien vite, c'est quand même un héros).


Voilà donc enfin officiellement pour moi clos le premier arc. Je continue aussi les XIII mystery (spin off abordant l'histoire passée de certains personnages secondaires,réalisés par d'autres dessinateurs et scénaristes). Cela me préparera à la deuxième partie de la série principale, reprise en main par Sente et Jigounov quatre ans après la clôture de la série initiale.Le matériel de base est tellement intéressant qu'il est tentant de voir si les nouveaux ont su être suffisamment infidèles au schéma original pour relancer l'intérêt.
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XIII et ses amis réussissent à s'évader avec la complicité de Maria, mais ils sont toujours poursuivis par la NSA et les tueurs de Franck Giordino. Ils restent néanmoins quelques jours au Costa Verde pour essayer de retrouver la montre de Liam Mac Lane, qui devrait les mener à l'or de Maximilien, trésor qui leur serait bien utile dans leur cavale.

Dans ce seizième tome, on retrouve les personnages auxquels on était attachés, et la qualité de leurs dialogues, notamment entre XIII et Jones.
Les rebondissements et les scènes d'action sont toujours nombreux, et si la coup du village englouti a un goût de déjà vu au niveau du scénario, il donne lieu à de belles scènes sous-marines au niveau du dessin.
La série semble néanmoins un peu enlisée et on n'avance pas beaucoup dans les recherches sur l'identité de XIII.
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Ce tome fait partie d'un "triptyque" où le petit groupe s'est lancé à la recherche de l'or de Maximilien.
Beaucoup d'action, mais nous ne sommes plus dans la recherche d'identité de XIII.
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Une chouette première de couverture : une tenue d' un beau bleu turquoise criard qui se marie bien avec le noir de la chevelure de Jones marbrée de gris bleuté et sa couleur de peau. Des lèvres un peu plus afro. L'écume qui ressemble à des flocons de neige vient adoucir la couleur criarde
On reprochera juste les gants verdâtres qui font un peu moufles et pinces de crabe, une valve sur le bras de la combinaison de plongée qui fait un peu poupée gonflable mais sans plus et l'air peu inspiré de XIII à la traîne. Ainsi que le titre «Montecristo» qui nous rappelle un peu trop Edmond Dantès et l'abbé Faria et donc...Encore une histoire de cachot pour XIII?
Une manie de Vance d' habiller ses héroïnes avec des hauts courts (crop-toc) en toutes circonstances
On apprécie les cases de scènes de pluies torrentielles, c'est très bien, du plus bel effet ou on comprend en voyant les piques qui tombent ce que signifie «pleuvoir des hallebardes», les cases de scènes sous-marines très esthétiques mais un peu confuses,
les cases groupées par thème sur quelques pages; la pluie, le fond sous-marin,
les pointes d'orangé du tee-shirt de Carrington aux explosions en passant par les cheveux de Betty, les couleurs sont plus lisses et intenses que précédemment, notamment celles du ciel bleu, rosé, terreux et totalement uniformes, sans aspérités. Ce fond de couleur soutenu donne un contraste plus appuyé avec les personnages et les paysages, le marquis, qui est un homme exquis c'est d'ailleurs le seul qui sourit mais bon un petit sourire d'aristocrate : on aime bien son petit foulard distingué , Betty qui a forci et Felicity cette «hija de puta» comme dit Juan est en pleine forme: une force de la nature.
Un suspens ourlé de fil blanc on ne s'étonne plus de ce qui arrive car on sait que cela devait arriver: du déjà vu et c'est bien dommage mais on persévère. On en vient presque à ne regarder que les dessins.
Un rappel, véritable rabâchage, des évènements antérieurs fait par les personnages , comme si ils apportaient quelque chose de nouveau, et aux autres héros, et aux lecteurs
alors que ce n'est pas le cas: on sent le remplissage
On s'achemine plan-plan vers la sortie et on assiste là aux derniers raouts de l'équipe «mission impossible» mais bon le trésor on ne l'a pas encore trouvé et l'objectif de la série a bel et bien été oublié.
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