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Critique de MarieLC
Un roman autobiographique, en tout cas familial, autour de la figure du père de l'autrice, Peter Tangvald. Il se lit comme une enquête intriguante, passionnante mais surtout déchirante. Celle d'une fille orpheline de père mais aussi d'un frère et d'une soeur, morts en mer. Celle qui a survécu et qui cherche à reconstituer une histoire familiale morcelée, malmenée. Celle dont la vie d'adulte semble imprégnée de ces non-dits et de ces disparitions tragiques. Avec toujours l'océan, la navigation comme toile de fond.
Si je l'ai beaucoup aimé, je mentirais en disant qu'il ne m'a jamais laissée mal à l'aise. Tant de douleur évoquée ne peut pas laisser de marbre, surtout quand l'océan vous a aussi pris votre père. J'ai plusieurs fois eu envie de prendre l'autrice dans mes bras et j'ai également cherché des ouvrages sur cette famille de navigateurs que je ne connaissais pas du tout. Pour finir, j'ai beaucoup aimé le style fluide si naturel qui m'a porté dans cette histoire sans jamais être verbeux ou artificiel... Une belle découverte pour ce premier roman qui sera publié le 21 août ! Je vous le conseille si vous aimez les récits de vie marginales et la beauté de la résilience.
Si je l'ai beaucoup aimé, je mentirais en disant qu'il ne m'a jamais laissée mal à l'aise. Tant de douleur évoquée ne peut pas laisser de marbre, surtout quand l'océan vous a aussi pris votre père. J'ai plusieurs fois eu envie de prendre l'autrice dans mes bras et j'ai également cherché des ouvrages sur cette famille de navigateurs que je ne connaissais pas du tout. Pour finir, j'ai beaucoup aimé le style fluide si naturel qui m'a porté dans cette histoire sans jamais être verbeux ou artificiel... Une belle découverte pour ce premier roman qui sera publié le 21 août ! Je vous le conseille si vous aimez les récits de vie marginales et la beauté de la résilience.
