Dans la
rue de la Sardine que j'ai eu plaisir à imaginer comme ces rues de western traversant la ville où chacun sait ce qui se passe dans la rue et chez les voisins, tous les habitants ne sont pas des saints, loin de là, et pourtant ils semblent tous poussés à faire le bonheur des autres et, en particulier, de Doc rentré un peu déboussolé de la guerre. Sous la plume souriante de Steinbeck, entouré de personnages attachants,on vit un agréable moment.
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