Chroniques de Lipton-les-baveux, Tome 1 : L'abominable monsieur Schnock

En la voyant approcher. Vendredi fut submergé par ses sentiments qui l'emportèrent comme un rat de mariée.
Les yeux brillants d'admiration, il mit un genou à terre au beau milieu de la place, puis les deux genoux.
Puis carrément trois genoux à terre, ce dont personne d'autre sur cette planète n'est capable.

Il possédait la plus petite collection de timbres du monde (zéro).

Jake s'amusait bien.
Il avait fait coucou aux hiboux, houhou aux coucous et des affaires avec une pie en lui échangeant un morceau de papier brillant contre deux marrons marron.

En fait, ils se trompaient tous complètement. La vérité, c'était que M. Schnock devait entretenir son jardin car sinon une petite fée furibonde surgissait dans sa baignoire pour lui donner des coups de poêle sur la tête. (Vous voyez, il y a toujours une explication simple aux choses les plus compliquées).

Mais je vais vous dire ce que j'ai appris, en me basant sur de vagues rumeurs, des faux-semblants et de vrais mensonges.