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Critique de FlorenceP35
C'est le premier livre que je lis de Christian Signol. Celui-ci nous raconte une belle histoire : celle d'un petit village perdu en train de mourir de désertification qui va se défendre pour conserver son école et la vie qu'elle draine.
Heureusement, l'arrivée de Nicolas, un jeune instituteur zélé va permettre de redynamiser l'école. Même si la lutte sera difficile mais aussi gratifiante. Il pourra également compter sur le maire (en l'occurrence une femme qui s'appelle Rose) qui consacre lui aussi toute son énergie pour empêcher de voir le territoire à sa charge sombrer dans la décrépitude.
A cette occasion, Nicolas va reprendre contact avec la nature, ainsi qu'avec des élèves qui ne sont pas encore dévorés par la technologie. Ainsi, le jeune instituteur va, par exemple, découvrir les joies de mixer école et randonnée forestière. Il va renouer avec la terre, mère de tous les hommes. Cela va l'aider à se débarrasser du superflu, au sein d'une nature qui donne un sens plus profond à la vie… qui apporte simplicité et lumière, débouchant sur le partage et l'empathie.
Un roman plein d'humanité, dans lequel ces valeurs prennent toute leur importance et leur signification.
Quant à l'écriture de l'auteur, elle est bien souvent admirable et c'est un délice de parcourir tranquillement, paisiblement, les pages de ce livre qui nous ressource.
Bien sûr, on pourrait lui reprocher d'être une sorte de contes de fées, même si la vie n'est pas toujours facile au village. Parce que connaissant moi-même la ruralité, je sais qu'elle possède aussi ses tares et ses personnages peu recommandables.
Mais ce livre n'est pas un documentaire, et il conserve le charme d'une fiction.
Un roman à recommander, ne serait-ce que pour échapper le temps d'une lecture au stress de la vie citadine.
Heureusement, l'arrivée de Nicolas, un jeune instituteur zélé va permettre de redynamiser l'école. Même si la lutte sera difficile mais aussi gratifiante. Il pourra également compter sur le maire (en l'occurrence une femme qui s'appelle Rose) qui consacre lui aussi toute son énergie pour empêcher de voir le territoire à sa charge sombrer dans la décrépitude.
A cette occasion, Nicolas va reprendre contact avec la nature, ainsi qu'avec des élèves qui ne sont pas encore dévorés par la technologie. Ainsi, le jeune instituteur va, par exemple, découvrir les joies de mixer école et randonnée forestière. Il va renouer avec la terre, mère de tous les hommes. Cela va l'aider à se débarrasser du superflu, au sein d'une nature qui donne un sens plus profond à la vie… qui apporte simplicité et lumière, débouchant sur le partage et l'empathie.
Un roman plein d'humanité, dans lequel ces valeurs prennent toute leur importance et leur signification.
Quant à l'écriture de l'auteur, elle est bien souvent admirable et c'est un délice de parcourir tranquillement, paisiblement, les pages de ce livre qui nous ressource.
Bien sûr, on pourrait lui reprocher d'être une sorte de contes de fées, même si la vie n'est pas toujours facile au village. Parce que connaissant moi-même la ruralité, je sais qu'elle possède aussi ses tares et ses personnages peu recommandables.
Mais ce livre n'est pas un documentaire, et il conserve le charme d'une fiction.
Un roman à recommander, ne serait-ce que pour échapper le temps d'une lecture au stress de la vie citadine.
