Cette série ne perd rien en qualité au fil des tomes.
Ce tome 6 est toujours aussi distrayant, et a un côté beaucoup plus adulte que les précédents.
On en apprend plus sur le champignon (ça c'est mon coté gamine). Et j'ai beaucoup apprécié la morale faite sur les livres qui ne "parlent" pas de la même façon aux gens.
Dans ce tome plus de livres japonais qui malheureusement n'ont pas été traduits . C'est dommage pour le lectorat étranger. Mais malgré tout ces histoires sont bien racontées et malgré un résumé succint on s'y retrouve.
Les graphismes sont aussi de qualités.. même si je ne me ferais jamais a ces graphismes ou les personnages n'ont pas de visage. Ca me dérange profondément mais comme ce n'est pas le premier manga ou je rencontre ce travers je vais mettre ça sur le compte d'une tradition nippone.
Ce manga est réellement fait pour les amoureux des livres et des bibliothèques.
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Ce tome se focalise pas mal sur les professions qui tournent autour de l'enfance et la culture, notamment l'édition, mais aussi la lecture publique et les spectacles pour enfants.
Il y a toujours ces récits à plusieurs niveaux, de l'anecdotique au plus intime, avec cette part de mystère qui suit les différents personnages tour-à-tour.
J'aime beaucoup aussi Isaki "tête de nid" et Ohara, deux jeunes passionnés et hypersensibles qui apportent de la fraîcheur à la série!
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Un manga aux petits oignons
Takehana l'ex-camarade du Champignon, que je prenais pour un fayot...et bien...ma foi...je ne vous raconterai pas de salades : c'est une belle andouille !
A propos, une petite fille qui ne sait pas cuisiner en fait tout un fromage mais les quatre filles du docteur March lui apprennent que l'important c'est...Sinon, nous faisons la connaissance du morose M. Torride et nous retrouvons la tristounette frangine du Champi. A cette occasion, nous relisons Pinocchio, version Collodi . Je n'ai pas saisi le rapport avec la frangine et sa copine, et de toute façon, je n'aime pas Pinocchio, il me fait peur comme tous les automates et je le trouve méchant.. j'aurais préféré en savoir plus sur les contes de Mimei Ogawa, qui évoquent ceux d' Andersen, pour sa poésie et sa cruauté....
Voilà en raison du corona, la lecture de mon feuilleton préféré s'interrompt. J'en suis toute flagada. Vite un saucisson !
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Qu'est-ce que j'ai lu déjà ? Pourquoi est-ce que j'ai lu ce manga ?
Je me pose encore la question.
Un tome vraiment sans intérêt où Mikoshiba, notre libraire emblématique n'apparaît que de façon anecdotique, pour laisser place aux petites histoires des unes et des autres.
Aucun intérêt à mon goût.
Suivant !!!
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Je viens de découvrir cette série grâce à mes amis de Babelio et j'en suis enchantée. Ce manga est une vraie pépite qui m'a fait repenser à tous les classiques de mon enfance et à ceux que je n'ai pas encore lus.
Etant moi-même devenue libraire, je me reconnais dans ces personnages de bibliothécaires passionnés et passionnants qui font de leur métier un art de vivre, si ce n'est une raison de vivre.
En effet, libraires et bibliothécaires, le combat est le même: transmettre le goût de la lecture à nos clients, trouver LE livre qui fera leur bonheur est leur ouvrira les portes de l'imaginaire (notre société en manque cruellement), et surtout il faut se battre contre les impératifs économiques (chiffre d'affaire, budget...) qui régissent nos sociétés, malheureusement.
Ce manga montre bien que les librairies et les bibliothèques sont des lieux de culture et de partage où l'humain et ses valeurs sont au centre, et qu'il est vraiment important de transmettre le goût de la lecture à nos enfants afin qu'ils posent plus souvent leurs smartphones et autres tablettes et ouvrent un livre pour ne pas devenir ainsi des adultes formatés dans une société hyperconnectée.
Alors, laissez de côté vos soucis du quotidien et ouvrez un livre pour retrouver votre âme d'enfant! ;)
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l fait partie de mes mangas chouchou et ce n'est pas pour rien.
La qualité est toujours là. (Merci les éditions komikku, c'est grâce à vous qu'on a accès à de tels chef-d'oeuvres). Mikoshiba est fidèle à lui-même. Les nouveaux venus toujours à la recherche de quelques choses et on en apprend toujours plus sur les métiers du livre : de l'auteur à la vente entre autre chose. J'ai découvert des livres pour enfants d'auteurs du monde entier comme souvent. On en prend plein les mirettes et on regrette que certains livres ne soient pas publiés en France parce que je les achèterais direct.
Bref, vous apprenez, rigolez et ouvrez les yeux sur les comportements humains notamment les enfants qui sont loin d'être idiots dans ce manga. Et surtout je veux la suite!
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Dans ce volume, Myamoto s'inquiète pour Mikoshiba que sa rencontre avec Takehana, un autre bibliothécaire de sa promotion, a perturbé. On en apprend donc un peu plus sur la relation de Mikoshiba au métier et ses motivations personnelles. Et l'épisode du papa qui travaille dans l'édition y fait un peu écho je trouve.
Un autre épisode tourne autour d'une fillette qui aimerait apprendre à cuisiner pour aider sa mère.
Quant à la dernière partie du livre, elle met en scène le club de marionnettes et le personnage de Nishino dont la mère était la fondatrice.
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Ce sixième tome continue de nous faire plus ou moins découvrir le passé de Mikoshiba. Mais aussi du défi pour un jeune auteur de percer dans l'édition des livres pour enfants.
Nous sommes toujours plongés dans l'univers de la bibliothèque de la Rose Trémière, de ses employés et ses lecteurs.
Un tome que j'ai trouvé un peu long du fait de l'étalement du chapitre Song for the close of school en cinq partie. Je trouve que c'est vraiment trop.
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Un tome, encore une fois, très sympathique. On en découvre un peu plus sur le personnage de Takehana. Des nouveaux personnages apparaissent à la bibliothèque de la rose Trémière. Mikoshiba se dévoile un peu dans ce tome mais reste toujours aussi énigmatique. Les dessins sont toujours aussi beaux. La réflexion sur la relation entre l'éditeur, l'auteur et le public est très intéressante.
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