Ce furent donc les écoles étrangères qui fournirent le plus à la composition de ces musées ; et comme en 1815, lors des reprise exercées par les alliés, les délégués n'eurent pas ou peu connaissance de ces envois, on a pu dire, sans doute avec exagération, mais du moins avec un fond de vérité, qui si le Louvre périssait aujourd'hui, on en retrouverai un second dans les provinces.