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4,14

sur 1124 notes
J'avais lu son premier roman « L'empathie » que j'avais bien aimée mais je n'avais pas trop compris l'engouement qu'il avait suscité. C'était pour moi un bon roman mais on n'était pas sur un coup de coeur. Et voila que l'on parle de nouveau d'Antoine Renand avec « Fermer les yeux » comme du livre que l'on doit absolument lire. J'ai lu que des avis positifs dessus. Voulant me faire ma propre opinion et ne voulant pas passer à coté d'un bon livre, je me suis rendue à la librairie après le confinement pour me le procurer. Et j'ai bien fait car c'est un coup de coeur !
On débute ce roman par le drame qui a bouleversé la vie de l'Adjudant Dominique Tassi. Au volant de sa voiture, il a le malheur de s'endormir et de provoquer un accident dans lequel sa fille va perdre la vie. Depuis cet événement, il sombre dans l'alcool et son couple n'a pas résisté à cette épreuve. Alors qu'il est invité à un mariage, il apprend que Justine, la fille des propriétaires du bar restaurant du village de Presle la vallée a disparue. Tassi comprend la douleur de ses parents car voir son enfant disparaitre ou mourir est la plus terrible épreuve pour un parent. Gabin Lepage va se retrouver être le coupable idéal. Tassi lui met la pression et il finit par craquer et avouer le meurtre de Justine. Quelques années plus tard alors qu'il n'exerce plus son métier de policier, il entend l'histoire de Laetitia Martinez, une victime qui va présenter des similitudes avec les sévices subies par Justine. Il est pris de doutes car il ne peut pas s'agir de Lepage puisqu'il est en prison. Celui qui l'a fait condamner va maintenant tout faire pour qu'il soit innocenté. Dans son enquête, il va recevoir l'aide de Nathan, auteur qui a rencontré de nombreux tueurs en série et d'Emma l'avocate de Lepage.
Comme je vous l'ai dit précédemment, « Fermer les yeux » est pour moi un coup de coeur. On commence fort cette histoire d'accident de voiture. le style d'écriture, la construction (on ressent le scénariste et le réalisateur), l'ambiance qu'il a su créer m'ont vraiment plu. Et une fin juste parfaite ! Un thriller à couper le souffle !
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Dominique Tassi s'est tiré une balle dans le pied.
Pour un flic, c'est con, je trouve.
Un verre de trop assorti d'une fatigue abyssale et c'est l'accident de bagnole.
Problème, sa fille à l'arrière, morte.
Adieu famille unie, taf aimant et équilibre perso affichant une zénitude absolue.
Arf, à la ramasse, peut-être, mais auteur, néanmoins, de l'arrestation d'un vil salopiot qu'aurait assassiné une gamine.
Gabin Lepage représentera son plus haut fait d'armes, à ce jour.
Les années passent. La retraite survient logiquement. Les meurtres perdurent.
Problème bis, cette nouvelle affaire présentant d'étonnantes similitudes avec celle évoquée pas plus tard que cinq lignes plus haut.
L'ami Tassi se serait-il fourvoyé lamentablement en faisant de Lepage un coupable idéal ?
N'écoutez point l'injonction de ce livre et ouvrez grand vos yeux, le bonheur en barres est à ce modeste prix.

Un roman plutôt court qui donne, paradoxalement, un sentiment de densité.
Le grand écart temporel tendant à expliquer cela, j'imagine.

Flanqué d'un écrivain spécialisé en tueurs en série et d'une juriste au verbe haut, Tassi, faisant courageusement fi de son sentiment obsédant de déplorable erreur judiciaire, remuera ciel et terre pour innocenter un homme qu'il aura initialement coffré.

Le thème est bigrement original.
Rares sont les personnes susceptibles de reconnaitre leurs erreurs et plus encore de vouloir les réparer.
Portrait admirable d'un homme dont le temps est compté et devant désormais vivre avec ses démons mais évocation, itou, d'une justice bien trop prompte à condamner.
Le tout se liant parfaitement à une enquête des plus palpitantes au grand dam de l'office du tourisme Ardéchois qui verra d'un très mauvais oeil cette publicité locale un brin morbide.

C'est bien écrit.
C'est bien amené.
C'est riche en suspense et en rebondissements alors que je cherche encore les oméga 3.
C'est un titre fort mal trouvé pour apprécier à sa juste valeur un récit captivant et donner envie de se ruer sur l'Empathie, enfin crois-je.
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" fermer les yeux" n'est possible qu'une fois le dernier mot lu. Ce n'est pas que ce roman soit particulièrement original par son thème, puisqu'il s'agit au départ d'une enfant qui disparaît, mais il est construit avec beaucoup d'adresse. Antoine Renand sait amener ses personnages avec tout ce qu'il faut pour qu'on les aime, leur fragilité nous touche, on les comprend, on entre en empathie avec eux immédiatement et nous voilà partis pour les suivre jusqu'au bout. Certes, il s'agit d'un roman de plus sur les tueurs en série mais ce thriller psychologique se démarque par ses personnages superbement bien travaillés.
Que dire de la fin ? inattendue !!! Pour tout cela, oui j'ai aimé et vais dorénavant mettre Antoine Renand dans mes écrivains à surveiller...
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Bonjour,
Voici « Fermer les yeux » de Antoine Renand . Coup de coeur pour ce thriller redoutable. Un enquêteur à la retraite se lance sur les traces d'un serial killer en découvrant des similitudes avec un meurtre abject commis 15 ans plus tôt et pour lequel il a fait condamné un innocent. Aidé d'un jeune auteur spécialisé en tueurs en série et d'une avocate douée, il se lance dans une traque implacable. L'intrigue est menée tambour battant, le rythme est trépidant, le suspense vertigineux et le twist final époustouflant. Les personnages sont très attachants, profondément humains, tourmentés, écorchés, au passé accablant. le psychopathe est monstrueux, ses actes ignobles vous glaceront et vous baignerez dans une atmosphère anxiogène et oppressante. L'auteur m'a de nouveau séduite grâce à une plume acérée, incisive et visuelle et une intrigue haletante. Un excellent thriller comme je les aime !
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En 2005, le gendarme Dominique Tassi arrête, fait avouer et concourt à faire condamner à une longue peine de prison un homme pour le viol avec tortures et le meurtre d'une fillette dans un village ardéchois. Quinze ans plus tard, ce gendarme désormais retraité est assailli de doutes et veut faire réviser le procès. Il sera aidé par une avocate de renom et un criminologue au passé difficile. ● Je ne comprends pas les critiques dithyrambiques sur ce roman poussif et interminable qui raconte une histoire invraisemblable d'un bout à l'autre. Certains mettent en avant son côté haletant, pour ma part j'ai eu bien du mal à avancer tant la narration m'a paru soporifique. Les rebondissements sont tous prévisibles, sauf peut-être le dernier, mais arrivé là on est déjà mort d'ennui. Je ne suis pas parvenu à m'attacher aux personnages, qui n'ont pas d'âme mais sont de simples fonctions au service d'une intrigue pourtant peu efficace. Quant au style, comme c'est souvent le cas pour ce genre de romans, on est proche du zéro absolu.
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Quand il était gendarme, Dominique Tassi buvait trop. Après l'accident qui a coûté la vie à sa fille, ses collègues, croyant lui rendre service, ont couvert son alcoolémie.
Tout au début du livre, il est à la retraite, hanté par un crime qu'il a pourtant résolu.
Un homme a attiré Justine en lui parlant d'un chien blessé qui a besoin d'aide. Quelques heures plus tard, Baranès et Tassi sont appelés pour la disparition de la petite fille. Des battues sont organisées. Tassi retrouve le corps de Justine et arrête le meurtrier. C'est du moins ce que tout le monde croit.
Tassi sollicite les souvenirs de Baranès, requiert les services d'un expert en serial killers et se lance dans l'enquête.
L'intrigue est efficace et le dénouement une surprise.


Lien : https://dequoilire.com/ferme..
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Ecrit avant 'L'Empathie', mais publié après, au vu du succès du premier paru ('L'Empathie', donc), ce 'Fermer les yeux' m'a beaucoup moins intéressée que le précédent.

Ici : enquête non officielle autour d'un serial killer, menée par un policier alcoolique & retraité, une avocate médiatisée jeune & jolie, et un auteur spécialisé dans les tueurs en série - clin d'oeil au romancier Stéphane Bourgoin*, qui tombe hélas un peu à plat puisque cet auteur a reconnu depuis quelques impostures.

L'intrigue est très classique (évoquant un roman de M. Menegaux, un autre de Rene Denfeld), sans surprises, trop nourrie de scènes d'action-baston, et sans doute destinée à une adaptation ciné ou télé.
Je n'ai pas retrouvé les réflexions sur le droit, la justice, le bien/le mal qui m'avaient tant plu dans 'L'Empathie'.

Lecture néanmoins agréable.
_____________

* « En mai 2020, dans une enquête menée par 'Paris Match' puis dans un entretien accordé au quotidien 'Le Parisien', Stéphane Bourgoin, qualifié de 'sérial menteur' ou de 'mythomane du crime', avoue finalement avoir menti sur son passé. Il est précisé qu'en dépit des échanges que l'homme a entretenus avec des enquêteurs français lors de conférences ou de séances de signature, il "n'a en revanche jamais été associé à un dossier en cours, n'a jamais été expert devant un tribunal et n'a jamais rencontré un suspect ou un condamné". De même, il n'a jamais rencontré le détective chargé de l'enquête concernant le prétendu assassinat de sa supposée compagne 'Eileen' dont Bourgoin révèle qu'elle n'a en définitive pas existé.
Après ces révélations, Stéphane Bourgoin se confie sur ses mensonges : 'Parfois, je me fais des films dans ma tête. J'ai toujours voulu qu'on m'aime.' »
-•-•-•- Triste ! -•-•-•-
(extrait de l'article Wikipédia qui lui est consacré : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Bourgoin)
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Un policier alcoolique au lourd passé; une petite fille qui disparaît; un serial killer qui tue les cinéphiles...: des ingrédients explosif pour une histoire qui va à 100 à l'heure du début à la fin.
Fermer les yeux est un thriller addictif ! Néanmoins j'ai préféré Empathie parce que le thème de celui-ci (viols sur mineurs) est un sujet plus sensible chez moi. Mais j'ai trouvé que ce roman était digne d'une super production Hollywoodienne! Bien ficelé et terriblement haletant. J'ai hâte de lire son prochain roman.
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Si vous êtes un ou une habitué(e) de mes chroniques, vous savez que l'année passée, dans le cadre du Prix des Nouvelles Voix du Polar des Editions Pocket, j'avais enfin (!) découvert Antoine Renand et son très bon premier thriller, « L'empathie ». Encore un auteur francophone que je compte suivre dans les années à venir. J'ai profité d'un peu de temps libre pour ne pas attendre et lire son second thriller « Fermer les yeux ».

Même si j'avais déjà beaucoup aimé sa plume dans « L'empathie », ce n'est rien comparé à ce que j'ai ressenti pour ce second bouquin. A 100%, je l'ai adoré et préféré encore plus celui-ci. Bien entendu, au fil de ses oeuvres, un auteur améliore son travail mais qu'est-ce que j'ai apprécié ce roman policier!

C'est vraiment bien ficelé et il y a une bonne dose de suspens. Les personnages ont chacun leur place, même les secondaires. Leur psychologie est réaliste et n'en fait pas des êtres parfaits mais des écorchés de la vie. Les décors sont ébauchés d'une façon qui permet aux lecteurs une plongée immersive dans l'histoire. Bref, je pourrai trouver que des éléments positifs à ce livre.

J'ai eu l'impression de vivre cette enquête d'une dizaine d'années, comme si je la regardais à la télévision ou sur grand écran. Les études de cinéma suivies par Antoine Renand ont laissé leurs empreintes mais cela donne une vraie force pour ses écrits.

Maintenant, vite la parution de son prochain thriller j'espère!
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Merci à Babelio et aux Editions Robert Laffont pour « Fermer les yeux » d'Antoine Renand. (Un confinement étant passé par là, j'ai reçu le roman 2 mois plus tard que prévu. Mais il a fini par arriver et cela vaut bien un chaleureux remerciement).
L'histoire se situe entre l'Ardèche et l'Ain. Trois personnes vont s'unir pour retrouver un tueur en série et ainsi, innocenter un homme en prison depuis quinze ans : Dominique Tassi, un gendarme à la retraite, Nathan, un jeune écrivain qui interview des tueurs en série et Emma, une jeune avocate.
J'avoue que, durant ma lecture, je me suis trop attachée aux défauts de ce roman, tant sur la forme que sur le fond, pour vraiment réussir à accrocher. Dès les premières pages, je n'ai pas réussi à fermer les yeux (oui, facile) sur l'écriture qui un peu trop basique à mon goût. Les personnages, en plus d'être relativement convenus, manquaient de profondeur. La pointe de la plume, selon moi, n'était pas assez fine pour dessiner plus les détails, les contours et les ombres. Cela ajouté à l'intrigue, cela avait un arrière-goût des séries policières régionales et on aurait pu titrer « Meurtres mystérieux en Ardèche ». Au programme, la chasse à un violent prédateur, agrémentée de quelques moments de romance (l'attirance sans surprise entre deux des personnages). Il serait utile de notifier que, compte tenu des scènes de violence, l'histoire qui va suivre est réservée à un public/lecteur averti.
Le scénario et certaines situations m'ont fait souvent tiquer ou hausser le sourcil, par facilité ou manque de crédibilité… Pour qu'un polar ou thriller me tienne en haleine, que je m'enthousiasme pour une histoire, il ne suffit pas d'une intrigue originale ou des plus ténébreuses, d'un thème sociétal qui m'intéresse ou encore d'actions et d'adrénaline qui montent en crescendo au fil des pages au point d'avoir le rythme cardiaque qui s'emballe et défaille. Non, le style d'écriture est probablement la condition sine qua none pour permettre une fluidité de lecture, sans trop de soubresauts désagréables et pour trouver également de l'intérêt pour les personnages et ainsi, m'attacher à eux.
Malheureusement, gênée par le style, je suis restée à distance, sans réussir à m'y plonger, m'arrêtant plus sur les dialogues manquant de souffle, les mots employés et la technique utilisée.
De petites histoires ou flash-backs s'insinuent dans l'histoire principale. Technique qui permet de peaufiner les traits de caractères des trois personnages, tout en parsemant les pages, çà et là (et de bien entendu) d'un peu d'hémoglobine et de violence, pour satisfaire les âmes en mal de frisson.
Les évènements ne collent pas toujours ni à ce qu'on suppose/connaît d'une enquête policière ni aux caractères des personnages dépeints : les énormes défaillances de l'enquête de base menée par les gendarmes dont Tassi. Ce dernier, alcoolique et cancéreux, hanté par la mort de sa fille, qui va avoir la force de courser quelques méchants. Nathan, la trentaine et quasi imberbe, qui a déjà réussi à interviewer 16 tueurs en série et les faire parler (Dixit : « Racontez-moi, ça m'intéresse »). Oubliant ses phobies et tocs liés à un traumatisme des plus trashs dans son enfance (il n'a pas de chance non plus), il va même être capable, sans prévenir personne, quasi la fleur aux dents, revêtant la tenue du super flic valeureux, d'aller seul aux devants d'embrouilles des plus risquées. L'avocate Emma est plutôt secondaire, mais elle est belle et intelligente, et malgré la pression et le surcroit de travail liés au procès en cours, elle va entamer tout de même une relation amoureuse. On ne lui en demande pas plus à cette belle Emma.
L'auteur Renand, en fin de roman, lors des remerciements, explique que cette histoire était à la base un scénario écrit il y a quinze ans (soit à l'âge de 25 ans environ) et retouchée depuis. Cela peut expliquer les faiblesses de ce roman et je devrais être plus indulgente.
J'avoue ne pas avoir encore compris les raisons de cet emballement quasi collectif. Décidément j'ai dû passer à côté. Décidément je l'ai trop attendu, j'en ai trop attendu. (Peut-être ai-je dépassé mon quota de romans policiers et thrillers).
Au fur et à mesure des jours de confinement, alors que je guettais le facteur, je voyais le nombre de lecteurs de ce roman augmenter. Un peu envieuse, un peu frustrée de ne pas faire partie de ceux-là. Je fantasmais déjà sur ce moment de lecture (tout plaisir et évasion étaient bons à prendre pendant cette période particulière).
Une fois le déconfinement arrivé, j'eus l'agréable surprise de voir dans ma boîte aux lettres cette grosse enveloppe que je n'espérais plus… J'ai délaissé mes lectures en cours, impatiente de découvrir ce roman policier de ce nouvel auteur et de lâcher un ‘'wouahh'' de contentement… Mais, je l'ai attendu, attendu mais le plaisir ni les émotions ne sont pas venus. Je l'ai tant attendu que j'en ai peut-être été plus déçue.
Non pas que ce roman policier soit dépourvu de qualités (il suffit de lire la majorité des billets pour le comprendre). Arrivée aux 2/3 du roman, il est vrai que l'action et les rebondissements m'ont un peu plus intéressée. Mais arrivé aux dernières pages, j'ai dévissé… Je n'étais pas montée très haut, certes, mais quand même, ça fait un peu mal.
Le final (c'est-à-dire l'explication d'un bon nombre de haussements de sourcils face aux scènes et comportements incongrus au cours de l'enquête) ne tenait que sur sept pages (et deux principalement). Et au risque de spoiler encore un peu, je me permets de citer le commentaire d'un des protagonistes : « C'est une histoire abracadabrante »… Je n'aurais pas dit mieux.
La « clé de l'énigme » aurait mérité d'être plus détaillée pour être convaincante. Peut-être n'aurais-je pas alors refermé ce roman avec une pointe d'agacement. C'était comme si on recollait tous les morceaux d'un vase les uns aux autres pour obtenir un truc qui ne ressemble pas à un ersatz de vase mais qu'on devait s'en contenter. C'était comme si Poirot réunissait tous les suspects liés à l'enquête, la tension se lisant sur certains visages, et que regardant l'heure, il énonçait, tout de go, en pointant du doigt : « C'est vous, Colonel Moutarde, avec le chandelier, par pure jalousie ! ». Sur ce, il les laissait, tous médusés, pour aller déjeuner. Rideau…. (J'abuserais en ajoutant : d'autant plus médusés qu'il n'y avait pas de Colonel Moutarde dans la salle ni dans l'histoire).
J'exagère bien sûr mais j'avoue ma déception et ma frustration à ne pas faire partie de la grande majorité qui ont encensé ce thriller (et à me retrouver dans la catégorie des rares pinailleurs de service). Peut-être qu'aujourd'hui, avec quelques années d'écriture, d'expérience et de maturité (même en relations amoureuses), Antoine Renand réussirait à m'embarquer plus aisément dans son récit. Je vous laisse en juger par vous-même avec son second roman « Empathie » (édité en 1er). Je crois que, pour ma part, avec les impairs et les manques de « Fermer les yeux », je passe.
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