Le matin, les visiteurs, escortés par les indigènes, se rendirent, par un chemin ombragé de grands chênes qui laissaient tomber une pluie de glands, à la bourgade qui était au pied de la Montagne et où se continuèrent les fêtes. Une apothéose! Les indiens portaient les Français sur leur dos. Hommes, femmes et enfants étaient sortis de la ville à la rencontre des blancs que d’autres contemplaient du haut de la courtine qui courait le long des remparts de la bourgade. Une porte s’ouvrait dans ces derniers au double plan incliné. Une rue menait à la grande place sur laquelle donnait la cabane de l’Agouhanna.