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Critique de Bruxellensia


La Joconde, le tableau le plus célèbre du monde a échappé en 1942 à la convoitise des Nazis grâce à la clairvoyance du conservateur du musée du Louvre. Les oeuvres d'art majeures ont été protégées parce qu'elles ont été envoyées "en villégiature" dans le Lot au Château de Montal. Cette histoire est vraie même si elle est romancée. L'Exil de la Joconde connaîtra de nombreux rebondissements rocambolesques.
Le style de l'ouvrage est plaisant et sans grande prétention littéraire. Il se lit aisément plutôt pour se documenter que par attrait littéraire. Sa grande qualité est de réfléchir à la sauvegarde du patrimoine artistique face à la guerre.
Les Nazis ont spolié les oeuvres d'art de collections privées ou publiques d'abord en Allemagne puis dans les pays conquis. Ils se sont servis des œuvres remarquables et ont soigneusement rejeté ce qu'ils ont appelé l'art dégénéré le plus souvent des artistes avant-gardistes ou Juifs. La situation n'est pas très différente actuellement en Syrie ou en Afghanistan.
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